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Kronos
#1
Une information qui intéressera les Kronos à coup sûr Big Grin
Alors comme ça on s'allie aux Furfur ?

En Angleterre, on se suicide le lundi!

En Angleterre et au pays de Galles, les personnes désireuses de mettre fin à leurs jours choisissent généralement le lundi pour passer à l'acte, selon une étude publiée par l'Office britannique des études statistiques.

Au total, 34 935 suicides commis entre 1993 et 2002 dans ces deux pays ont été étudiés. Dans environ 17 pour cent des cas, le passage à l'acte s'est produit un lundi, contre moins de 14 pour cent pour les week-ends. Mais la journée la plus dramatique s'est déroulée un samedi: le 1er janvier 2000, lors du changement de millénaire. Vingt-trois suicides ont été enregistrés au cours de cette seule journée.

Faut leur dire combien de fois que le changement de millénaire c'est pas en 2000 ? :x
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#2
C'est avant qu'il fallait leur dire...
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#3
pas bête comme idée ça Malbak .. mais ce n'est pas grave ... en fait là il commence à les préparer pour le passage en 3000 ... :lol:
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#4
C'est le flegme anglais qui veut ça, toujours a l'heure et précis de vrai gentleman meme dans leur mort. Mais pourquoi le lundi c'est ça qui est important?
Moi je pense que le pudding a la longue ça attaque le bocal.
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#5
Pourquoi le Lundi?
Pour pas avoir à bosser toute la semaine, tout bêtement. On peut être mort et avoir oublié d'être con.
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#6
C'est net!

Tu peux même en profiter pour aller voir ton boss, et lui vider ton sac, le traiter d'outre à purin, rien à péter après tu te suicides!

Tandis que le dimanche c'est dommage tu rates Benny Hill le soir...
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#7
mdr!
vous etes en forme les gars....
ca vous reussi les vacances !
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#8
Un des démons de Kronos qui dorment pendant des siècles...
Ou Crocell...

Quote:vendredi 4 novembre 2005, 8h19
La "malédiction" de l'homme des glaces aurait fait une 6e victime


SYDNEY (AFP) - La mort d'une 6e personne liée à la découverte dans un glacier alpin du corps congelé d'un homme surnommé "Oetzi" a renforcé la légende d'une prétendue "malédiction" qui entoure la célèbre momie âgée de 5.300 ans.
L'archéologue Tom Loy, 63 ans, spécialiste en chimie moléculaire, a été découvert il y a deux semaines à son domicile de Brisbane, en Australie, alors qu'il mettait la dernière main à un livre consacré à justement à "Oetzi", a rapporté vendredi le quotidien The Australian.

M. Loy, né aux Etats-Unis et directeur du laboratoire de sciences archéologiques de l'Université de Queensland, reposait mort à son domicile depuis plusieurs jours lorsque son corps a été découvert.

L'achéologue souffrait d'une affection du sang depuis une douzaine d'années, ont indiqué des membres de sa famille au journal. Sa maladie avait été diagnostiquée peu après que son chemin croise celui de la momie congelée.

"Oetzi" avait été découvert en 1991 dans un glacier en altitude du Tyrol italien, près de la frontière autrichienne, et les articles et les photos de ce guerrier de l'âge de pierre remarquablement conservé avaient suscité un immense intérêt dans le monde entier.

La théorie de la "malédiction" est née de la supposition qu'"Oetzi" serait extrêmement fâché d'avoir été dérangé dans son repos de 53 siècles.

M. Loy lui-même avait bien fait savoir avant sa mort qu'il ne croyait pas à cette "malédiction", qui aurait prétendument tué cinq autres personnes liées à Oetzi: Helmut Simon, 67 ans, le touriste allemand qui a découvert la momie, mort il y a un an lors d'une randonnée dans la même région, l'archéologue Konrad Spindler, qui a le premier examiné la momie, mort à 55 ans d'une sclérose en plaque, Rainer Henn, chef de la mission scientifique consacrée à Oetzi, mort à 64 ans dans un accident de voiture alors qu'il allait donner une conférence sur la momie, le guide de montagne Kurt Fritz qui a emmené Rainer Henn auprès de la momie (mort à 52 ans dans une avalanche), et Rainer Hoelzl, le journaliste qui a filmé le retrait d'Oetzi de sa gangue de glace, mort à 47 ans d'une tumeur au cerveau.
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#9
Marrant ça, ça me rappelle Tintin. Je crois même qu'un scientifique écrivait un livre sur la momie quand il se fait tuer, et qu'un autre s'appelle Helmut...
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#10
Les Kronos n'ont vraiment que ça à foutre...
Rien que ça... L'objectif des recherches est de porter l'écart à 32 milliards d'années. A titre de comparaison, l'âge de l'Univers est estimé à 15 milliards d'années.

