Poéme d'amour

[cupidon]

Mes amis,

Dans ces temps de guerre sans pitié, je vous propose une trève afin de faire la paix. Quoi de plus beau qu'un joli poème d'amour!



Je sens déjà qu'il y a de la romance d'en l'air à Immac...


P.S.: Le gagnant de ce grand concour de poème recevra une belle récompense de mon supérieur, c'est sur!

[Chilnéa]

Encore un truc pour cette foutue journée de Saint Valentin ...

[batking]

Heu... J'ai vu du rouge alors je suis rentré... MAis je crois que je me suis trompé. Bon allez, je me lance: HumHum.

L'amour est un fruit qui consumme,
mais pas autant qu'un grosse envie de pisser!
Et ce n'est qu'à titre postume,
que j'utiliserai le mot aimer.

Nos deux coeurs semblent accrochés,
comme la crotte au cul d'un clébard qui vient de chier!


Alors? J'ai gagné quoi?

[Razael]

• Je t'aimais d'amour tendre
  Tu m'aimais, coeur a prendre
  De nos ébats joyeux
  De nos jeux amoureux
  Etait chassé le temps
  Juste une vie au présent
  
  On s'aime malgré tout
  c'est bien plus fort que nous
  Mais ces prison qu'on dresse
  tout autour de nos coeurs
  Ces barreaux et ces herses
  sources de nos malheurs
  Erigés par nos soins
  et de nos propres mains
  Mieux que des pierres taillées
  nous séparent à jamais
  
  Je t'aimais, je te pleure
  Tu m'aimais, tu te meurt

Mélancolique l'homme relit une derniere fois ses vers puis, lentement, méthodiquement froisse le poeme entre ses doigts. Il se leve, jette son manteau sur son epaule, passe devant la corbeille, y depose sa production puis il sort.
"Chilnéa...."

[Judas]

Je courrais a perdre halene.
Je cherchais cette ame en peine.
Celle que j'avais entendu pleurer
Et que je voulais consoler

Je t'ai pris dans mes bras
Je t'ai dit : ne t'inquiete pas
Du doight, j'ai effacer tes larmes
Panser les blessure de ton ame

Nous nous sommes regarder
Lentement je me suis approcher
Je t'ai voler ce doux baiser
Et je t'ai dit que on allait s'aimer

La nuit fut douce
Encore plus que le satin
Et ce fut le petit matin
Je vis ton visage sur la house

Tres vite ce fut le mariage
Et nous passames tout les ages
Nous vecumes en amoureux
Et surtout, nous fumes heureux

-Hum, Etre aimer, que je ne connais toujours pas, tien voila ce message, il est pour toi !

[Chilnéa]

Alors que j'errais
Dans les rues, les cafés
Cachée dans l'ombre
Tu m'as fais fondre

Un homme mystérieux,
Descendu des cieux
Je croyais rêvé
Tu ne pouvais exister

Mais ces moments qu'on a passé
L'un contre l'autre, serrés
Des jours et des nuits durant
Comme si s'arrêtait le temps

Notre devoir nous a appelé
Obligé de se séparer
Cela ne devait pas durer
On ne s'est jamais oublié ...

Seule dans la pénombre
En train de creuser ma tombe
Car nous sommes condamnés
A ne plus pouvoir nous aimer

Rien n'était plus beau
Que ce que j'éprouvais
Je crierais mes maux,
Libèrerais mes pensées

Je suis déchirée
Mes ailes brisées
Je t'aime encore
Même après la mort

"Les Dominique", ce sont eux
Ils n'auraient pas dû
Ils ont joué avec le feu
Moi aussi je l'ai voulu

Je n'avais rien de plus précieux
Tu étais tout à mes yeux ...
Il est trop tard pour eux
Je m'en vais, ça vaut mieux ...

Et je regarde le ciel
Je n'attends qu'elle
Cette créature si belle
Pour qui je briserais mes ailes ...

Dans le futur, elles seront brisées
Car c'est toi que je veux
Plus rien n'est à compter
Si ce n'est nous deux ...


C'est le regard triste, les yeux en larmes, que Chilnéa déposa son poème et partit ...

(HRP : je tiens à préciser que ce poème figurera dans le rp que je suis en train de faire ... et donc, Chilnéa changera de côté :oops: Mais c'est pas pour tout de suite tout de suite ^^)

[Heaven]

Ce soir, la mort est présente,
Beaucoup sont tombés
Et ne se sont pas relevés.
Ils sont restés là,
Las de se battre,
Las de combattre.

Je n'y peux rien, mais tout ceci me hante,
Tous ces soldats a qui la vie souriait,
Tous ces fils sans patrie et sans foi
Qui pour notre cause se sont tués,
Laissant des veuves mourantes
Et des enfants sans loi.


Mais cela n'est rien
Face a l'amour que j'éprouve,
Pour lequel j'ai sauvé ma vie
Et volé celle des autres.

Contre le bonheur de chacun,
Par ces méthode que je réprouve,
Je leur ai pris celui-ci
Et me suis conduis en traître.


C'est pour toutes ces raisons,
Car je leur ai tout pris,
Que je me dois de t'aimer
Et que je t'aimerais.

[bougateu]

BAtking t'es le meilleur j'aime trop ton poéme :twisted:

[Herr Magnus]

* Un personnage à la mine inquiétante se tient aux abords de l'église, scrutant la sortie des fidèles. Il se dirige soudain vers une jeune femme, qu'il apostrophe discrètement *

- Herr Magnus: "Hum, bonjour Chilnéa. Je suis le démon HM et j'ai un... euh... conseil à te demander"

- Chilnéa: "Voui, je t'écoutes mon gros. Je suis toujours prête à venir en aide à mon prochain"

- HM, embarrassé: "Ben voilà... je voudrais participer au concours de poème, mais je ne pige pas en quoi ça consiste vraiment. Et il paraît que tu es douée en la matière"

-Chilnéa, amusée: "C'est pourtant simple. Pour faire un bon poème, il te suffit de laisser libre cours à ton instinct et d'aligner des vers"

- HM: "Ah, bon c'est tout? Ben merci, je m'y mets tout de suite"

* Joignant le geste à la parole, le démon se dirige vers une dame âgée qu'il attrappe avec violence par les cheveux. Il la traîne sur quelques mètres et, malgré les cris et les pleurs de celle-ci, lui écrase la tête contre le mur de l'église. Il soulève ensuite le corps de la malheureuse, et la place sur son épaule tel un vulgaire sac de patates avant de s'éloigner en direction du centre-ville *

- Chilnéa, horrifiée: "Mais, grand Dieu, que fais-tu Magnus !?"

- HM: "Ben j'vais vite l'enterrer dans mon jardin. Je peux pas perdre de temps si je veux avoir asez de vers pour le concours de lundi...."

[Chilnéa]

(HRP : Je suis morte de rire :lol: :lol: :lol: :lol: )