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Annonce importante : recherche écrivains fondus d'INS/MV
#41
Moi jaime bien. Par contre j'ai pas bien compris comment les pouf vont passer d'un contrat qu'elles croient signé pour la télé au statut d'incarnation pour ange ?
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#42
Hem... on parle bien d'anges là ? Confusedhock:

D'accord ils ne sont pas tous blancs comme neige... mais de là à faire concurrences aux serviteurs d'Andrealphus (eux aussi)...
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#43
Je vire mes reponce car:
1- Ce n'est pas l'endroit pour discuter du pour ou contre, mais pour proposer, le reste n'as rien a y faire.
2- J'ai ouvert un autre sujet pour discuter.
3- Je propose aux autres de faire de meme.
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#44
Meme si le texte est bien néko, je crains qu'il n'engendre une vague de perversions chez les marcs. Il faudra ptet un peu temperer tout ca avec le reste de la description de marc .
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#45
Non Neko, je suis d'accord comme j'ai dit (ils ne sont pas tous blancss, surtout à Immac... enfin bref). Mais là c'est sensé représenter les serviteurs d'un supérieur, non ? Est-ce que c'est bien l'exemple à donner aux nouveaux joueurs se renseignant sur les supérieurs. Est-ce que cela ne va pas être un peu trop orienté vers le sexe plutôt que véritablement le contrat ?
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#46
Exemple beaucoup trop extrème à mon avis Neko. Les Anges sont à leur façon de pires salauds que les Démons, mais ça, c'est too much.
Oui les humains doivent offrir leurs corps volontairement pour accueillir un Ange, mais à mon avis, non ça ne peut pas se passer comme ça.
Offrir son corps à Dieu n'est pas un acte charnel, mais un acte spirituel.

Crois tu que cette nana ait une place au Paradis? Certainement pas. Elle a la trempe pour bosser che Andrealphus, mais le Paradis... N'y songes même pas, son âme est trop noire pour ça, et elle est bouffie d'orgueuil et d'ambition... Ou alors, tu rajoutes une seconde partie, où la nana se révèle démone, et tue le prêtre pour plomber le système de recrutement des Anges.
Ca, ce serait typique INS/MV.
Ce que je veux dire, c'est que ce texte est une bonne chronique, mais ne peut pas, à mon sens, consituer un exemple de ce que peut être un Ange de Marc.
Tu aimes les personnages d'enfoiré, et le concept guerre pour les âmes à tout prix? Je ne peux pas t'en blâmer. Mais tu as autant de profils mentaux d'Anges que de profils mentaux d'humains, la même chose est valable pour les Démons. Quand tu dois donner un exemple, il faut hélas donner un certain stéréotype au perso tout en faisant cependant en sorte d'ouvrir vers des possibilités.

Les jeunes Anges sont souvent des naïfs, ce sont les vieux qui deviennent horriblement cyniques. Les plus vieux même se rapprochent des Démons, parce qu'ils ont bien vu que le monde est pourri, alors ils deviennent comme le monde. C'est comme les jeunes Démons, souvent ce sont des chiens fous, mais avec le temps, ils apprennent la méfiance et à être plus serieux dans le travail.

Personnellement, j'aurais plus vu le Marc comme un prêtre missionaire dans un orphelinat d'un pays en guerre. Un type qui pour sauver les gamins de la misère, utilise leurs corps pour y incarner des Anges qui vont prendre part dans le conflit de ce pays, et probablement se faire tuer.
Moralement, c'est ambigu aussi, sans être poussé à l'extrème.
"Si tu crois suffisament, Dieu te sauvera mon enfant..."
Oui, sauf que pour être sauvé, il devra abandonner son corps, ce qui équivaut à mourir... C'est pas joli joli non plus.

Je maintiens cependant que c'est un très bon texte. Ca m'a rappellé un passage de l'Echiquier du Mal de Dan Simmons.
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#47
Pom pom pom

Quote:Karine,
Ma toute belle, mon aimé,
La muse qui ma inspiré
Ma maitresse, ma feline.

Sent, sur ta peau
Toute offerte a mes mains,
Qui glissent dans ton dos
lentement vers ton bassin.

Moi je la sens tantot
Ferme, tantot molle,
Tandis que part petit saut
A mon massage qui te cajole,

Tu reagies avec douceur
Ou peu etre est-ce le manque de force
Est-ce d'etre aussi tendu, feroce
Qui te sape ton ardeur?

Sur ta chair en parresse
Granuleuse parfois
Ou rebondie comme tes fesses
Que je parcoure de mes doits,

Lentement je libere
Tes mucles figés
De tendus, ils preferent
Etre mou, liquefier.

