03-18-2013, 06:57 PM
Ça sifflote, ça sifflote même joyeusement.
Des bruits de pas spongieux et finalement Raynart, une grosse mallette médicale à la main.
Il s’arrête lorsqu'il voit les gens présent dans la pièce et jette un œil vers la machine à café, finalement il se dirige vers le petit groupe.
-Capitaine Angeline, un régale pour les yeux fatigué d'un pauvre démon après une journée de travail.
Vous êtes une des raisons qui me font lever le matin... Vous et un bon café. Il jette un nouveau regard vers la machine à café.
Chevalier Fougeolle. Il incline légèrement la tête, sans le quitter des yeux. Toujours en pleine forme à ce que je vois.
Puis il s’intéresse à Psilocybey. Il le détaille pendant deux secondes et finit par afficher un sourire qui découvre toutes ses dents blanches. (n°152, le: Je suis inoffensif mon ami, s'il te plait pense que je suis inoffensif.)
Il s'approche d'un pas et tend sa main pour serrer celle du Kronos. Une main propre, manucuré, au bout de la main Raynart, un Raynart des grand jours, costume blanc immaculé à la coupe impeccable, cravate noir. Cheveux dit au saut du lit, calculé au millimètre pour paraitre naturelle.
Et pieds nus, recouvert d'huile de moteur usagé.
-Enchanté, je suis Raynart. Bienvenue dans l'Antre. Il jette un autre regard discret vers la machine à café, légèrement crispé.
Des bruits de pas spongieux et finalement Raynart, une grosse mallette médicale à la main.
Il s’arrête lorsqu'il voit les gens présent dans la pièce et jette un œil vers la machine à café, finalement il se dirige vers le petit groupe.
-Capitaine Angeline, un régale pour les yeux fatigué d'un pauvre démon après une journée de travail.
Vous êtes une des raisons qui me font lever le matin... Vous et un bon café. Il jette un nouveau regard vers la machine à café.
Chevalier Fougeolle. Il incline légèrement la tête, sans le quitter des yeux. Toujours en pleine forme à ce que je vois.
Puis il s’intéresse à Psilocybey. Il le détaille pendant deux secondes et finit par afficher un sourire qui découvre toutes ses dents blanches. (n°152, le: Je suis inoffensif mon ami, s'il te plait pense que je suis inoffensif.)
Il s'approche d'un pas et tend sa main pour serrer celle du Kronos. Une main propre, manucuré, au bout de la main Raynart, un Raynart des grand jours, costume blanc immaculé à la coupe impeccable, cravate noir. Cheveux dit au saut du lit, calculé au millimètre pour paraitre naturelle.
Et pieds nus, recouvert d'huile de moteur usagé.
-Enchanté, je suis Raynart. Bienvenue dans l'Antre. Il jette un autre regard discret vers la machine à café, légèrement crispé.