09-06-2004, 12:09 AM
Ambiance
Des bâtiments aux murs de brique ternis par la pollution. La ville...
Des affiches de papier pendantes et à moitié déchirées ornaient ce piteux endroit.
Des immondis de toutes sortes jonchant le sol seul témoin encore existant d'une beauté passée.
Une ruelle bien sombre.
Sombre, puante et troublée par les nuages issues des évacuations de quelconques parkings souterrains.
Un homme, viré il y a peu de temps d’un bar dans un état plus que lamentable, parcourait en zigzagant la ruelle d’un pas mal engagé. Il pleurait toutes les larmes de son corps allant jusqu’à se frapper de désespoir. Il se parlait d’un ton désœuvré, à la recherche de réponse :
-Mais pourquoi… Pourquoi t’as fait ça ? quinte de toux…Les larmes coulaient à grand seau sur ses pommettes de grand gaillard.
…Ca te plait, hein ? Le chagrin… Tout ça, t’en a rien à foutre ? ENFOIRE…
Il empoigna une bouteille courte enveloppée dans un sac marron taché du jus d’une orange éclatée.
…Enculé va… puis en tournant sur lui-même, les bras écartés comme pour le crier à la face du monde entier JE TE HAIS…
Il poursuivit à voix basse pour lui-même, Je te hais…
- Dieu, Dieu, Dieu…tu parles, il sanglotait et reniflait tout en tentant de déboucher la bouteille.
Il n’arrivait pas à l’ouvrir, l’alcool embrumait ces pensées. Une crise de pleurs le ramena à son infortune…
- 24 ans, elle avait 24 ans. Tu me l’as enlevée… La bouteille céda et s’ouvrit avec fracas
- TU ME L’AS ENLEVEEEEE…Toutes les émotions traversait ce pauvre petit être totalement désemparé. Il serrait de toutes ses forces un morceau de papier froissé : Le bulletin de décès de sa chère et tendre…
Son corps se secouait dans les pleurs…Il regardait le ciel, le visage sali par la crasse environnante et les larmes.
A bout de nerf et de forces, Il tomba sur les fesses les trais tirés par la tristesse.
Il sortit une photo de sa poche, la caressant d’un regard inondé. Du doigt il parcourut les contours du visage si fins, si délicats. Il resta dans cette position au moins trente secondes mêlant souvenir et contemplation.
Une personne se tenait dans l’encadrement du portail d’une maison entièrement délabrée. D’une voix douce et féminine, elle dit ces trois mots.
- Noémi va bien…
Il sursauta pour faire face à cette étrangère qui avait prononcée le prénom de son âme sœur. Séchant ses larmes d’un revers de la manche, il avança vers elle en titubant.
- snifff Qu’est ce que vous avez dit ???
- Noémi va bien…
Le visage de l’homme étonné se grimaça sous le poids de la colère.
- Qu’est ce que vous en savez vous, HeIN ? QU’EST CE QUE VOUS EN SAVEZ ???
- Elle me l’a dit en personne… Je suis là pour vous aider et apaiser votre souffrance…
- snifff. L’homme un peu de son calme Vous êtes qui ?
L’angele sourit au basculant légèrement sa tête vers la gauche…
- Vous savez très bien qui je suis…
To be continued... mort de fatigue
HRP: Ziq arrive... Pareil pardon pour les fautes
Pas de copie de musiques
Des bâtiments aux murs de brique ternis par la pollution. La ville...
Des affiches de papier pendantes et à moitié déchirées ornaient ce piteux endroit.
Des immondis de toutes sortes jonchant le sol seul témoin encore existant d'une beauté passée.
Une ruelle bien sombre.
Sombre, puante et troublée par les nuages issues des évacuations de quelconques parkings souterrains.
Un homme, viré il y a peu de temps d’un bar dans un état plus que lamentable, parcourait en zigzagant la ruelle d’un pas mal engagé. Il pleurait toutes les larmes de son corps allant jusqu’à se frapper de désespoir. Il se parlait d’un ton désœuvré, à la recherche de réponse :
-Mais pourquoi… Pourquoi t’as fait ça ? quinte de toux…Les larmes coulaient à grand seau sur ses pommettes de grand gaillard.
…Ca te plait, hein ? Le chagrin… Tout ça, t’en a rien à foutre ? ENFOIRE…
Il empoigna une bouteille courte enveloppée dans un sac marron taché du jus d’une orange éclatée.
…Enculé va… puis en tournant sur lui-même, les bras écartés comme pour le crier à la face du monde entier JE TE HAIS…
Il poursuivit à voix basse pour lui-même, Je te hais…
- Dieu, Dieu, Dieu…tu parles, il sanglotait et reniflait tout en tentant de déboucher la bouteille.
Il n’arrivait pas à l’ouvrir, l’alcool embrumait ces pensées. Une crise de pleurs le ramena à son infortune…
- 24 ans, elle avait 24 ans. Tu me l’as enlevée… La bouteille céda et s’ouvrit avec fracas
- TU ME L’AS ENLEVEEEEE…Toutes les émotions traversait ce pauvre petit être totalement désemparé. Il serrait de toutes ses forces un morceau de papier froissé : Le bulletin de décès de sa chère et tendre…
Son corps se secouait dans les pleurs…Il regardait le ciel, le visage sali par la crasse environnante et les larmes.
A bout de nerf et de forces, Il tomba sur les fesses les trais tirés par la tristesse.
Il sortit une photo de sa poche, la caressant d’un regard inondé. Du doigt il parcourut les contours du visage si fins, si délicats. Il resta dans cette position au moins trente secondes mêlant souvenir et contemplation.
Une personne se tenait dans l’encadrement du portail d’une maison entièrement délabrée. D’une voix douce et féminine, elle dit ces trois mots.
- Noémi va bien…
Il sursauta pour faire face à cette étrangère qui avait prononcée le prénom de son âme sœur. Séchant ses larmes d’un revers de la manche, il avança vers elle en titubant.
- snifff Qu’est ce que vous avez dit ???
- Noémi va bien…
Le visage de l’homme étonné se grimaça sous le poids de la colère.
- Qu’est ce que vous en savez vous, HeIN ? QU’EST CE QUE VOUS EN SAVEZ ???
- Elle me l’a dit en personne… Je suis là pour vous aider et apaiser votre souffrance…
- snifff. L’homme un peu de son calme Vous êtes qui ?
L’angele sourit au basculant légèrement sa tête vers la gauche…
- Vous savez très bien qui je suis…
To be continued... mort de fatigue
HRP: Ziq arrive... Pareil pardon pour les fautes
Pas de copie de musiques