Dans ton dos, lentement,
Une a une elle craque,
Cedant sous mes attaques
Tes vertebres, c'est si charmant.

Et tes nerfs, toujours exiter,
De leurs tentions, maladivement
Enfin se dilovent lentement,
Sous mon fameux doiter

J'embrasse tes cheveux
Respire l'odeur de ta nuque
Avec ce nouveau parfum si soyeux
qui me rappelle le musc,

Enfin ton corp abandonne
Toutes ses resistances
Et se livre en pitence
A mon oeuvre, sans vergogne.

Finallement je marque
De mes doits sur ton corps,
Au prix de delicieux efforts
Le merveilleux issus de moi.

Je te laisse là, nue,
Respirante, alletante,
La concience flottante,
La pensée perdu.

Karine,
Ma toute belle, ma muse, mon aimé,
Une perfection, image de la beauté a jamais égaré,
Tu as toute ta vie pour en souffrir, coquine!

Karine... La lèpre te vas si bien...

Comme pour l'autre, c'est un petit texte d'introduction pour Malthus, Prince-demon de la maladie.

Et comme pour l'autre: On a demander de faire du texte pour INS/MV, je fais du texte pour INS/MV.
Et comme pour l'autre: Je me fou si cela plait ou pas. Tant j'apporte quelque chose en produisant pour le site, le reste...
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#48
(Petit texte, sur le thème d'Andrealphus. Pas vraiment un exemple, mais si vous trouvez qu'il convient, n'hésitez pas. C'est davantage un essai de style.)

Elle le sentait derrière son dos. Sa présence s'était faite plus tangible alors que la musique s'écoulait autour d'elle. Doucement, lentement, elle avait apâté la proie, elle l'avait vue, depuis son entrée dans la discothèque, suivre la longue spirale parfaitement rôdée qui le menerait à elle. Ses cheveux blonds, ses yeux verts et ce sourrire de séducteur... La meilleure bête du troupeau, un étalon à dompter. Cette nuit. C'était pour cette nuit.

Il était entré il y a deux heures déja, altier dans ses largesses...
Des pièces jaunes, de billets verts et des cartes bleues...
Le videur soudoyé, il avait payé une tournée, et offert à large pourboire à la serveuse, affichant ce sourrire suffisant. Il était beau dans son masque, dans son mensonge et son orgueueil, comme un empereur fièrement drapé dans sa toge, au milieu d'une ville en flammes, ignorant que le feu le consumme déja. Il commençait le ballet des couleurs qui le mènerait jusqu'à elle.

Quelques minutes plus tard, il était sombre comme un poète pris de folie...
Des cocktails rouges, des alchools bleus, des liqueurs jaunes...
Décoiffé, riant comme un dément sans but ni raison, il vidait les verres comme pour combler le trou de sa personnalité vacante. Sa réserve s'amenuisait, tout comme ses résistances. Le fruit mûrissait doucement, baignant dans l'alchool, confit de décadence. Son rire raisonnant, comme l'écho de sa pudeur, hurlant au bord du gouffre où il la précipitait. Soudain, il se leva et se dirigea vers les toilettes...

C'est dans l'obscurité, dans le secret, que le ballet se poursuivait...
Comprimés roses, pillules bleues et herbe verte...
Dans l'ignorance et dans l'oubli, il troquait son restant de dignité contre les paradis artificiels, il s'attachait lui-même au chevalet de son bourreau. Le voila qui sortait, détruit et pourtant débordant d'énergie. Frankeinstein de l'humble, on lui volait sa vie pour lui faire cadeau d'une autre, plus belle, plus folle, mais aussi tellement courte... Il était vaincu, cet étalon, et il cavalait vers la boucherie comme si il ne devait plus jamais courrir. Il l'avait rejointe sur la piste de dance...

Se déhanchant follement sur la musique, il mettait ses dernières forces dans son chant du cygne...
Projecteurs jaunes, lumières rouges, et dalles bleues...
Il dansait pour elle, il l'apporchait, elle pouvait le sentir. Elle attendait impatiement le contact. Elle savait qu'il viendrait... Là, maintenant. Son bassin frottait sa minijupe tandis que son corps à elle se déhanchait sur la musique. Elle sourrit pour elle-même. Le poisson était ferré. Elle se pencha un peu en avant pour appuyer sa croupe sur le bassin de sa proie. Oui, il la voulait... Frottes toi, comme ça... Bien... Tu es à moi.
Des bras l'entourrèrent et elle s'y lova, bougeant sensuellement son corps contre celui de cette proie qui se croyait chasseur.

Et au milieu des lumières, ses mains se la découvrirent...
Peau rose, dentelle blanche et lèvres rouges...
Tout se jouerait au premier regard, il serait sien à jamais.
... Et des yeux noirs, si noirs...
Dans lesquels il plongea sans hésiter.

