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[qu'une feuille entre un genie et un fou] en etes-vous sur ?
#1
Cette chronique est écrite comme une "experience" a lire, plutot qu'une simple histoire !
Je me dois donc de vous precisez certaines choses importantes :


Légende du texte :


- La couleur rouge foncé : exprime les pensées et les paroles du "héros" de cette chronique. (selon SA vision des choses)

- La couleur rouge simple : exprime les pensées du "héros", et qui sont en verité des liens. (la plupart du temps, les images ou la musique qu'il entends dans son esprit)

- Les * rouges placés dans le texte, sont des liens musicaux que vous retrouvez plus tard inscrit en lien dans son esprit. Il sont placés avant dans le texte, afin que vous puissiez "charger" la musique, avant d'arriver aux endroit devant etre "accompagnés" de cette musique, et ce afin de ne pas stopper la lecture. (si il n'y a pas de " * ", c'est que le lien est une vidéo)

- Les (( )) rouges indique ses pensées de l'instant. (sur le moment)

- L'italique represente la description (que ce soit en pensée, ou en réel)

- Le gras exprime les paroles des differents acteurs de cette histoire. (sauf dans les pensées du "héros", ou les paroles de son esprit sont écrites normalement, pas en gras, mais toujours en rouge et entre (( ))

Le gras rouge foncé exprime ses paroles enoncées a voix haute.

Informations supplémentaires :

- Cette histoire est bien evidemment une fiction, et surtout ne se déroule pas a Immac sur sables (le nom du lieu n'est pas une erreur)

- Tous les noms et descriptions sont fictifs. Toutes ressemblances avec des personnages et/ou des joueurs, ne serait que pure coincidence. Veuillez ne pas m'en tenir rigueur.

- Des tonnes de clins d'oeils a des films, musiques, mangas, livres et autres, sont disseminés dans le texte ! C'est tout a fait normal si cela vous rapelle qlqs scénes (pour exemple : Naruto, Equilibrium, Matrix, Le bon la brute et le truand, Le secret de Ji, De bons présages... Etc)

- Pensez a écouter les musiques lors de la lecture, celle-ci sont généralement là, afin d'appuyer les descriptions et l'intensité du texte.

- Les vidéos sont les images defilant dans la téte de l'interessé.

- Vous pouvez poster dès maintenant a la suite de ce texte, afin de donner vos impressions, encouragements, critiques, conpliments, questions... (etc), tout simplement car je ferai un EDIT a chaque fois que je continuerai l'histoire, et ce afin qu'une fois finie, elle se présente sous forme de "nouvelle".

- Le personnage de cette fiction, est tiré d'un perso que l'un des joueursde ma table joue ! (petite dedicace a toi... tu te reconnaitra je pense!)

- Je posterai un message a chaque nouvel EDIT de l'histoire.

- Pour les modos ayant l'adresse IP... merci de taire l'info identitaire Wink

(je rajouterai, les autres legendes en "EDIT", si je rajoute certaines choses plus tard ! N'oubliez pas de regarder si la légende n'as pas evoluée)

Merci de votre attention, et bonne lecture.
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#2
[Immac sur Saõne]
[22h12]
[Antre des démons]


… La porte de l’Antre s’ouvre, un homme propre sur lui entre, blouse blanche, stéthoscope autour du cou, badge notifiant "Chef infirmier" "Matthieu Coldert". Il se stoppe après deux pas a l’intérieur de la pièce, et observe les alentours… il semble chercher quelque chose … ou quelqu’un, mais ce n’est pas le cas… il parait néanmoins satisfait, et dans un silence seulement rompu pas quelques brouhahas de ci de là, il ouvre la porte en grand, et s’efface du passage.

((Bâillement mental… "c’est le matin ?"))

Un second homme en blanc, badge "infirmier surveillant" "Brian Addile", fait irruption. Crâne rasé, épais sourcil noirs, yeux noirs globuleux, grosse carrure, épaules larges, un bon mètres quatre-vingts quinze, pour cent kilos de muscles, un "beau bébé".
… Et le beau bébé ne semble pas de bonne humeur, il entre en jetant des regards suspicieux dans tous les sens, avec l’air d’un videur de boite qui cherche un trouble-fêtes, (juste histoire de "passer le temps"). Il est suivi par deux infirmiers, de bonne corpulence aussi, en tenues réglementaires vertes, et qui traîne un troisième homme.

Enfin, plutôt devrait-on dire, "une sorte d’homme", ou le mot plus juste un "légume". (Un leghomme quoi !)