Quote:Une horloge qui va donner un coup de vieux à la seconde
Vendredi 17 mars 2006, 14h28

Dans une cave située six mètres sous les jardins de l'Observatoire de Paris, des chercheurs mettent au point ce qui sera l'horloge la plus précise au monde, avec pour objectif ultime de remettre en question une convention vieille de 40 ans: la définition de la seconde.

Les meilleures horloges atomiques fonctionnant à l'Observatoire atteignent déjà une précision inouïe: 0,0000000000000006 seconde par seconde. En d'autres termes, il leur faudrait 52 millions d'années pour se décaler d'une seconde.

L'objectif des recherches est de porter l'écart à 32 milliards d'années. A titre de comparaison, l'âge de l'Univers est estimé à 15 milliards d'années.

On pourrait croire à un simple défi intellectuel. Le temps n'est-il pas, et de loin, la dimension la mieux mesurée de la physique moderne ? Mais ce serait oublier que la maîtrise du temps devient un enjeu économique.

L'industrie spatiale, en particulier, est grosse consommatrice d'horloges de précision. Les systèmes de navigation par satellite, qui ont connu un essor spectaculaire ces dernières années, reposent sur de tels outils.

La recherche de la vie sur les planètes récemment découvertes en dehors du système solaire reposera sur des observatoires spatiaux formés de plusieurs satellites volant en formation avec des orbites calées au millimètre. Là encore, il faudra recourir à des horloges de très grande précision.

"L'application principale de nos recherche restera la navigation, comme il y a des centaines d'années, à la création de l'Observatoire, lorsqu'il fallait faire des chronomètres. La différence, c'est que cette navigation s'effectuera dans l'espace, et non plus sur mer", relève Philip Tuckey, directeur du département "systèmes de références Temps-Espace" de l'Observatoire.

La métrologie du temps compte parmi les domaines d'excellence de l'Observatoire, qui conserve une importante activité de recherche souvent méconnue. L'un des principaux axes de recherche consiste dans l'utilisation d'atomes refroidis par laser pour obtenir des fréquences très stables.

C'est là une spécialité bien française qui repose sur les travaux qui valurent à Claude Cohen-Tannoudji son prix Nobel de physique en 1997.

Les nouvelles horloges mises au point par l'Observatoire reposent sur un piégeage par laser des atomes. Englués dans une sorte de mélasse optique, les atomes perdent leur exubérance naturelle et la lumière absorbée lors de leur transition d'un état d'énergie à un autre peut être précisément mesurée. On détermine alors la fréquence de la lumière lorsque l'absorption est maximale.

Les horloges les plus précises d'aujourd'hui recourent au césium. L'Observatoire travaille actuellement sur le strontium et le mercure.

"La fréquence de la transition entre deux niveaux d'énergie est de 9 gigaHertz avec le césium, de 400 téraHertz avec le strontium. On augmente ainsi la fréquence de la transition d'un facteur 40.000. C'est comme si on passait d'une règle graduée tous les mètres à une autre graduée tous les vingt microns", relève Pierre Lemonde, le responsable scientifique du projet.

L'équipe parisienne pense avoir achevé la démonstration de la faisabilité d'une horlorge de haute exactitude avec des atomes confinés et espère "très vite" dépasser la précision des meilleures horloges à césium actuelles.

Aller plus loin sera difficile, car il faudra envoyer les horloges dans l'espace pour s'affranchir des contraintes liées à la gravité terrestre.

Pour l'Observatoire, ces travaux pourraient à terme conduire à l'adoption d'une nouvelle définition de la seconde, définie depuis 1967 comme la durée de 9.192.631.770 fréquences émises par un atome de césium 133 lorsqu'un de ses électrons change de niveau d'énergie.
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