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Poéme d'amour
#11
Il parait que mon poème n'est pas romantique...
Mais moi je n'y peux rien si je ne suis pas fort en histoire,
Ca fait deja un sacré baille qu'on ne se bat plus en Rome anthique,
Ni même que l'on s'exclaffe a l'oratoire,
Vu qu'on a maintenant le rhum en tic!

Il parait meme que mon coeur n'est pas ouvert..
Mais moi je le préfererai 'ourouge',
Vu que pour faire des vers,
Fô se lever tôt pour que je me bouge.

Il parait meme que Kiouioui n'a plus d'inspiration...
Toi mon poète préféré,
En mal de conjugaisons,
qui ont du mal a se proliférer.

Il paraitrai meme que 'JR je te REmerde'...
Depuis l'arivée de Cupidon,
Qui a coupé la chique a cette joute de puceaux imberbes,
Qui ne pensent qu'à leur trou du fiond!
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#12
Je me réjouis de voir la participation active de chacun!
Courage; vous etes sur la bonne route de l'amour...
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#13
Intention

Si je devais t’aimer un jour,
Ce serait à jamais pour toujours,
Et ainsi de jour en jour,
J’avouerai, je le veux, cet amour.


D’abord passionné je dirais :
Laisse-moi mes mots esquisser
D’amour, de mes doigts sur ton dos,
De mes lèvres à ta peau.


Ensuite romantique je penserais :
Belle belle demoiselle d’ivraie
Emmène-moi en Enfer
Pieds et poings liés par tes fers !


Vendu je m’élancerais :
Blesse-moi, et écartèle mon cœur
Toi amour pour qui je mourrais,
Toi gardienne du bonheur !


Esclave des passions, puissant :
Brûle ma peau de tes désirs,
Vend mon âme pour tes plaisirs,
Marque-moi de tes fers brûlants !


Alchimiste, pourquoi pas :
Donnez moi le pouvoir de changer les pierres,
J’en ferai colliers, perles, diamant de ce pas,
Pour brûler ta peau, t’enlacer de mon lierre !


Tel un Abraham sans scrupules
Je t’amènerai où les passions pullulent
Et je t’égorgerai au sommet des bonheurs,
Sacrifiant ton âme sur l’autel des cœurs !


Divin et Tout-puissant, suicidaire :
Je vendrais l’univers pour tes charmes,
Quand ne serrait-ce que ma seule arme,
Face à ton abstinence arbitraire !


Mais au fond de moi je sais,
Je sais que je ne t’aimerais,
Que de la seule façon que je connaisse,
La mienne, ma seule faiblesse.


Juste nos mains liées, regards tournés vers les mêmes horizons,
Nos cœurs battant ensembles, nos esprits vers les mêmes plages,
Et ma tendresse t’appartenant, toi seul objet de son attention,
Et mon âme au midi du bonheur, coupable de t’aimer, sauvage.


Maintenant Manesska Cupid', j'trouve ça totally stupide quoi ... L'amour c'est un bien précieux, c'est un don humain, et ça c'donne pas comme ça ...
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#14
Exact ...
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#15
MAis siiiii , justement mes amis, l'amour, ca se partage, ca se donne . Seul, il n'y a pas d'amour. On aime toujours un peu, on s'attache. L'amour, c'est pas forcement avec un grand A. Si je tient a toi, alors je te donne de l'amour. Jesus n'a t'il pas dit : si on me frappe sur une joue , je tends l'autre. Ainsi l'autre a un contact , car c'est ce qu'il cherche. Peace, love and understanding.

Vais vous en foutre moi de l'amour bande d' ...

-Hum excusez moi, je vous laisse .
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#16
Roh mon petit Chrichri t'énerves pas ... J'en ai de l'amour pour toi mais c'est pas pour autant que j'ai besoin d'un beau poème pour te le dire :wink:
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#17
Chez nous quand on aime quelqu'un, on le culbute dans un coin de la discothèque... Quand on l'aime pas, on le culbute en petits morceaux avec une arme blanche.

Je rappelle que la Poésie, c'est le domaine de Morax, mon petit Ange d'Amour, mais c'est pas grave, je suis sûre que l'autre sur son petit nuage au cannabiol il te pardonnera!
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#18
L'amour, l'amour... vous en avez de bonne vous ...


Seule et triste sur ce balcon
Une ame en peine vagabonde.
Elle semble perdue sans raison
Dans les méandres de ce monde.

Une clameur de l'au-dela
Semble pour elle un lourd supplice,
Un glas annoncant son trépas,
Elle a perdu son Euridice

l'Amour à ses yeux n'est plus
Que désespoir et amertume.
Du haut des nuages elle a chu,
Sa peine désormais se consume.

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#19
Tres joli Lutherking.....
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#20
Sentiment si souvent porté en étendard,
Un blason de paix, de douce sérénité.
Ou simplement utopie pour l'humanité,
Un lumineux mirage dans une vie de brouillard ?

Pour le cœur, un monarque, qui procure par milliards
De sublimes plaisirs, comme pour l'éternité,
Ou à sa guise, de deux êtres briser l'unité,
Etouffer la flamme en eux, d'un glacial blizzard.

Tout oublier est si doux, blotti dans ses bras,
Vulnérable, sans craindre pour soi ce qui viendra,
Tandis que pour l'aimé, nos forces sont décuplées.

Jusqu'au jour où disparait l'amour si charmant.
Il reprend tout en ne laissant qu'un châtiment,
une torture de ne plus pouvoir le contempler.
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