Ses genoux et ses jambes traînent lamentablement sur le sol, et il est solidement tenus au niveau des coudes, par les deux infirmiers, retenu de ne pas s’effondrer par terre, par la camisole fortement serrée qui entrave ses bras, et les maintiens plaqués contre son ventre.
Sa tête calée sur son torse, ballotte de gauche a droite, a mesure des pas cadencés de ses deux "bourreaux". Ses cheveux hirsutes et d’un noir profond, surmontant un visage anguleux et fins, un front lisse, une ride au coin de la lèvre avec la bouche légèrement entrouverte, lui donnant un air idiot, le tout complété par ses paupières finement entrouvertes, ne laissant paraître que le blanc de ses yeux révulsés.


(("putain, s’que j’ai mal au jambes !"))

En fait la seul trace de vie visible, sur cette marionnette inanimée, pantin pantelant, vient de ses glandes salivaires en plein travail continu, libérant un filet ininterrompu de bave, que ses genoux traînants sur le sol n’ont de cesse d’essuyer.
L’image de l’être en fin de décadence et dont l’étincelle de vie est si tenue, qu’il aurait sa place dans un joli sac de couchage noir, confortablement installé sur lit en métal froid d’un tiroir de morgue. Mais ce n’était pas le cas… et il était ici en ce moment même.


(("Mais … "))

Le chef infirmier Matthieu ferme la porte et rejoint le groupe d’hommes qui maintenant font face, à une foule de démons et autres familiers autant abasourdie que silencieuse.

Brian, toujours aussi impressionnant, se place devant le duo de marionnettistes et leur poupée sans vie, deux mètres devant eux, se redresse et bombe le torse, exhibant fièrement son badge d’"infirmier surveillant", et il croise les bras toisant le public d’un regard froid et implacable.


(("Mais … que ? Où ?"))

En passant a proximité, Matthieu fait un léger sourire à Brian en guise de remerciement, se place entre lui et les démons, et souriant timidement en remontant d’un doigt ses lunettes sur nez, il s’adresse a la populace démoniaque qui lui fait face :

« Bonsoir messieurs, dames !
Il nous a été confié pour mission, de l’apporter ici ! »


*Il pointe le « légume » du pouce par-dessus son épaule*

« Ne soyez pas trop sévère avec lui ! Il est … disons… "Différent" »

*petit sourire aimable a la prononciation de ce mot.*

« Il semble qu’il fasse partie des vôtres maintenant, sur ordre hiérarchique !
Accueillez le donc comme il se doit… »


Il se retourne vers la personne dont il est sujet, en ajoutant doucement

« … un rebut ! »

Il refait face à la foule et un sourire foncièrement mauvais déforme son visage. Il reprend rapidement son sérieux et poursuit :

(("Mais… ou suis-je ?"))

« Si il est dans cet état … c’est simplement que nous l’avons calmé… car il est du genre à être un peu… "Hyperactif" ! Il n’est pas toujours aussi inactif je vous rassure ! Mais une dose de calmant suffisante le maintient tranquille pour l’instant !

Pour les connaisseurs : Dépamide en anticonvulsivant; Seropram en antidépresseur oraux auquel on ajoute une touche de Tofranil ou de Droleptan par voie Intra-Musculaire; mais aussi du Tranxène et Lysanxia en anxiolytique, Loxapac en neuroleptique, et une légère pincée d’Imovane comme somnifères…


*Il se penche vers eux, un air de conspirateur, la dos de sa main plaquée contre la joue comme s’il allait confier un secret, et parle a voix basse*

… mais je vous avouerais que ces derniers sont surtout là pour relever le goût !

*Se redresse, et brille d’un sourire malveillant*

… de quoi calmer un ours pendant une semaine, même en pleine période de rut ! »

Brian est le seul a rigoler de la blague vaseuse, il lâche un simili rire quttural, (aussi agréable qu’un poing dans la tronche) qui se poursuit un long moment, puis d’une grosse voix caverneuse et rauque il lance :

« En gros, la seule place que votre société lui réserve…


(("RAAEEAAAAAEEAAAAHHHH"))

Deux ou trois démons au premier rang, aperçoivent l’un des deux yeux de la "loque" s’ouvrir en grand, le temps de cligner des yeux pour voir s’il ont rêvé, et tous s’accélère…

… Est là ou on vous l’auras laissé ! »

*il bascule la tête en arrière, se préparant a partir dans un long rire gras*

(("Le "gros con" est là ! Devant moi."))

« RRRROOOOOAAAAARRRR »


Un cri de rage déchirant.

