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Je maintiens qu'on joue plus facilement des méchants, parce que le JdR offre la possibilité de jouer un perso ouvertement mauvais sans que cela soit vu comme amoral. Dans la vraie vie, tabasser un type, puis lui marcher dessus pour le faire avouer, c'est vu comme très mal (normalement). En JdR, c'est un moyen accepté et acceptable d'obtenir une info.
Sinon, j'aimerais qu'on m'explique la théorie des "méchants qui marquent" parce que sérieux, Nadir, c'est pas un méchant en soi, juste un ange un peu pourri. Dariel, c'est juste, mais il manque surtout Ary dans le tas, l'ange le plus pourri/mauvais/infect de l'histoire. Et côté démons, je n'ai pas souvenir que Benko, Malback ou Axe se soit singularisé comme particulièrement méchants, pourtant ils sont marquants.
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Mais euh... on peut revenir au sujet de base ? ^^
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Bah, je demande en quoi, un démon débutant prendrait Geno' comme modèle plutôt que je sais pas moi, Nergal ou Axe. Parce qu'Axe, il est peut-être pas méchant, mais sa folie a pu faire froid dans le dos.
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Question de ressenti.
A travers les vagues du temps ce sont les postes de Génocide que je retrouve, c'est tout.
Passons.
J'ai souvent entendu que les démons étaient un camps de "méchant", qu'ils ne pouvaient pas s'entendre, que c'est un panier de crabe. Ben c'est vrais. L'ambiance peut même être minante, néanmoins ce n'est pas la seule alternative.
Tout d'abord, les seuls qui ne bénéficierons d'aucune entre aide, ce sont les renégats. Ensuite, tous les démons croient en une Cause, et pourquoi pas? En une forme de justice. Fondamentalement, ils sont les premiers à avoir prit le parti de l'humanité.
J’essaie donc de montrer simplement que les aprioris de certains sur les démons sont erronés.
Sinon Galila, possible que les deux premiers posts, dont le tient, sont exhaustif. Raison pour laquelle on s'écarte du sujet.
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uhuhuhuh
Parce que s'envoyer en l'air avec des femmes s'était prendre le parti de l'humanité ? :mrgreen:
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Y a eut l'enseignement qui as suivit quand même.
Bon.
Pour faire plaisir à Shagshog: les démons (ou du moins les anges qu'ils étaient à l'époque) sont les premiers à s'être intéressé de prêt à l'humanité....
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Biiiiiiiippppp !!!!!!
Toujours faux à mon avis.
D'un ce n'est pas tant à l'humanité que se sont intéressé les démons qu'aux femmes. Si leur seul " erreur " avait été un intérêt pour l'humanité il n'aurait pas chûté.
De deux il y avait aussi déjà des anges restés fidèles à Dieu pour s'intéresser aux humains. Christophe ou Novalis pour ne citer qu'eux.
Donc pas de primauté d'un camp sur l'autre en la matière. Juste deux types d'intérêt différent plus certains qui n'en avaient strictement rien à battre et ce dans les deux camps.
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Il y a quand même Adam qui était vachement humain dans son comportement.Préférer bouffer une pomme que croquer Eve. :lol:
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Ha mais mais si tu veut en etre de la, Shagshog , Kronos il en avait rien a foutre de l'humanité, c'est même absolument certain. Je ne sait pas ce que faisait Christophe, mais Novalis boudait purement et simplement.
En terme de camps, il y avait des impatients maladroits et, heu... Des gens qui auraient fait quelque chose au bout d'un certain temps?
Les premiers a avoir agit reste les démons. C'est certainement de la maladresse. Mais c'est les premiers a s'etre intéressé a la chose et a s'y investir j'en démords pas. Y a un certain charme la dedans, non?
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Il y avait un article sur slate y'a pas longtemps sur le sujet qui titrait "le mal n'existe pas". Chacune de nos actions peut avoir des conséquences mauvaises (idéologiquement ou moralement), mais en soi notre cerveau est incapable dans 99% de cas de prendre consciemment une mauvaise décision. On trouve toujours moyen de se justifier, de se dire que ce qu'on fait est bien (le violeur qui dit à sa victime "tu vas voir, tu vas aimer !"). L'axe du mal c'est toujours l'autre.
Alors, comment jouer un démon, une créature qui par essence doit faire le mal ? La réponse à mon avis c'est de ne pas s'identifier au perso dans un rapport joueur-héro idéalisé, qui va conduire automatiquement à tenter de justifier le mal, mais au contraire de faire de son démon une caricature du mal, quelque chose qui ne peut provoquer que le rire au final, pas un transfert mais plutôt une katharsis.
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