01-08-2011, 08:30 PM
Nadine Delasalle arriva devant la grille du manoir de son mari. Elle devait impérativement finaliser la transaction dans les jours à venir. il était très tard, Mickaël serait probablement dans un club en train de draguer des jeunes minots, où bien dans son lit, ronflant du sommeil du juste. Elle entra et commença à lire les lettres qui étaient toujours laissées à son intention dans le tiroir de la commode de l'entrée.
Rien d'intéressant. Elle monta délicatement les marches pour se diriger vers son bureau tout en sortant la clef de son sac à main. Elle posa la main sur la poignée. La porte s'ouvrit sans qu'elle n'ait eu besoin de la déverrouiller. Elle s'arrêta net, quelque chose n'allait pas.
C'est à ce moment là que Mickaël sortit de sa chambre accompagné par un jeune homme dans la vingtaine. Les deux hommes étaient torses nus et avaient apparemment enfilé un pantalon à la va vite.
Ah, c'est toi ma belle!
Il montra Jonathan d'un geste de la main.
Je te présente Jonathan, il a entendu des bruits et nous avons cru qu'un voleur était dans la maison.
Nadine fit un sourire et scruta de façon insistante l'individu à côté de son mari. Finalement elle s'approcha et tendit la main pour saluer Oniriel.
Ravie de vous rencontrer. Je ne vous dérangerai pas longtemps, je repars demain pour l'Italie. Les affaires n'attendent pas.
Elle laissa un léger silence puis rajouta:
Vous devez être un petit ange pour que mon mari vous accueil ici? je sais que c'est plutôt rare de sa part. Il a dû être impressionné par votre innocence.
Oniriel trouva la question dangereuse, cette femme était plus que ce qu'elle laissait paraitre, quelque chose chez elle le dérangeait profondément mais il ne savait pas quoi. Il lui serra la main et s'apprêta à dire quelque chose, mais heureusement, Mickaël répondit à sa place.
En fait, c'est moi qui suis allé le draguer sur une piste de danse il y a deux jours. On aurait dit un jeune chien fou qui sautait partout, je l'ai trouvé ... adorable et j'aime bien sa naïveté enfantine.
Nadine rigola de bon coeur.
Bon, je dois finaliser quelques papiers et ensuite je vais aller dans ma chambre dormir un peu. nous parlerons plus en détail demain matin pendant le petit dejeuner.
Sur ces mots, chacun retourna dans les bras de Morphée, mais le sommeil refusait de venir à Oniriel. Il y avait un danger et il pouvait le sentir.
Rien d'intéressant. Elle monta délicatement les marches pour se diriger vers son bureau tout en sortant la clef de son sac à main. Elle posa la main sur la poignée. La porte s'ouvrit sans qu'elle n'ait eu besoin de la déverrouiller. Elle s'arrêta net, quelque chose n'allait pas.
C'est à ce moment là que Mickaël sortit de sa chambre accompagné par un jeune homme dans la vingtaine. Les deux hommes étaient torses nus et avaient apparemment enfilé un pantalon à la va vite.
Ah, c'est toi ma belle!
Il montra Jonathan d'un geste de la main.
Je te présente Jonathan, il a entendu des bruits et nous avons cru qu'un voleur était dans la maison.
Nadine fit un sourire et scruta de façon insistante l'individu à côté de son mari. Finalement elle s'approcha et tendit la main pour saluer Oniriel.
Ravie de vous rencontrer. Je ne vous dérangerai pas longtemps, je repars demain pour l'Italie. Les affaires n'attendent pas.
Elle laissa un léger silence puis rajouta:
Vous devez être un petit ange pour que mon mari vous accueil ici? je sais que c'est plutôt rare de sa part. Il a dû être impressionné par votre innocence.
Oniriel trouva la question dangereuse, cette femme était plus que ce qu'elle laissait paraitre, quelque chose chez elle le dérangeait profondément mais il ne savait pas quoi. Il lui serra la main et s'apprêta à dire quelque chose, mais heureusement, Mickaël répondit à sa place.
En fait, c'est moi qui suis allé le draguer sur une piste de danse il y a deux jours. On aurait dit un jeune chien fou qui sautait partout, je l'ai trouvé ... adorable et j'aime bien sa naïveté enfantine.
Nadine rigola de bon coeur.
Bon, je dois finaliser quelques papiers et ensuite je vais aller dans ma chambre dormir un peu. nous parlerons plus en détail demain matin pendant le petit dejeuner.
Sur ces mots, chacun retourna dans les bras de Morphée, mais le sommeil refusait de venir à Oniriel. Il y avait un danger et il pouvait le sentir.