L'Enfer est une spirale, se perdant dans un regard
Tel un message à l'entrée: "Abandonnes tout espoir..."
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#49
C'est excellent, Kanya.
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#50
Quote:Dans « vocabulaire » tu as Voca et Bulaire !
- Ouais… Et alors ?
- Ben, si t’inverses les deux, ça veut plus rien dire du tout !

#################################################

Sonia entra dans le bureau du producteur d'un pas ferme et déterminé. Elle y était enfin, elle avait sa chance, il ne fallait pas la rater. Une chance de changer de vie, de goûter au star système, d'être à son tour riche et célèbre. Et c'était ce salopard adipeux assis derrière son bureau qui détenait les clefs de son avenir. Elle ferait tout ce qu'il faudrait pour gagner la partie.

Elle avait toujours détesté d’où elle venait : des banlieues minables, des mecs encore plus méprisable et dont les seules ambitions était de toucher un salaire de misère pendant six mois pour se mettre au chômage en perdant leur temps entre les pétards et les bedos.

Dès le lycée, elle avait compris qu’elle pourrait obtenir bien plus en baisant qu’en bossant : il suffisait de voir les profs bander en matant son décolleté. Elle avait su utiliser ses atouts pour ne rien avoir à faire, mais ça restait minable. Elle voulait l’élite, la gloire, côtoyer les Stars et le grand monde. En répondant à l'annonce, elle était certaine de remporter l'audition, de mettre ce producteur de cinéma dans sa poche, ce qui ferait d’elle la prochaine vedette.

Elle avait commencé à douter en arrivant dans la salle d’attente : une quinzaine de filles, toutes bien foutues attendaient là. Bien sur, elle faisait partie des plus belles, mais elle avait bien compris que la concurrence serait rude. Elle envoya paître sans une seconde d'hésitation l'assistant qui lui laissa entendre qu’il pourrait lui trouver un second rôle si elle se montrait gentille et les évènements lui donnèrent raison : Quand le producteur vint choisir les candidates potentielles, elle faisait partie des six filles invitées à entrer dans la seconde salle d’attente. Elle ne se souciait que peu des 3 premières, mais les deux dernières, une superbe blonde et une rousse pulpeuse, étaient des obstacles qu’elle devait écarter de sa route vers le succès.

Elle étaient prêtes à quoi, elles ? Probablement à faire beaucoup, et Sonia se demandait comment elle ferait pour remporter le gros lot. Elle devrait probablement lui sortir le gros lot et multiplier les cabrioles mais cela ne lui posait pas de problèmes. Elle le ferait et le ferait encore, pour gagner. Le directeur invita alors la première dans son bureau, et les bruits que les autres candidates entendirent ensuite ne laissèrent aucun doute sur la méthode de sélection préferée de cet homme. La fille ressorti, un air triomphant affiché sur le visage. Sonia avait envie de la gifler mais elle se retint. Se crêper le chignon ici ne l'avancerait à rien. Les quatre autres filles étaient passées mais à part quelques gloussements du producteur et des cris offusqués, il n'y avait eu aucun autre bruit suspect. Alors Sonia était entrée à son tour.

Tout en fumant son gros havane l’air satisfait, Gerard Guilout lui avait posé la question si classique : « Qu'êtes-vous prête à faire pour réussir ? » La réponse à donner, Sonia l'avait apprise par coeur et la bouche en coeur, elle dit d'un air faussement innocent : « Oh mais tout ce qu'il faudra, m'sieur, je suis prête à tout... » Et sans attendre qu'il dise quoi que ce soit d'autre, elle se leva de son siège et commença à avancer vers lui en se déhanchant d'une manière ouvertement provocatrice, déboutonnant lentement son chemisier. Elle se passa la langue sur les lèvres comme elle avait vu Claudia Cardinal le faire dans "les pétroleuses", un film culte. Le producteur sourit de toutes ses dents et lui montra une série de feuillets dactylographiés qui étaient posés sur son bureau.
« Je vois ça ma chérie, je vois ça. Non, non, non, ce n'est pas la peine de t'agenouiller, ce ne sera pas nécessaire... Tu n'es pas une de ces poufiasses qui hantent mon antichambre nuit et jour.... Tu as un vrai talent... »

Gérard Guilout lui tendit un stylo et lui indiqua le bas du premier feuillet.

