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Vois sur ton chemiiiiinn, ...
Elle répond par le même canal.

J'ai l'impression que notre présence empire la situation. Pour Corinna et sa mère, 40 s'en occupe. Le reste ... on verra demain.
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Jeanne aide l'homme qu'elle a calmé à relever son collègue tout en répondant au premier.

Sérieusement je pensais que l'école était un coin tranquille pour un rendez vous et j'entends des coups de feu et du verre brisé.Je décide de venir aider et vous pensez que je vous veux du mal?

Jeanne lance une détection du mensonge sur l'homme qu'elle a calmé.

D'ailleurs c'est vous qui êtes bizarre.Qu'est ce qu'un groupe de personnes avec des enfants comme vous faites dans une école en pleine nuit?
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Silver

L'homme ne fait pas grand cas du départ de Casimir, il tente laborieusement de soulever son compagnon endormi. Et quoiqu'il le fasse avec toute la douceur du monde, son collègue se réveille brusquement. Prit de panique, il repousse son ami, qui se trouve un peu décontenancé par cette violence.

Reprenant ses esprit, l'ex-dormeur observe son environnement, avise que celui qui le levait n'est pas hostile. Il fronce les sourcils à la présence de Jeanne, mais le calme de son comparse semble le rassurer quoiqu'il soit sur ses gardes. Il est clair qu'il n'a aucune idée du temps qu'il a passé à dormir. Le premier se tourne alors vers Jeanne.

La communauté de St Georges veut nous tuer... On le sait, c'est eux qui ont incendier le manoir. Et votre présence est suspecte.

Puis il tends la main vers l'ex-dormeur, et dit.

Tu vient ? On va fuir.

Avec un calme... déplacé.

40some

La porte de l'école est toujours ouverte. Peut être Casimir croise t'il Orianne et Guy sur le départ, à moins que ces derniers ne partent par la salle des instituteurs. Les deux femmes ne font pas d'effort pour se cacher, Corina sert sa mère dans ses bras, qui semble s'effondrer littéralement en pleure. Pour qu'elles voient Casimir, il faudrait qu'il rentre effrontément dans la pièce.

A peu près tout le monde.

Des sirènes de polices commence à se faire entendre... Trois coups de feu au cœur de la nuit, ça s’entend drôlement bien.
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En entendant les propos que l'individu tient à Jeanne, Casimir marque une pause. Sans se retourner, il adresse une dernière remarque aux individus.

La Communauté est fermée depuis que les flics y ont fait une descente, banane. C'est l'endroit rêvé pour squatter. On y voit personne.

Toi qui te pose en victime, fais attention de ne pas te retrouver dans la peau de l'agresseur.


Puis il continue vers l'école, n'attendant pas de réponse. En arrivant près de la fenêtre, il signale sa présence d'une voix forte, mais sans crier.

Je m'appelle Casimir. Je suis secouriste. J'ai entendu des coups de feu. Il y a des blessés ?


Et pour éviter tout malentendu :

Je ne suis pas armé.


(bon, cette fois ci, je suis plus là  Wink  )
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Tout le monde

Au bout d'un moment la police arrive. Elle est la première sur les lieux. Les policiers investissent en conséquence l'école et interrogerons quiconque s'y trouvera.

Bien sur, la sirène aura prévenu de leur arrivée, et aura laisser largement le temps à qui ne veut pas être interrogé de filer. Ce n'est pas le cas de Corina et de sa mère qui demeurent sur place.

Les enfants et les hommes qui ont filé, ne reviennent pas quant à eux.

Émilie ne bouge pas, évidemment.
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  Guy se retourne vers Corina et sa mère.

- Il ne faut pas la déplacer avant l'arrivée des secours, dit-il d'une voix douce en désignant l'institutrice. Surtout sa jambe.

  L'Ange hésite un moment puis il salue brièvement les deux femmes et quitte les lieux.
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Jeanne, entendant les sirènes, prend la tangente à l'opposée de la police, une fois s'être assurée que les deux hommes peuvent se mouvoir.
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Tout le monde

Comme dit plus haut les policiers investissent les lieux. Ces cow-boys ne sont guère discret, et sauf avis contraire, tout le monde peut leur échapper.

Hrp: a vous de me dire que vos perso sont resté. Sans avis contraire, je considérerais qu'ils ont quitter les lieux.

L'ambulance arrive une dizaine de minute plus tard. Corina et Agnès partirons par ce biais, ainsi qu’Émilie sur un brancard. Leur destination probable, l’hôpital.
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