06-14-2008, 11:42 AM
Marshal Law !
Oui votre Seigneurie?
Qui est responsable du titre de cette chronique?
Le Démon April Prout, Seigneur Andromalius.
Qu'il soit jugé pour ceci.
************************
Cette soirée d'anniversaire avait été une pure réussite. La famille était venu de tous les coins dans la maison familiale. Ses grands parents l'avaient sérrés aussi fort que possible et ils avaient pleuré quand ses petits doigts essayer de tenir quelque chose. Tous le monde avait pris des photos, essayaient de retrouver une ressemblance avec toutes les personnes de la famille, vivantes ou décédées. Les fellicitations fusaient dasn tous les sens pour avoir réussi a mettre au monde au tel bout de choux.
Ma femme était heureuse. On avait ce même rêve de fonder une famille nombreuse et heureuse. Il y a un an, notre morceau de bonheur avait commencé à prendre forme avec ce petit bout d'homme.
Mon petit venait de fêter ces un an. J'étais le père le plus heureux du monde. Un enfant. Mon rêve depuis tant d'année. J'allais enfin me coucher auprès de ma douce et tendre, fier de ce que j'étais devenu.
---------------
Cette nuit là j'ai fait un rêve.
Mur de flammes.
J'm'étais endormis en pensant bonheur, famille, vie nouvelle.
Mur de flammes.
Puis tout a coup, j'ai été assaillis par une vision de ....
Grand orgue. Un motard, tout de cuir vétu, traverse les flammes.
Oh il était horrible ...
Le motard roule a vive allure sur une route au travers du désert laissant derrière lui une trainée de flamme.
Le motard de l'apocalypse. Un homme qui détenait tous les pouvoirs de l'enfer ...
Gros plan sur un tatouage sur son bras gauche: « Ma mère ne m'aimait pas ».
Qui s'amusait a changer le jour en ténèbres ...
Accroché à sa ceinture, une paire de chaussure pour mouflet en cuir.
Et a exterminer toute vie sur sa route ...
Un petit lapin se trouve au bord de la route. Le motard saisi une grenade et la tire en direction du petit rongeur qui curieux s'approche de l'objet lancé.
Un être d'une cruauté implacable envers les créatures sans défenses ... les petits animaux du Bon Dieu ...
Le motard poursuit sa route alors que derrière lui la grenade explose.
Il laissait derrière lui un sillage de feu ... Il empuantissait la brise du desert qui lui carressait le front au passage.
Le motard sort un énorme fusil à canon scié accroché derrière son dos et tire tout en roulant sur un lézard prenant le soleil sur un rocher. Le lézard éclate en plusieurs morceaux.
Je ne savais pas d'où il venait ni pourquoi faire. Je ne savais même pas si il était rêve ou vision.
A la tombée de la nuit, une fleur prend feu sur son passage.
Mais j'avais l'atroce impression de l'avoir déchainé moi même.
Le musique cesse soudain. Le motard fait un bond impressionnant sur sa route. La musique reprend tandis que le motard continue sur sa lancée.
Il était comme l'incarnation de la folie furieuse.
Le motard se rapprochai de plus en plus d'une maison légèrement éclairé dans la nuit ....
---------------
Je me réveillais en sueur et le souffle court. Le Feu ... Le motard ... La maison .... Ma maison. Je n'osais plus bouger. J'étais comme tétanisé. J'avais déjà fait des cauchemars, mais aucun ne semblait aussi réel que celui ci.
Je me mis à trembler de tout mon corps.
Un rêve, tout cela n'était qu'un rêve. J'essayais en vain de me calmer. Mon corps était glacé.
C'est a ce moment que je le vis. Une ombre se tenait là, immobile. J'ouvris a bouche pour crier, mais il fut bien plus rapide. Un canon de fusil avait désormais élu résidence entre mes deux mâchoires.
Démons Karahout, tu es jugé coupable de renégatisme. La sentence est applicable immédiatement.
As tu quelque chose a ajouter ?
Il se tenait devant moi, le motard, presque semblable a celui de mon rêve: tout de cuir vétu, un fusil accorché dasn son dos, une casquette qui était un mélange entre celle de la police et celle des officiers nazis. Il portait un masque de cuir noir avec une croix romaine inversé rouge sang en plein milieu du visage. Il arborait fièrement sur son blouson de cuir noir, un écusson argent où les initiales de la Police Démoniaque étaient clairement visibles.
Je pleurais comme un gosse. Je cherchais du regard ma femme qui se tenait a coté de moi et croisait le sien, avec un relant de terreur, mais sans aucune vie. Un filet de sang s'échappait de sa bouche.
Mon fils !!!! Où est mon fils !!!!
Apparement non.
Une détonation sourde ... un grand voile noir ... peut être me suis je racheter au cours de ces deux dernières années ... assez pour mériter une place en haut ....
Soudain, devant moi, un mur de flammes ...
NDLA : Cette chronique est librement et largement inspirée (pour ne pas dire reproduite a l'identique) de la scène la plus grandiose du cinéma, à savoir une scène presénte dans le film des frères Cohen : Arizona Junior.