« Voilà pour toi, ma jolie. Tu n’as qu’à signer ici, et cet après-midi, ce sera ton tour d'entrer parmi les élus de ce monde. Tu vas quitter ta petite vie minable et découvrir le paradis... Tu vas en crosier, des stars ! Et tu verras, tu en seras complètement changée que ton corps déjà magnifique sera bientôt encore plus beau que ce qu’il est maintenant, je t’en fais la promesse…
- Je ne suis pas une idiote, monsieur guilout, répliqua Sonia. Je sais bien qu’il n’y à rien de gratuit ici, alors elle est où l’arnaque ?
- Ah ! Ah ! Tu sais que je t’aime bien toi ? »

Gérard Guilout la reconduisit jusqu'à son siège et l'aida même à reboutonner son chemisier. il lui sourit gentiment et l'embrassa doucement sur la joue.
« En effet, il y a une condition. tu étais prête à t'offrir pour réussir et en fait et bien, il le faudra, effectivement. Tu es un vrai petit bijou tu sais… Non, non, ne dis rien, je te le dis comme je le pense, je suis très sincère ! Moi aussi j’ai des gens au-dessus de moi tu sais, et tout en haut, il y a le chef absolu. Le Big Boss. Enfin, quand il n'est pas en vacances à la bourboule bien sûr. Il est très intéressé par les gens comme toi, et comme tu 'las compris, c'est à lui que tu devras t'offrir... »

Gérard Guilout sourit en voyant que Sonia ne semblait pas particulièrement dérangée par le pacte qui lui était proposée. Se vendre à l'un ou à l'autre ne lui posait fondamentalement pas de problèmes et Gérard se sentait profondément satisfait d'aider cette jeune femme à trouver le bon client...

« Alors tu le signes ce contrat ? Tu verras, tu monteras dans les plus hautes sphères grâce à ça, je t’en donne ma parole. Tu verras : c’est divin ! C’est fait ? Bien ! Tiens prends cette carte avec ce petit mot : Tu te rends a cet endroit à 15h précise, tu as bien compris ?
- Mais ? C’est l’église de la vieille-ville, ça ?
- Oui, oui, c’est bien l’église. On va y tourner une nouvelle série télé, et tu feras partie de des acteurs principaux, ça te va ? Bien ! Alors soit-y bien et présente cette carte au prêtre, il est dans le coup. Dis-lui que tu es prête à faire n'importe quoi pour obtenir le rôle et tout ira comme ça doit aller. »

Fermant la porte du bureau, Sonia sentait que le destin était en marche. Elle venait de signer son premier contrat avec la télé, et bientôt tout le monde n’adorerait qu’elle !
En sortant, elle passa devant le bureau de l'assistant qui profitait des massages buccaux d’une des recalées en quête de gloire mais qui devrait se limiter à des rôles de seconde zone. Sonia pouffa de rire de ce manque d’ambition et s'en alla affronter son destin.

Deux minutes plus tard, Gérard Guilout écrasa son cigare dans le cendrier et activa l'interphone. Son assistant entra immédiatement.
« Patron ? » Bafouilla-t-il maladroitement. « J’ai rédigé la prochaine annonce, les auditions auront lieu vendredi. J'ai aussi rédigé les contrats pour 4 des demoiselles de ce matin… »
La gêne du jeune homme débutant fit sourire le producteur… Ah ! Ces jeunes…
« Bien, mets ça avec le reste dans le coffre et envoies-les sur une des productions qu'on a en ce moment. La daube avec Delon là, ce sera très bien. Mais avant ça, tu te rhabilles correctement, on voit ton slip dépasser de ta braguette ouverte. »
Soudain rouge comme une ecrevisse, l'assistant sorti en bafouillant quelques mots d'excuse. Gérard empoigna alors son téléphone protable et composa le numéro du père Thisquen.

« Allô mon père ? Oui, c’est Itellénel. J’ai dégotté une petite nouvelle. Elle arrivera cet après-midi, à quinze heures précises. Oui mon père, j'en ai choisie une qui avait l'air moins vulgaire que celle de la dernière fois mais que voulez-vous, je ne peux faire qu'avec celles que le Seigneur m'envoie... Oui, elle est prête à tout et elle a signé le contrat stipulant qu'elle était volontaire pour laisser leur corps à l'und es nôtres en échange d'une place au paradis. Comment ça , Mais non mon père, il ne faut pas avoir de scrupules, elle va prononcer la formule rituelle, les règles sont respectées. Et puis c'est toujours une brebis égarée de sauvée, c'est ça l'essentiel, non ? Oui, je suis très satisfait de l'assistant que vous m'avez envoyé, mon père. Je pense que je remplirais les forumlaires pour une demande de promotion d'ici peu de temps. »

Puis, raccrochant son téléphone, il s’approche de la baie vitrée du bureau en murmurant pour lui-même. « Ah là, là… Marc, mon cher maître à penser… Merci d’être ce que tu es... Car il n’y a pas à dire: j’adore mon boulot!... »
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