En une fraction de seconde la marionette s'anime, des fils invisibles le relève prestemment, et le redresse d'un coup de toute sa hauteur.


La fraction de seconde suivante, je fais un pas en avant tous mes sens en alerte. Le "gros con" est devant moi, de dos, et se fout impunement de ma gueule. D'une facilité deconcertante, dù surement a la surprise, je me dégage de l'etreinte des infirmiers, et mon second pas, est mon "pied d'appui".
Je m'élève dans les airs d'un bond précis, les bras toujours bloqués contre le corps par la camisole crasseuse, et ouvrant largement les jambes, je reussis mon coup...

Tel un prédateur saisissant sa proie, je l’enserre de mes deux jambes, au niveau de la taille. Il se plie légèrement en avant sous le choc, ce qui a pour effet de couper net son rire grave et méprisants, et me permets de m’allonger un peu sur son dos, maintenant tant bien que mal un semblant d’équilibre.


(("Tu es a moi !"))

« HiHiHi »

La bave coule maintenant a flot de ma bouche, et l’excitation la transforme en mousse écumeuse qui se répand sur mon menton. Je n’y réfléchis pas à deux fois… et même… je n’y réfléchis pas du tout, je suis mué par l’instinct animal et bestial du prédateur. J’ouvre ma gueule en grand, dans un feu d’artifice de salive baveuse, exhibant deux longs crocs acérés à la place de ses canines, que je plante droit dans son cou offert par le souffle coupé de son rire.
Je le mords de toutes mes forces.


(("Haha haha
- Quoi ? C’est a moi qu’tu parles la ? c’est a moi ?
- Voudriez-vous du thé, Darling ?
- Mettez donc moi deux douzaines de sardines, et le plus beau merlan de votre poissonnerie !
- Ici Radio-Stezy, en direct de Boulletons-sur-galoches… Yeaaaah … "))

Explosion de joie en moi, ce connard la vraiment mérité. Je me concentre un instant, me repliant temporairement dans mon subconscient. Mes sens s’élargissent, les sons s’amplifient, même le goût métallique du sang coulant dans mon gosier, est accentué a son paroxysme. J’entends aussi distinctement le battement affolé du cœur de ma proie, que le mouvement de surprise glissant et quasi-silencieux, du pied gauche du démon au fond la pièce.

(( Je suis un ninja, habillé d’orange j’accomplis ma mission, je fait un jeu de signes compliqués, de mes deux mains brandies devant moi, et a haute voix, je gueule le nom de ma pure technique :

"Sharinga… euh non…HIHIHI... je veut dire… Sens surdevellopés !"))


Brian regarde l’assemblée, ses yeux expriment encore la surprise, mais ses traits sont figés en masque d’horreur et de douleur. Dans un ultime geste désespéré, il fait flasher son aura et, sourcils tendus, il semble faire de son mieux, afin de porter une attaque mentale.

(("Gros con ! Tu ne peut pas m’atteindre… je n’ai pas toutes ma tête … HiHiHi. !
N’empêche tenter de me paralyser… j’apprécie pas des masses !" ))


La pièce se colore d’un rouge sombre malveillant, Aura de sang luminescente d’un Chevalier d’Andromalius a l’agonie.

(("Serre fort… très fort !"))

*CraaCK *

La cervicale se brise dans un bruyant craquement d’os, et alors que Brian lançait sa main, à l’assaut de la « chose » sur son dos, il disparaît d’un coup, dans un joli bruit de ploppage de bulle.

(("Ouais… j’lui ait pété le cou !"

*Plop* Tiens il est mort ! Vous venez de tuer un Chevalier, mais on ne va pas vous récompenser pour ça ! […] ))

Avec une rapidité d’action qui m’étonnes moi même, je tends mes jambes au sol, et amortissant mon atterrissage dans un splendide accroupi, et abaissant mon centre de gravité au maximum, je me pose prestement et sans encombre sur le sol, agile et souple comme un chat en action … ou dans le cas actuel… comme un lynx.

(("
HOUAAAYAAAA "))

Un bruit imperceptible pour le commun des mortels, se fait entendre derrière moi, un déplacement d’air fugace fini de m’avertir sur l’imminence d’un danger. Toujours au raz du sol, l’animal en moi reprends ses marques, il est prêt à bondir, prêt à chasser une nouvelle proie, je m’apprête a me redresser d’un bond, quand…

(("tiens… c’est quoi ca ?"))

