08-07-2006, 10:23 PM
Il fut un temps où le simple nom de Srajitas faisait sourire doucement. Un mélange de sympathie forcée et de condescendance naïve envers ce pauvre être si peu gâté par la nature.
Cette époque est aujourd'hui révolue. A présent Srajitas énerve, Srajitas agace, en un mot Srajitas gave sévère.
En jouant la carte de l'agressivité gratuite, tout en n'ayant pas le courage de ses mots (il préfère en effet cacher derrière l'esbrouffe d'un vocabulaire hasardeux la platitude de ses piques acerbes) Srajitas se range désormais dans la cétagorie des comiques dits "vulgaires", comme Bigard ou Guy Montagné.
Il est certain qu'il est plus facile de faire rire les masses incultes avec un message simple, jouant sur la corde de la moquerie à deux sous, que d'utiliser l'humour, cette particularité propre à l'homme, pour élever la conscience collective des foules vers un état de conscience humoristique superieure (humble mission que je me suis fixée).
"Bite, nichon, couille, enculé" : tout un programme !
On retrouve dans la carrière comique de Srajitas tous les ingrédients du futur humoriste raté, se complaisant dans ses blagues éventées, trop désabusé pour encore oser lever la tête face aux coups du sort, mais trop lâche pour tenter d'en sortir définitivement et en beauté.
Ce genre d'énergumène finit généralement par mourir seul et oublié, à moins qu'il ne prolonge son agonie sociale en jouant les animateurs de supermarché lors de la "semaine du boudin" ou autre "foire au pinard" dans les supermarchés de province.
Il est regrettable qu'il se trouve encore des gens capables de le suivre dans son suicide verbal ; il n'en vaut pas la peine.
Srajitas, je t'avais prévenu et tu ne m'as pas écouté. Une dernière fois, pourtant, je te le demande : laisse l'humour à ceux qui ont la capacité de le faire vivre, de le laisser grandir en eux afin de déverser sur le monde le Miracle de la Joie.
Je n'ai qu'une chose à rajouter : ça
et puis ça aussi
Cette époque est aujourd'hui révolue. A présent Srajitas énerve, Srajitas agace, en un mot Srajitas gave sévère.
En jouant la carte de l'agressivité gratuite, tout en n'ayant pas le courage de ses mots (il préfère en effet cacher derrière l'esbrouffe d'un vocabulaire hasardeux la platitude de ses piques acerbes) Srajitas se range désormais dans la cétagorie des comiques dits "vulgaires", comme Bigard ou Guy Montagné.
Il est certain qu'il est plus facile de faire rire les masses incultes avec un message simple, jouant sur la corde de la moquerie à deux sous, que d'utiliser l'humour, cette particularité propre à l'homme, pour élever la conscience collective des foules vers un état de conscience humoristique superieure (humble mission que je me suis fixée).
"Bite, nichon, couille, enculé" : tout un programme !
On retrouve dans la carrière comique de Srajitas tous les ingrédients du futur humoriste raté, se complaisant dans ses blagues éventées, trop désabusé pour encore oser lever la tête face aux coups du sort, mais trop lâche pour tenter d'en sortir définitivement et en beauté.
Ce genre d'énergumène finit généralement par mourir seul et oublié, à moins qu'il ne prolonge son agonie sociale en jouant les animateurs de supermarché lors de la "semaine du boudin" ou autre "foire au pinard" dans les supermarchés de province.
Il est regrettable qu'il se trouve encore des gens capables de le suivre dans son suicide verbal ; il n'en vaut pas la peine.
Srajitas, je t'avais prévenu et tu ne m'as pas écouté. Une dernière fois, pourtant, je te le demande : laisse l'humour à ceux qui ont la capacité de le faire vivre, de le laisser grandir en eux afin de déverser sur le monde le Miracle de la Joie.
Je n'ai qu'une chose à rajouter : ça
et puis ça aussi