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Un Millet volé retrouvé par hasard à Reims lors des Journées du patrimoine
Un tableau de Jean-François Millet, volé en décembre 2004 au musée des Beaux-Arts de Reims, a été retrouvé par hasard, dans un sac plastique abandonné dans une église de la ville, lors des Journées du patrimoine (17-18 septembre).
"Il a été retrouvé de façon inattendue dans la basilique Saint-Rémi, lors des Journées du patrimoine, derrière un pilier, par le sacristain qui cherchait un interrupteur pour éclairer l'édifice", a indiqué David Liot, conservateur du musée.
Le "Portrait d'un homme anonyme", estimé à 150.000 euros, qui pourrait être le portrait d'Eugène Delacroix jeune, avait été dérobé en décembre par deux malfaiteurs, peu avant la fermeture de midi.
"Le numéro d'inventaire a été effacé mais le tableau n'a quasiment pas été abîmé", selon M. Liot, qui estime que "les voleurs, qui étaient sans doute des amateurs, se sont rendu compte qu'ils ne pourraient pas le revendre, à cause de la médiatisation de l'affaire".
Le tableau, qui était exposé au musée depuis 1949, retrouvera sa place dans une semaine, selon le conservateur
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mardi 18 octobre 2005, 17h08
Voleurs au grand coeur
VALLETTE (Reuters) - Deux hommes cagoulés, qui cambriolaient une pharmacie, ont rendu à une vieille femme son porte-monnaie lorsqu'elle leur a appris qu'il contenait tout ce qu'elle possédait pour acheter ses médicaments, rapporte mardi la presse maltaise.
Les voleurs ont fait irruption lundi dans une officine de Marsascala, village côtier du sud de l'île et ont dérobé 600 livres maltaises (1.400 euros) dans la caisse après avoir menacé le pharmacien d'une arme à feu.
L'un d'entre eux s'est emparé du porte-monnaie de la vieille dame, qui attendait d'être servie, puis, sensible à ses supplications, le lui a rendu, avant de s'enfuir en moto.
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Quote:A six, ils avaient volé 666 kilos d’or
NEUCHÂTEL. Les prévenus ont comparu hier en audience préliminaire devant la Cour d’assises. Ils avaient commis un holdup en 2004 à la société Metalor. Les 666 kg d'or formant le butin du brigandage n'ont toujours pas été retrouvés. Hier, les six accusés âgés de 35 à 50 ans ont admis à des degrés divers leur participation au braquage. Les deux principaux prévenus ont ainsi reconnu leur participation aux préparatifs et à l'exécution du hold-up. D'origine neuchâteloise, ils étaient agents de sécurité chez Protectas SA, société chargée de la surveillance du site de Metalor. On estime à 10 millions de francs la valeur de l'or dérobé. L’audience préliminaire s’est tenue sous l’escorte d’une vingtaine de policiers. Le procès, lui, est prévu en mars ●
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La suite de l'aventure précédente. Les voleurs ont eu affaire à une équipe de Domeux compétents 
Quote:Un procès digne d'un vrai polar
BRAQUAGE METALOR Deux des «petits poissons» versent des larmes de crocodile. Mais deux autres restent froids. Bernés par les Corses, aucun d'eux ne verra la couleur des 666 kilos d'or
GIOVANNI SAMMALI
28 mars 2006
Le procès du braquage Metalor, réussi avec la complicité d'agents de la sécurité en janvier 2004, s'est ouvert hier à Neuchâtel. Même si un avocat a présenté les six prévenus comme de «petits poissons», c'est une affaire de grand banditisme que juge la Cour d'assises. Le dispositif de sécurité l'a rappelé, ainsi que la nervosité de deux des accusés: ils ont décoché des coups à l'un des photographes qui attendaient leur arrivée.
Et puis, il y a ce fameux butin, plus de 10 millions en or, qui n'a pas été retrouvé. Et le mode opératoire, avec des caméras de surveillance sprayées pour les rendre inopérantes. La Cour a quand même vécu sa «petite séance de cinéma», dixit le président Niels Sörensen, en visionnant des scènes du braquage.
Les truands corses qui l'ont exécuté, en prenant un cadre et un agent intègre en otage, seront jugés en France. Le dernier fugitif vient d'ailleurs d'être arrêté au Brésil. Ce sont les organisateurs, établis à Neuchâtel ou en Romandie, qui comparaissent depuis hier.
