10-24-2004, 10:05 PM
Bon je commence ce thread de poèmes. Je suis sûr qu'on est plein à en écrire, même si ça touche pas à INS. Vous pouvez critiquer les oeuvres présentées, mais en ayant bien conscience qu'un poème, c'est une partie de soi qu'on met sur le papier (et oui le forum est fait en papier
) alors restez courtois et constructifs!!
Je commence moi-même avec 2 de mes créations, et j'espère que d'autres me suivront...
Septicémie
Tu es ma drogue, ma sigüe,
Tu es mon mal qui s’insinue.
Sublime passager du sang,
Tu coules en moi, hôte blessant.
Tu coules encor’ jusqu’à mon âme
Et sans efforts tu crées ce drame
Qui me torture et me déchire
Grâce à ce corps que j’admire,
Par ce terrible envoûtement
Qui ferait de moi ton amant.
Tu es ma corde, mon poison,
Je te désire sans raison.
Mon pauvre corps en devenir
Ne cesse pour toi de frémir.
Tu es ma transe, mon démon
Et l’arme de la tentation.
Ma vie comme une servitude
Des charmes de ton attitude.
Pitié, délivres moi enfin
Des fers d’un désir malsain !
Paternalisme
L’amour est une guerre
Qui ronge mon esprit,
Me laisse sans repères ;
De toi je suis épris.
Le canon sur la tempe,
Le doigt sur la gâchette
Et l’âme dans l’attente
D’une harmonie concrète.
Colombe de velours
Qui perpétue la vie,
Peux-tu par tes atours
Apaiser mon envie ?
A l’acte sans détours
Descendance sourit.
Donner sens à l’amour
Est essence de vie.

Je commence moi-même avec 2 de mes créations, et j'espère que d'autres me suivront...
Septicémie
Tu es ma drogue, ma sigüe,
Tu es mon mal qui s’insinue.
Sublime passager du sang,
Tu coules en moi, hôte blessant.
Tu coules encor’ jusqu’à mon âme
Et sans efforts tu crées ce drame
Qui me torture et me déchire
Grâce à ce corps que j’admire,
Par ce terrible envoûtement
Qui ferait de moi ton amant.
Tu es ma corde, mon poison,
Je te désire sans raison.
Mon pauvre corps en devenir
Ne cesse pour toi de frémir.
Tu es ma transe, mon démon
Et l’arme de la tentation.
Ma vie comme une servitude
Des charmes de ton attitude.
Pitié, délivres moi enfin
Des fers d’un désir malsain !
Paternalisme
L’amour est une guerre
Qui ronge mon esprit,
Me laisse sans repères ;
De toi je suis épris.
Le canon sur la tempe,
Le doigt sur la gâchette
Et l’âme dans l’attente
D’une harmonie concrète.
Colombe de velours
Qui perpétue la vie,
Peux-tu par tes atours
Apaiser mon envie ?
A l’acte sans détours
Descendance sourit.
Donner sens à l’amour
Est essence de vie.