04-14-2007, 09:19 PM
Mais où qu'elle court cette abrutie ?
"Hey Nyr..."
Mais..mais..Rhôôô ! C'est qu'elle ose me nier la gueule, l'infâme !
Et puis c'est quoi cette arme de racaille du pauvre qu'elle se trimballe ?
Et sa batte ?
Et moi ?
Et Dieu dans tout ça ?
Dieu n'était pas là, moi j'entrai dans le magasin et de battes j'en trouvai un rayon plein.
Par contre le reste était sens dessus dessous, et puis cette odeur...Euark, un sensible mélange de sueur, de foutre et de blasphème.
Pas très commercial tout ça.
"Ahem, excusez moi mais je...SAINTE MERDE DE DIEU"
De deux choses l'une : soit les moeurs sexuels français frôlaient l'hérésie, soit cet homme là avait été victime de l'esprit démoniaque le plus pervers qu'il m'avait été donné de rencontrer.
En tout cas la chose que je vis ce jour là me troua le cul.
Et c'était peu de le dire.
Je compris donc qu'il était temps de mettre en marche mes 87kg de muscles et d'houblon afin de rattraper ma chef de section qui, à n'en pas douter, était arrivée à la même conclusion que moi.
C'allait plopper grave!
3 actualisations de coordonnées GPS plus tard, je me retrouvai devant une bouche de métro désespérément vide. Limite flippant. C'est pourquoi je pris vaillamment mon courage à deux mains et me rendis invisible.
Des fois que.
Mais rien n'aurait pu me préparer à la scène qui suivit.
Non, que dalle.
Sauf peut-être une soirée open-bar, mais aucune pompe à l'horizon.
J'entrai donc silencieusement dans la rame de métro et c'est à ce moment que je la vis.
Nyrielle !
Elle se tenait là, triomphante, plantée face à ce qui allait certainement ressembler à une oeuvre d'art abstraite sanguinolente dans moins de trente secondes lorsque...
Rien !
Un putain de gigantesque moment d'absolument rien !
Tout bonnement incroyable.
Nyrielle, sa Nyrielle, Batte-girl Nyrielle, Shrapnel Nyrielle était à deux coups de cutter de dépecer un démon et pourtant elle ne faisait même pas mine de lever le petit doigt du pouce du cul sa main gauche -la plus faible.
Un énorme sentiment de doute m'envahit tandis que je me rapprochais des deux acteurs de cette scène surréaliste, et arrivé à leur hauteur je me souvins soudain des saintes paroles de celle qui se tenait à côté de moi :
Dans le doute, t'headshoutes !
Détonation.
La silhouette de Philibert réapparut partiellement, sortant Nyrielle de son inexplicable léthargie. Le grand balourd sourit puis tapa vigoureusement dans le dos de sa collègue.
"T'inquiète pas va, ça restera entre nous..."
Et ils partirent comme si de rien n'était, laissant sur place le seul témoin de ce qui venait de se passer.
Heureusement, celui là était plutôt du genre taiseux.
"Hey Nyr..."
Mais..mais..Rhôôô ! C'est qu'elle ose me nier la gueule, l'infâme !
Et puis c'est quoi cette arme de racaille du pauvre qu'elle se trimballe ?
Et sa batte ?
Et moi ?
Et Dieu dans tout ça ?
Dieu n'était pas là, moi j'entrai dans le magasin et de battes j'en trouvai un rayon plein.
Par contre le reste était sens dessus dessous, et puis cette odeur...Euark, un sensible mélange de sueur, de foutre et de blasphème.
Pas très commercial tout ça.
"Ahem, excusez moi mais je...SAINTE MERDE DE DIEU"
De deux choses l'une : soit les moeurs sexuels français frôlaient l'hérésie, soit cet homme là avait été victime de l'esprit démoniaque le plus pervers qu'il m'avait été donné de rencontrer.
En tout cas la chose que je vis ce jour là me troua le cul.
Et c'était peu de le dire.
Je compris donc qu'il était temps de mettre en marche mes 87kg de muscles et d'houblon afin de rattraper ma chef de section qui, à n'en pas douter, était arrivée à la même conclusion que moi.
C'allait plopper grave!
3 actualisations de coordonnées GPS plus tard, je me retrouvai devant une bouche de métro désespérément vide. Limite flippant. C'est pourquoi je pris vaillamment mon courage à deux mains et me rendis invisible.
Des fois que.
Mais rien n'aurait pu me préparer à la scène qui suivit.
Non, que dalle.
Sauf peut-être une soirée open-bar, mais aucune pompe à l'horizon.
J'entrai donc silencieusement dans la rame de métro et c'est à ce moment que je la vis.
Nyrielle !
Elle se tenait là, triomphante, plantée face à ce qui allait certainement ressembler à une oeuvre d'art abstraite sanguinolente dans moins de trente secondes lorsque...
Rien !
Un putain de gigantesque moment d'absolument rien !
Tout bonnement incroyable.
Nyrielle, sa Nyrielle, Batte-girl Nyrielle, Shrapnel Nyrielle était à deux coups de cutter de dépecer un démon et pourtant elle ne faisait même pas mine de lever le petit doigt du pouce du cul sa main gauche -la plus faible.
Un énorme sentiment de doute m'envahit tandis que je me rapprochais des deux acteurs de cette scène surréaliste, et arrivé à leur hauteur je me souvins soudain des saintes paroles de celle qui se tenait à côté de moi :
Dans le doute, t'headshoutes !
Détonation.
La silhouette de Philibert réapparut partiellement, sortant Nyrielle de son inexplicable léthargie. Le grand balourd sourit puis tapa vigoureusement dans le dos de sa collègue.
"T'inquiète pas va, ça restera entre nous..."
Et ils partirent comme si de rien n'était, laissant sur place le seul témoin de ce qui venait de se passer.
Heureusement, celui là était plutôt du genre taiseux.
![[Image: douillelj0.jpg]](http://img490.imageshack.us/img490/1463/douillelj0.jpg)