Oui votre Seigneurie?
Qui est responsable du titre de cette chronique?
Le Démon April Prout, Seigneur Andromalius.
Qu'il soit jugé pour ceci.
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Cette soirée d'anniversaire avait été une pure réussite. La famille était venu de tous les coins dans la maison familiale. Ses grands parents l'avaient sérrés aussi fort que possible et ils avaient pleuré quand ses petits doigts essayer de tenir quelque chose. Tous le monde avait pris des photos, essayaient de retrouver une ressemblance avec toutes les personnes de la famille, vivantes ou décédées. Les fellicitations fusaient dasn tous les sens pour avoir réussi a mettre au monde au tel bout de choux.
Ma femme était heureuse. On avait ce même rêve de fonder une famille nombreuse et heureuse. Il y a un an, notre morceau de bonheur avait commencé à prendre forme avec ce petit bout d'homme.
Mon petit venait de fêter ces un an. J'étais le père le plus heureux du monde. Un enfant. Mon rêve depuis tant d'année. J'allais enfin me coucher auprès de ma douce et tendre, fier de ce que j'étais devenu.
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Cette nuit là j'ai fait un rêve.
Mur de flammes.
J'm'étais endormis en pensant bonheur, famille, vie nouvelle.
Mur de flammes.
Puis tout a coup, j'ai été assaillis par une vision de ....
Grand orgue. Un motard, tout de cuir vétu, traverse les flammes.
Oh il était horrible ...
Le motard roule a vive allure sur une route au travers du désert laissant derrière lui une trainée de flamme.
Le motard de l'apocalypse. Un homme qui détenait tous les pouvoirs de l'enfer ...
Gros plan sur un tatouage sur son bras gauche: « Ma mère ne m'aimait pas ».
Qui s'amusait a changer le jour en ténèbres ...
Accroché à sa ceinture, une paire de chaussure pour mouflet en cuir.
Et a exterminer toute vie sur sa route ...
Un petit lapin se trouve au bord de la route. Le motard saisi une grenade et la tire en direction du petit rongeur qui curieux s'approche de l'objet lancé.
Un être d'une cruauté implacable envers les créatures sans défenses ... les petits animaux du Bon Dieu ...
Le motard poursuit sa route alors que derrière lui la grenade explose.
Il laissait derrière lui un sillage de feu ... Il empuantissait la brise du desert qui lui carressait le front au passage.
Le motard sort un énorme fusil à canon scié accroché derrière son dos et tire tout en roulant sur un lézard prenant le soleil sur un rocher. Le lézard éclate en plusieurs morceaux.
Je ne savais pas d'où il venait ni pourquoi faire. Je ne savais même pas si il était rêve ou vision.
A la tombée de la nuit, une fleur prend feu sur son passage.
Mais j'avais l'atroce impression de l'avoir déchainé moi même.
Le musique cesse soudain. Le motard fait un bond impressionnant sur sa route. La musique reprend tandis que le motard continue sur sa lancée.
Il était comme l'incarnation de la folie furieuse.
Le motard se rapprochai de plus en plus d'une maison légèrement éclairé dans la nuit ....
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Je me réveillais en sueur et le souffle court. Le Feu ... Le motard ... La maison .... Ma maison. Je n'osais plus bouger. J'étais comme tétanisé. J'avais déjà fait des cauchemars, mais aucun ne semblait aussi réel que celui ci.
Je me mis à trembler de tout mon corps.
Un rêve, tout cela n'était qu'un rêve. J'essayais en vain de me calmer. Mon corps était glacé.
C'est a ce moment que je le vis. Une ombre se tenait là, immobile. J'ouvris a bouche pour crier, mais il fut bien plus rapide. Un canon de fusil avait désormais élu résidence entre mes deux mâchoires.
Démons Karahout, tu es jugé coupable de renégatisme. La sentence est applicable immédiatement.
As tu quelque chose a ajouter ?
Il se tenait devant moi, le motard, presque semblable a celui de mon rêve: tout de cuir vétu, un fusil accorché dasn son dos, une casquette qui était un mélange entre celle de la police et celle des officiers nazis. Il portait un masque de cuir noir avec une croix romaine inversé rouge sang en plein milieu du visage. Il arborait fièrement sur son blouson de cuir noir, un écusson argent où les initiales de la Police Démoniaque étaient clairement visibles.
Je pleurais comme un gosse. Je cherchais du regard ma femme qui se tenait a coté de moi et croisait le sien, avec un relant de terreur, mais sans aucune vie. Un filet de sang s'échappait de sa bouche.
Mon fils !!!! Où est mon fils !!!!
Apparement non.
Une détonation sourde ... un grand voile noir ... peut être me suis je racheter au cours de ces deux dernières années ... assez pour mériter une place en haut ....
Soudain, devant moi, un mur de flammes ...
NDLA : Cette chronique est librement et largement inspirée (pour ne pas dire reproduite a l'identique) de la scène la plus grandiose du cinéma, à savoir une scène presénte dans le film des frères Cohen : Arizona Junior.