Parmi eux, trois agents Protectas, pathétiques. Le chef d'agence en arrêt maladie pour burn out, l'auxiliaire suicidaire et le troisième, un peu paumé, se sont connus alors qu'ils travaillaient sur l'arteplage d'Expo.02 à Yverdon.
Les deux premiers de ces «petits poissons», repentis, ont versé des larmes de crocodile. Habitués à nager en eau trouble, ils ont avoué une série d'escroqueries à l'assurance.
Cette fois, ils ont visé un butin colossal. En confiant l'exécution du coup à des malfrats de l'Hexagone, ils ont pris le risque de se faire doubler.
Les deux prévenus qui seront entendus ce matin ont le physique de l'emploi. Ce sont eux qui étaient en contact avec les Corses. Ils devaient toucher une des sept parts du butin, mais ils nient avoir été présents le jour J. La petite amie de l'un d'eux a fourni hier un alibi. Problème: celui-ci ne couvre pas les bonnes heures. Et c'est du côté de Fribourg, donc en direction de leur lieu de résidence, qu'ont été retrouvées les deux Scénic volées qui ont servi à sortir l'or de l'usine......
Ce procès digne d'un grand polar continue ce matin. Avec une quasi-certitude: si les truands français savent où est passé l'or, les prévenus n'en verront jamais la couleur.
Quote:«Pas l'oeuvre de rigolos!»
BRAQUAGE METALOR Le procureur veut un verdict à la hauteur d'une organisation très professionnelle. Les 666 kg d'or disparus en Corse sont un record cantonal
GIOVANNI SAMMALI
29 mars 2006
«Du grand banditisme, et non l'oeuvre de rigolos improvisant un coup le samedi soir.» Au procès du braquage de l'usine Metalor de Marin (NE), le procureur Pierre Cornu a requis hier de 3 ans et demi à 10 ans de prison contre les principaux protagonistes du côté suisse, dont trois agents de sécurité. Il a insisté sur le côté très professionnel de ce coup record pour le canton.
Côté français, les truands ont été arrêtés, mais les 666 kg d'or se sont volatilisés en Corse.
«Même dans un film, ce scénario paraîtrait exagéré», a ironisé le procureur. Repérages, rencontres, plans, plaques dérobées en Suisse pour les véhicules volés en France, vignettes autoroutières, téléphones portables neufs, changements de véhicules, itinéraire de fuite dédoublé... «Et même un plexiglas de la bonne dimension pour remplacer la vitre à casser sur place!»
Neuf ans ont été requis contre le responsable de l'agence Protectas, qui a de plus contre lui dix escroqueries à l'assurance pour de faux vols de voitures (préjudice de 300 000 francs). L'auxiliaire qui a joué le faux otage, prêt à se faire tirer dans une jambe pour faire plus vrai, risque 6 ans. Leur ancien collègue, écarté du coup au final, risque 3 ans et demi. Il a fait le lien avec le Valaisan et le Français de Fribourg au casier chargé, lequel a lancé son ami corse sur le coup.
Ces deux repris de justice nient tellement être intervenus le jour J - alors qu'une part du butin doit leur revenir - que l'accusation est convaincue qu'ils ont au moins agi comme chauffeurs. Elle a demandé des peines de 4 à 10 ans.
Des antennes de téléphonie mobile ont prouvé qu'au moment crucial le Français a franchi la frontière vers Genève, avant de revenir à Fribourg... Celui-ci a hébergé les exécutants chez lui et a admis seulement hier qu'il connaissait le fameux Corse. Pour mieux le disculper... «Grand banditisme et loi du silence. Tu te tais, tu touches», a lancé le procureur. D'ailleurs, les agents de sécurité passés à table ont été tabassés en prison par leurs coaccusés.
La défense a plaidé des peines plus clémentes, refusant qu'on fasse un exemple. Le verdict est attendu ce soir.
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... je crois que ça a un lien ici..
Quote:Probablement motivés par la hausse du prix des métaux, de mystérieux malfaiteurs se sont introduits sur le terrain d'une église sherbrookoise pour y dérober une immense cloche en bronze pesant plusieurs centaines de livres.
