03-05-2005, 02:34 PM
Exemple beaucoup trop extrème à mon avis Neko. Les Anges sont à leur façon de pires salauds que les Démons, mais ça, c'est too much.
Oui les humains doivent offrir leurs corps volontairement pour accueillir un Ange, mais à mon avis, non ça ne peut pas se passer comme ça.
Offrir son corps à Dieu n'est pas un acte charnel, mais un acte spirituel.
Crois tu que cette nana ait une place au Paradis? Certainement pas. Elle a la trempe pour bosser che Andrealphus, mais le Paradis... N'y songes même pas, son âme est trop noire pour ça, et elle est bouffie d'orgueuil et d'ambition... Ou alors, tu rajoutes une seconde partie, où la nana se révèle démone, et tue le prêtre pour plomber le système de recrutement des Anges.
Ca, ce serait typique INS/MV.
Ce que je veux dire, c'est que ce texte est une bonne chronique, mais ne peut pas, à mon sens, consituer un exemple de ce que peut être un Ange de Marc.
Tu aimes les personnages d'enfoiré, et le concept guerre pour les âmes à tout prix? Je ne peux pas t'en blâmer. Mais tu as autant de profils mentaux d'Anges que de profils mentaux d'humains, la même chose est valable pour les Démons. Quand tu dois donner un exemple, il faut hélas donner un certain stéréotype au perso tout en faisant cependant en sorte d'ouvrir vers des possibilités.
Les jeunes Anges sont souvent des naïfs, ce sont les vieux qui deviennent horriblement cyniques. Les plus vieux même se rapprochent des Démons, parce qu'ils ont bien vu que le monde est pourri, alors ils deviennent comme le monde. C'est comme les jeunes Démons, souvent ce sont des chiens fous, mais avec le temps, ils apprennent la méfiance et à être plus serieux dans le travail.
Personnellement, j'aurais plus vu le Marc comme un prêtre missionaire dans un orphelinat d'un pays en guerre. Un type qui pour sauver les gamins de la misère, utilise leurs corps pour y incarner des Anges qui vont prendre part dans le conflit de ce pays, et probablement se faire tuer.
Moralement, c'est ambigu aussi, sans être poussé à l'extrème.
"Si tu crois suffisament, Dieu te sauvera mon enfant..."
Oui, sauf que pour être sauvé, il devra abandonner son corps, ce qui équivaut à mourir... C'est pas joli joli non plus.
Je maintiens cependant que c'est un très bon texte. Ca m'a rappellé un passage de l'Echiquier du Mal de Dan Simmons.
Oui les humains doivent offrir leurs corps volontairement pour accueillir un Ange, mais à mon avis, non ça ne peut pas se passer comme ça.
Offrir son corps à Dieu n'est pas un acte charnel, mais un acte spirituel.
Crois tu que cette nana ait une place au Paradis? Certainement pas. Elle a la trempe pour bosser che Andrealphus, mais le Paradis... N'y songes même pas, son âme est trop noire pour ça, et elle est bouffie d'orgueuil et d'ambition... Ou alors, tu rajoutes une seconde partie, où la nana se révèle démone, et tue le prêtre pour plomber le système de recrutement des Anges.
Ca, ce serait typique INS/MV.
Ce que je veux dire, c'est que ce texte est une bonne chronique, mais ne peut pas, à mon sens, consituer un exemple de ce que peut être un Ange de Marc.
Tu aimes les personnages d'enfoiré, et le concept guerre pour les âmes à tout prix? Je ne peux pas t'en blâmer. Mais tu as autant de profils mentaux d'Anges que de profils mentaux d'humains, la même chose est valable pour les Démons. Quand tu dois donner un exemple, il faut hélas donner un certain stéréotype au perso tout en faisant cependant en sorte d'ouvrir vers des possibilités.
Les jeunes Anges sont souvent des naïfs, ce sont les vieux qui deviennent horriblement cyniques. Les plus vieux même se rapprochent des Démons, parce qu'ils ont bien vu que le monde est pourri, alors ils deviennent comme le monde. C'est comme les jeunes Démons, souvent ce sont des chiens fous, mais avec le temps, ils apprennent la méfiance et à être plus serieux dans le travail.
Personnellement, j'aurais plus vu le Marc comme un prêtre missionaire dans un orphelinat d'un pays en guerre. Un type qui pour sauver les gamins de la misère, utilise leurs corps pour y incarner des Anges qui vont prendre part dans le conflit de ce pays, et probablement se faire tuer.
Moralement, c'est ambigu aussi, sans être poussé à l'extrème.
"Si tu crois suffisament, Dieu te sauvera mon enfant..."
Oui, sauf que pour être sauvé, il devra abandonner son corps, ce qui équivaut à mourir... C'est pas joli joli non plus.
Je maintiens cependant que c'est un très bon texte. Ca m'a rappellé un passage de l'Echiquier du Mal de Dan Simmons.