D’une beauté sans pareille il attire mon regard de sa couleur rose pale, seul, sur le sol gris et froid. Je m’assoie a la « Bouddha » afin d’etre a l’aise pour l’observer meticuleusement et religieusement.


L’infirmier de droite, comme si l’Aura degagée suivi immediatement d’un plop, l’avait sorti de sa torpeur stupefactuelle, se precipite sur le "taré", en sortant sa matraque telescopique et electrique. Parcourant rapidement les quelques metres qui les separes, il leve la matraque bien haut, et l’abat aussitôt de toutes ses forces, sur le crâne qui s’offre a lui. Le camisolé qui est maintenant assit au sol, possède le visage rayonnant de l’enfant qui ouvre son cadeau, complètement émerveillé, le regard fixé sur un vieux et gros chewing-gum rose collé au sol et il se penche vers celui-ci, touchant presque le sol de son nez. La tête se dérobe sous la matraque, et emporté par son élan, l’infirmier bute contre le corps assit au sol, et tombe lourdement en roulé boulé, dans un magnifique style a la "Tex-Avery"

(("C’est magnifique !… Merveilleux !... Fantastique !"))

Le second infirmier se ressaisit voyant son collègue s’étaler comme une crêpe bretonne, il farfouille ses poches et triomphant, un sourire au coin des lèvres, il sort une fiole et une petite seringue. Gestes précis de l’infirmier, habitués a son métier : Piquer l’aiguille dans le flacon ; Relever le "piston" avec le pouce ; Le liquide emplit la seringue ; Ranger la fiole ; Retourner la seringue ; La tapoter de l’index pour faire remonter les bulles, Appuyer légèrement pour chasser l’air … Un filet de produit gicle…

(("Beuaaaark"))

L’odeur fruité vient de disparaître, inexorablement couverte par le relent d’acidité, la puissance chimique, et la violence médicamenteuse, que l’ "Imovane" dégage en effluves dans mon dos. Un rictus de dégoût finis de m’arracher a ma contemplation, l’envie fugace de ramasser le trésor coloré que je vient de découvrir m’étreint, mais est vite chassé par la réalité de mes bras croisés contre mon gré. Me redressant, je pivote sur moi-même et fait face à l’odeur.

(("Arrrrgh… « Pique-pique-qui-m’endors »"))


L’infirmier, concentré sur sa tache, relève la tête une fois sa seringue prête, et reste pétrifié en découvrant que l’homme est maintenant face a lui, et l’observe.

(("Tu veux m’offrir « pique-pique » ? Alors je vais te faire un cadeau aussi !"))

Je ferme les yeux, et rentre à plein pied dans les méandres de mon esprit torturé.
Je vois une liste de mes folies en tout genre, mais pas comme si cette liste était écrite… non, plus visuellement… je vois un escalier en colimaçon descendant a l’infini dans une noirceur sans pareille, dont chaque marche est l’une de mes folies, phobies, et autre detraquerie de tous types. Et j’en connaît chaque marche… et elle me conduisent implacablement toujours plus loin, au fur et a mesure de mes visites, descendant toujours plus loin vers le lieu ou il me conduit … mon Enfer … ma décadence totale … la ruine de mon esprit.
Je descends paisiblement, marche après marche, profitant du calme et de la béatitude régnant en ces lieux, et m’arrêtant brusquement, je jette mon dévolu sur la marche ou je suis, celle qui me parait convenir le mieux.


Quote:" Folie Meurtrière"

L’escalier s écroule, ma marche s’élève, et tout le reste disparaît dans le noir absolu.
Je prends mon temps, réfléchit calmement, sachant pertinemment que le temps passé ici, dans mon esprit, n’a aucune équivalence avec celui qui s’écoule dans la réalité. Pouvant rester dix ans à réfléchir ici, qu’une seule et simple seconde, dans le monde réel, ne se serait pas encore terminée.
Je vois un chewing-gum rose collé sur ma marche, je ne sais plus maintenant, si cette dernière continue à monter, à s’élever, ou si nous sommes maintenant statique. Je m’en moque… ici en moi … je suis le Maître … je donne vie a mes illusions psychotique … ici … pour moi … elles deviennent réelles…
Me penchant, de tout mon "moi" spirituel, je ramasse le chewing-gum, l’observe sereinement un court instant, et refermant le poing, je l’enferme au creux de ma main. Sensations déplaisante, je suis chatouillé au niveau de la paume… réouvrant les doigts l’un après l’autre, l’appréhension combattant ma curiosité, j’ose observer ce qu’elle contient …

… Une vie gluante … une sorte de grosse larve blanche que les militaires en Guyane prennent plaisir a manger. Elle est toutefois, quelque peu… différente ! … Elle est plus longue, possède quantité de pattes transparentes, et les anneaux composant son corps sont alternativement rouge et blanc. Six yeux roses et une paire de mandibule démesurée, complète habilement son aspect "vorace".