Les fidèles de l'église unie Plymouth-Trinity ont eu toute une surprise en arrivant pour la messe le matin du 25 février dernier. Pendant la nuit, la grosse cloche qui trônait devant leur lieu de célébration avait tout simplement disparu.
«Nous n'arrivions tout simplement pas à y croire, s'exclame Ron Smith, un paroissien de longue date. Les gens ressentaient de la colère, de l'incrédulité et beaucoup de tristesse.»
350 à 600 livres
Le trésorier de l'église, Gerry Armstrong, estime le poids de la cloche à «quelque chose entre 350 et 600 livres». Le matin du vol, il a aperçu de longues traces dans la neige, comme si la pièce de bronze avait été roulée jusqu'au stationnement derrière le bâtiment.
Le socle en fer retenant la cloche avait été fracassé et plusieurs traces de pas étaient visibles sur le terrain. «Ils devaient être au moins quatre personnes, pour manipuler quelque chose de cette taille», dit-il.
Les policiers de Sherbrooke accourus sur place ont confirmé aux fidèles que les structures faites de métaux comme le bronze et le cuivre étaient particulièrement prisées des voleurs par les temps qui courent, en raison du prix élevé des métaux à la Bourse.
Précédent
L'incident n'est d'ailleurs pas sans rappeler la mort d'un voleur à Montréal le 6 janvier. L'homme s'était électrocuté en tentant de voler le cuivre d'une ligne à haute tension.
L'importance historique de l'église, construite en 1855, est reconnue par la Fondation du patrimoine religieux du Québec.
«Cette cloche était irremplaçable... elle avait une valeur historique, déplore Gerry Armstrong.
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Encore un disciple d'Herr Magnus (belge aussi) qui voulait refaire le même coup que Randall...
Quote:
Un jeune Belge a tenté de cambrioler la plus grande banque de Marseille. Seul problème: le passage qu’il avait creusé l’a fait parvenir... dans les WC de la banque!
Une “ histoire belge ” digne de “ Lucky Luke et les Dalton ”. Dans la nuit de vendredi à samedi, le GSM d’Alain Guillou, agent de sécurité de la ville de Marseille, sonne. Il est 01h06. La plus grande banque de la ville fait l’objet d’une tentative de cambriolage. Quatre minutes plus tard, Alain se trouve sur les lieux. Il découvre un trou dans les toilettes. Il entreprend des fouilles dans le bâtiment. Et au troisième étage, il coince un Belge de 21 ans. Alain Guillou nous raconte: “ C’est vraiment une histoire à la Lucky Luke. Le gamin avait creusé un trou avec une masse. Il pensait se retrouver dans la salle des coffres. À la place, il y a découvert les toilettes. Le jeune a alors fouillé le bâtiment. En vain. Et il a déclenché l’alarme au troisième étage. ”
“ Comme dans un western ”
Ce Belge, “ d’origine tunisienne ou marocaine ”, selon M. Guillou, a tenté de prendre la fuite par le toit. Mais le chef de la sécurité l’a coincé avant. “ Il a ensuite été transféré au centre de police. C’est donc tout ce que je sais. Mais apparemment, le type était déjà connu des services de police. Et si j’ai bien compris, il n’a pas agi tout seul: la police aurait retrouvé plusieurs empreintes de pas différentes dans la banque. ”
C’est la première fois que la Banque Populaire fait l’objet d’une tentative de cambriolage. Mais le journal français La Provence s’étonne du niveau de sécurité. Il s’agit en effet d’une des plus grosses institutions de la ville. Il est donc étonnant que les alarmes ne se sont déclenchées qu’au troisième étage. Et pas avant.
“ En tout cas, c’était drôle ”, raconte l’agent de sécurité. “J’avais l’impression de vivre une histoire de western, comme on en voit à la télévision. Le trou creusé était si petit... Un peu comme les Dalton qui essaient de s’évader de prison, et qui se font cueillir au bout du trou. Une belle histoire. ”
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J'aime ce chat... Mais je vais faire un appel à tous les Valefor et tous les Janus...
Arrêtez de braquer ma voiture s'il vous plaît... c’est juste la quatrième fois aujourd'hui. Y a plus rien à voler et ça me fait perdre du temps.
Merci !
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Lucas, c'est pas bien de refiler la faute à tes conquêtes !
http://lci.tf1.fr/monde/europe/suede-un-train-fait-irruption-dans-la-cuisine-7773588.html
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