[Anime-école]Maître Lorrain

[Jammy Buck]

1/ Contact avec l'A.A.

Jammy Buck trouve un salle de travail vide et calme dans le café. Il ferme la porte à clef, va s'assoir puis décroche le téléphone. Il compose le 111 pour contacter l'Administration Angélique de Notre-Dame. Lorsqu'une voix se fait entendre, il dit.

- Bonjour, je vous appelle d'Immac-sur-Sable et j'aurai besoin d'un support légal. Saurait-il possible d'être mis en contact avec le service juridique.


Après le traditionnel ping-pong administratif, une voix nasillarde finit par répondre.

Serviteur du Jugement Dernier Camillo... Soyez bref.


La voix posée de JB répond.

- Ici, Jammy Buck ange de Marc à Immac-sur-Sable, je vous contacte car nous aurions besoin d'un soutien légal pour étudier le passage de l'école privée catholique en école publique et laique. La cessation a été accepté par la Commission Départementale de l'Enseignement Catholique a avalisé le changement mais n'a pas été encore finalisé. Des renégats ont manipulé la communauté locale et la commission. Nous n'avons pas de ressources qui s'y connaissent au niveau légal pour contre-carré le changement avant qu'il ne prenne effet. Nous aurions donc besoin d'un soutien dans ce domaine sachant que les renégats sont toujours dans les parages.



Bruit de clavier sur lequel on pianote.

Navré, Ange Jammy Buck, nous ne sommes pas en mesure de vous faire parvenir de Soldat de Dieu Avocat si vous n'en disposez pas déjà. Nous pouvons vous rediriger vers un avocat humain, et nous proposer comme consultant juridique si vous le désirez.

Mais sur place, il faudra compter sur des humains, et donc les préservez du Grand Jeu le cas échéant.



- Je comprends bien le soucis. Un avocat humain fera l'affaire. Je ne connais pas ce qui est possible de faire mais serait-il possible que cet avocat soit, comment dire, bénéficie d'une protection mentale sans le savoir?


Temps d'arrêt dans le pianotement.

Pas à ma connaissance, non.

Nouveau temps de silence.

Si vous craignez que cet humain soit en danger, peut être pouvez vous utilisez un polymorphe pour les situation à risque. Quelques manipulations sur les rêves devraient arrondir les souvenir de votre avocat. Je vais vous sélectionner un individu facile d'accès.


Petit silence avant que Jammy ne réponde.

- Cet humain sera probablement en danger. Malheureusement nous n'avons pas de polymorphe de disponible à ma connaissance mais je peux me tromper car je suis arrivé à Immac que récemment. La manipulation de ses rêves sera plus que possible.

Le pianotement reprend.

Maître Lorain... Compétant, mais âgé. Il s'endort très facilement après chaque repas. Cela vous irais ?


Un bruit d'écriture sur papier se fait alors entendre.

- Maître Lorain. Cela ira. Pourriez-vous me donner ses coordonnées s'il vous plaît?


L'interlocuteur donne les données demandées.

Dites que vous venez de la part de Monsieur Geoffrin, il vous fera bon accueil, et cessera toute affaire tenante pour vous. Autre chose ?


Les bruits d'écriture sur le papier se font entendre de nouveau.

- Oui. A quel service fais-je parvenir la note de frais?


Contentieux juridique. Notre Dame. Avec justificatif sous forme de rapport. Bonne journée Monsieur.


- Merci et bonne journée Serviteur du Jugement Dernier Camillo.

Jammy rapproche alors le téléphone.

[Jammy Buck]

2/ Premier contact avec Maître Lorrain

Jammy toujours seul dans la salle commence à s'endormir lorsque son téléphone fait du bruit. Il regarde ses SMS puis les notes de son calepin.

Il décroche alors le téléphone et compose le numéro de l'avocat, Maître Lorain.


C'est la secrétaire de Maître Lorrain qui répond, après quelques formule d'usage, l'avocat répond lorsqu'il est entendu que son futur client est envoyé par des services religieux. La voix est assuré et chaleureuse. Si Jammy présente le dossier c'est avec plaisir que l'avocat le prendra en charge, ne semblant pas du tout douter de l'innocence du responsable de St Georges pour peu que son correspondant lui garantisse.

Mais que lui dit Jammy au juste ?


Lors de son explication Jammy lui explique qu'il est très important d'étudier dans tous les détails la procédure juridique pour le changement de l'école afin de savoir s'il est possible de trouver un vice de forme pour annuler le changement. Que du début jusqu'au procès verbal non encore publié tout est important. Sans rentrer dans les détails, il signale qu'il y a des doutes sur la décision prise et qu'il semble que celle-ci ai été influencée, il est donc essentiel que l'école reste privée et catholique.


Maître Lorrain prend connaissance de la requête de son vis à vis. Après un échange amicale, les deux correspondants raccrochent. C'est dés le lendemain que l'avocat rappel, avec ce qu'il considère comme une bonne nouvelle.

La santé mentale de la nouvelle directrice, à savoir Émilie Crèvecoeur, a été remise en cause. Si l’Église se montre intéressée, il sera assez simple de ramener l'école dans le giron privé. Néanmoins les élection pourrais jouer un petit rôle dans ce type de décision: l'une des listes est clairement anticléricale et une autre à initié ce projet de laïcisation. Évidement, il s'agit surtout de convaincre l’Église et les parents d'élève de la justesse d'un arrêt de cette procédure...