(("Oui… c’est cela !"))

J’ouvre un œil, et fixe le visage de l’infirmier dans ma mémoire, en un millième de seconde, le refermant aussitôt, je retrouve le néant … mon néant … mais je ne suis plus seul sur la marche … l’infirmier est resté !!...


La seringue toujours dans la main droite, il voit le fou cligner d’un œil. C’est le signal qui le relance, il rassemble tout le courage qu’il lui reste, (se préparant a attaquer un homme les yeux fermés), et se lance éperdument bras tendus, seringue en avant, vers celui qui vient de tuer son supérieur.

(("Tiens… c’est mon cadeau pour toi"))

Seul avec l’homme dans mon subconscient, je lui tends ma paume ouverte pour lui offrir la "larve"

(("C’est parce que je t’aime bien ! Tu as toujours été gentil avec moi … le seul ! … le seul a être la pour chasser mes peurs avec « pique-pique-qui-m’endors » le soir… le seul a me comprendre … le seul a m’écouter … tu es mon seul ami !"))

L’infirmier spirituel me regarde avec le sourire d’un père, je lève fermement la main, et une vapeur grise et luisante sort de mon index, s’étiole comme la fumée étoilée d’une cigarette, qui serpente jusqu'à l’oreille de l’homme avec qui je peut partager une infime partie de ce qui m’appartient.
La larve s’agite, se convulse, et entraînée par son instinct propre, elle s’élance de toute sa centaine de pattes, à l’assaut du pont de vapeur tendu devant elle.
Je la vois grouiller avec une hardiesse incroyable en direction du visage de mon ami. Une larme coule le long de ma joue, car une microscopique partie de moi-même s’échappe, et de ses anneaux colorés vermine a une vitesse surprenante jusqu’à destination.
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#3
Tombe a genoux et commence a prier dieu ... ou satan (héhé)

J'y croyais plus ... enfin une personne au moins qui m'as lu ... Tongue
Ca me motive donc a poursuivre (la suite est écrite mais ... manuscrite, donc il faut que je mette tout ca au propre, mais je m'y mets dès que je peut)

Pour les references subtiles, je te remercie du compliment, et je peut t'en retourner un, car beaucoup sont evidemment trés pernicieuse :twisted: et il faut pour les voir, je doit l'avouer (ou le confesser), une bonne dose de perspicacité j'estime (que d'ailleurs a ta place, ou plutot, a l'heure ou tu as posté, je suis loin d'avoir !)

Pour la petite remarque sur l'Andromalius :
Il est vrai que c'est plutot gros, mais qui n'en as jamais eprouvé le désir, lors d'une partie d'INS :twisted: (sauf les andros eux-memes evidemment)
la logique reste tout de meme de mise, car dans son BG, sa non-evolution dans la hierarchie vient de sa "folie" qu'il a grand mal a contenir ! (quoi vous aviez pas vu :lol: ) et qui donc dans ce cas précis, lui permet d'etre plus puissant par les PA ou PS (comme vous preferez), bien que n'étant pas gradé Wink

Sans trop en devoiler sur la suite, mais juste pour te mettre un peu plus l'eau a la bouche ... oui, il est fortement allumé ... et s'en prendre a un chevalier d'Andromalius, n'est encore qu'une maigre preuve de sa folie complete et totale ...

je te remercie encore grandement de ta réponse, car c'est evidemment le plaisir que procure la lecture de ce que l'on as ecrit qui compte .... et non pas le fait de l'écrire !
Tu m'encourage donc fortement de cette maniére ...

Merci a toi de ce soutien Wink
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#4
Ca y est, j'ai enfin fini de tout lire ^^
Ma foi je dois avouer que ça m'a bien plu et que c'est accrochant.
Au début, j'avais un peu peur à cause de toutes les explications... Quand c'est écrit de telle manière, ça veut dire que c'est tel truc... J'avais peur de ne pas m'y retrouver Confusedhock:

Finalement ça se lit très bien, donc tout va bien de ce côté là.

Par contre je dois être débile parce que je n'ai vu aucune référence là comme ça, après une première lecture. Je n'ai pas spécialement cherché à en trouver, mais quand même...

Bilan : la suite elle vient oui ? :roll:
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