Vois sur ton chemiiiiinn, ...

[Beretta]

Monumentale erreur. Beretta profite du trou fait dans la porte pour regarder et dans le même instant y met son flingue et vise approximativement en direction des pieds du tireur - sauf si il y a des enfants devant, auquel cas elle se replaquera aussitôt à côté de la porte. Le but est de neutraliser l'attaquante, pas de la tuer.

[Galila]

  Galila s'assoit tranquillement contre un mur, de façon à ne pas être atteignable une deuxième fois. Il improvise un tampon avec ce qu'il a sous la main (chemise, veste).

- Je crois qu'il va falloir trouver un moyen de pallier le départ trop rapide d'Isabelle... remarque-t-il tout bas.

[Animation]

Beretta/Galila

La porte jadis homogène présente à mi-hauteur un trou. Difficile pour un œil humain de distinguer quoique ce soit, mais l'acuité surnaturel de Beretta, l'ange qui habite Orianne, lui permet de distinguer des jambes tremblantes. D'un geste sûr Orianne brandit son arme à deux mains, un genou à terre, et fait feu. Nul besoin de viser le trou: la balle franchira le battant de bois et toucheras l'agresseur.

La détonation, troisième de la soirée, est comme un verdict. On peut même entendre une seconde de silence... remplacer par des hurlement et des cris très rapidement !

Derrière la porte deux fois troué, ça détalle et on entends clairement le verre se briser.

[silver]

Silver allait demander à Enkeli ce qu'il avait récupéré comme info lorsque des coups de feu retentit.Silver se dirige alors vers la porte.Il perçoit le bruit de verre brisé.Silver se dirige alors en courant ver sa provenance pour voir si des personnes tentent de fuir par la fenêtre.

[Beretta]

Orianne ouvre la porte d'un violent coup de pied afin d'entrer rapidement dans la pièce. Si la personne qui vient d'être "neutralisée" est encore face à elle, l'ange s'en approche et essaie de récupérer l'arme puis de venir aux premiers secours ... ça risque de ne pas être facile.

[Animation]

Silver/40some

Si tant est qu'ils se dirigent vers la source du bruit, Jeanne et Casimir peuvent voir deux hommes qui aident des gens en panique à sortir de la salle de sieste par la fenêtre. Ils ont commencé par extraire les enfants, qui pleurent tant qu'ils peuvent.

Quelque chose dans la salle accélère manifestement le mouvement, et les enfants sont presque jeté au loin. L'un des hommes leur demande de fuir pendant qu'il s'occupe de tirer une femme avec le bras en écharpe qui hurle comme une hystérique.

Visiblement poussé par ceux de la salle, tout ce monde s’aplatit sur le sol. Les hommes restent pour aider les adultes à se relever, tandis que des enfants, abandonné à eux même, fuient en pyjama au cœur d'une nuit d'hiver.

Beretta/Galila

La porte n'est pas fermée. Manque de présence d'esprit probablement. Orianne constate que l’agresseur est à terre. Il s'agit d’Émilie Crèvecoeur. Une marre de sang sous la jambe droite attestant que c'est le genou qui a littéralement explosé. Cela ne présage rien de bon.

Orianne s'avance, provoquant la fuite de la jeune fille appelé Corina, ainsi que de la femme d'âge mure, ces dernières semblaient s'intéresser au sort de l'institutrice et l'une d'elles avait sorti un portable dans le but probable d’appeler les secours.

L'entrée d'Orianne achève de paniquer les fuyards de la fenêtre, qui, oubliant le soin réservé aux enfants, se précipitent tous, achevant leur sortie dans un bruit de chute. Certains seront probablement blessés par les bris de verre, il faut espérer qu'ils auront la présence d'esprit de ne pas piétiner les enfants.

[Galila]

  Déchirant une partie de sa chemise pour faire le tampon et gardant l'autre pour nouer autour de sa taille afin de maintenir le tout en place, Guy se dépêche autant qu'il peut. Il a d'abord enlevé sa veste pour favoriser ses mouvements puis il la ré-enfile et la boutonne pour masquer sa blessures et l'absence de chemise. Pour le sang... Il essaie tant que mal de ne pas en mettre partout, s'essuyant les mains comme il peut avant de remettre sa veste.
  Dès qu'il le peut, le Novalis pénètre dans la salle où est partie Orianne et prend la mesure de ce qu'il y a à voir.



[HRP : vu le temps qu'il va falloir pour mettre en place le "bandage" et remettre la veste, mieux vaut que j'attende la suite avant de continuer.]

[Beretta]

Orianne soupire en constatant les dégats.

Bon, je vais pas y aller par quatre chemins. Vous n'auriez pas tiré, je ne serais pas revenue. Je pensais que c'était tranquille, que vous étiez en sécurité. Pas que vous étiez une hystérique, et encore moins que vous alliez tirer sur les gens.

Alors, je vais approcher, je vais récupérer votre arme et faire les premiers soins en attendant les secours. Je ne voulais pas en arriver là. Vous ne m'avez pas laissée le choix. Donc la question est évidente: voulez vous que j'essaie de vous maintenir en vie ? Je ne suis pas une meurtrière, je voulais savoir pourquoi un groupe de gens étaient agglutinés dans l'école un jour férié alors que, par exemple, les enfants auraient pu retourner auprès de leurs parents, dans leurs maisons respectives.

Je vous laisse 10 secondes.

Vous là, vous appelez les secours ? Parfait. Dites lui qu'il y a une hémorragie, et plusieurs blessures par balles.

[Animation]

Beretta/Galila

Le discoure d'Orianne n'est absolument pas entendu: rapidement, les gens de la fenêtre sont tous dehors, Corina et la femme mûre seront les dernières à sortir, et ne sont pas en reste pour pousser les gens qui les empêchent de quitter les lieux. Difficile de dire ce que font ou deviennent ceux qui sortent. Dans l'immédiat, la panique submerge les dernières personnes raisonnables.

Quant à Émilie, elle n'est plus en état de répondre, et n'a probablement rien entendu non plus. Inerte au sol, elle pourrais aussi bien être morte. L'arme qui est a ses côtés est un Sig SP2022, on pourrais s’interroger sur comment elle a récupéré cette arme... Mais le plus intéressant reste sans doute l'institutrice à terre.

[silver]

Une fois en place, Jeanne lance lecture de pensées sur les deux hommes pour savoir si c'est des humains ou des renagats.