En d'autre terme, même s'il est possible qu'un nouveau Conseil fasse des siennes, il faut demander aux représentant de l’Église de faire une demande publique d'arrêt de procédure. C'est le premier pas pour renverser la vapeur.


Jammy est enjoué de la nouvelle, cela s'entend au téléphone. Il donne alors le feu vert à l'avocat de faire la démarche tout en parlant de Monseigneur Paulo et du père Amption comme étant les deux points d'entrée possible à lévêché.


Au bout de quelques temps l'avocat rappelle dépité: si le Père Amption ne semble pas en lui même contre un retour de l'école dans le giron de l'église, le reste de sa hiérarchie a finit par accepter la décision.

Au final, une espèce de statu quo d'attente c'est installé, mais dans l'immédiat, sauf grosse surprise, l'école devrais devenir laïque.

L'avocat suggère une pétition de parent d'élève pour convaincre l'institution écclésiastique de renoncer à cet abandon: il semble qu'ils n'aient pas été consulté.

[Jammy Buck]

3/ Second Contact avec Maître Lorrain

Jammy téléphone de nouveau à l'avocat. Il attend d'être mis en ligne ce dernier avant de lui dire que la pétition est en train d'être signée par les parents d'élèves. Une fois que JB a mis à jour l'avocat il lui demande s'il a des nouvelles pour lui.


Maître Lorain est un homme âgé, et dans un premier temps, il commence par demander un rappel à Jammy des actions qu'il devais entreprendre.


Jammy rassure l'avocat qu'il n'avait rien de particulier à faire. Ceci dit il se demendait s'il avait penser à autre chose pendant que la pétition se mettait en place.


Lorrain ne fait part que de sa confiance: des parents ont inscrit leurs enfants à une école catholique parce qu'ils le voulaient. Hors, il semble assez évident qu'ils n'ont pas été consulté. Ce levier est donc le bon... Il en a l'intime conviction.


Jammy sourit à l'autre bout du fil avant de demander à l'avocat s'il doit lui faire parvenir la pétition une fois signée par les parents.


Bien volontier, cela me donnera de la matière s'il y a contestation pour arrêter la procédure.

Répond le vieil homme.


Je vous remercie Maître Lorrain et je vous contacte dès que la petition est finie.

Courtoisie habituelle avant de raccrocher le téléphone. Enfin, si l'interlocuteur de Jammy n'a rien à ajouter.



Juste avant de raccrocher, Jammy parle de nouveau.

- J'allais oublier de vous demander quelque chose. Le jargon légal n'est pas mon fort et j'avoue n'avoir pas regarder aux papiers. Pourriez-vous me dire la raison qui a été mise en avant pour le changement de status de l'école?


C'est plutôt flou en vérité.

Répond la voix chevrotante.

J'ai cru comprendre que le dossier à été mis en place et soutenu par Mlle Crèvecoeur, qui se plaignait d’exigence étrange de la hiérarchie épiscopale. Mais à aucun moment elle n'est rentré dans les détails.

Il faut dire que l'église fait une résistance plutôt tardive par votre entremise. Avant votre contestation, la séparation se faisait plutôt à l'amiable...


- Je vous remercie Maître Lorrain. N'hésitez pas à me contacter au besoin si vous avez du nouveau. Sinon, je vous contacterai à la fin de la pétition.

Jammy donne son numéro de téléphone si cela n'a pas déjà été fait.

[Jammy Buck]

4/ Troisième Contact avec Maître Lorrain

Le télèphone sonne de nouveau chez Maître Lorrain. Comme quoi c'est un homme demandé. Une fois en ligne, Jammy demande à l'avocat.

- Maître, est-ce que le nom Gonzague Jodoigne vous rappelle quelque chose?


Bruit de papier, et quelque minutes plus tard.

Rien du tout. Il est en rapport avec notre affaire ?


- Il semblerait que son nom aurait pu apparaître dans le dossier d'après un ami. Il a peut-être un rapport avec notre affaire mais indirectement.


Je serais vigilant.


- Je vous remercie. Bonne journée.

[Jammy Buck]

5/ Quatrième Contact avec Maître Lorrain

Jammy avait rangé les feuilles de la pétition en ordre après avoir vérifié que tout avait été fait dans les règles de l'art. Il les avait mises dans une enveloppe après avoir fait des photocopies. Il écrit l'adresse de l'avocat dessus, puis s'en alla la poster. Une fois fait, il téléphona à maître Lorrain pour lui faire part du courrier d'une part. D'autre part, pour lui demander s'il avait besoin de venir pour le rendez-vous à l'évêché.


Maître Lorain explique qu'il peut envoyer un de ses jeunes assistant (lui même n'a pas l'air désireux de se déplacer, d'autres obligations...)

Il explique également que la nécessité de la présence d'un avocat dépend de l'impression que Jammy souhaite donné. Si c'est une impression de "vous n'avez pas le choix" et de contrainte, c'est une bonne attitude, mais la réussite n'est pas assurée et les relations futures seront plus tendue.

Du fait que l'Eglise fait ce qu'elle veut, ce n'est pas ce que conseil Lorrain.

Selon lui, un esprit plus conciliateur, et quelques explications pourraient être de meilleurs alois.


Jammy est d'accord avec l'avocat, tout se passera à l'amiable.