01-26-2005, 10:57 PM
ZIC
Cette descente au enfer qui n’en finissait plus.
Cette succession de température diverse, tantôt brûlant les chaires, tantôt saisissant et tétanisant le corps.
Personne n’aurait pu comprendre ce qui liait ces deux êtres si différents.
Certains l’auraient surement défini par un amour inavoué, d’autres encore par la prenante sensation d’une perte bien plus grande encore.
C’est lorsque le départ est proche que l’on aperçoit les montagnes de sentiments cachées derrière cette simple colline érodée par le temps passé ensemble.
L’âme de La filasse pleurait. Oh oui elle pleurait et se laissait guider par le néant, guider par ce lien qu’elle avait elle-même tisser avec ce grand gaillard blond à l'époque.
Les êtres d’une extrême bonté ne se complaisent pas dans la reconnaissance, ils aiment un point c’est tout.
Ils ne demandent rien en retour, absolument rien.
Ce jour elle était arrivée à l’église nue dans un corps meurtri par la maladie.
Elle l’avait guidée ici. Ange l’avait emmenée vers cette humaine si fragile…
En se réveillant, elle souriait et pleurait en voyant les scenettes se dérouler dans ce lieu de culte.
Et elle l’avait aperçue. Là, étendu sans force et vulnérable.
Son âme rayonnait tellement dans cette bâtisse grise et sinistre.
Elle savait que cet étrange guerrier aux armes improvisées serait son premier guide sur cette marche terrestre.
L’amour est dangereux quand il n’est pas contrôlé. En s’émerveillant de vivre, La filasse avait volontairement transgressé les lois de la guérisson en soignant Sachiel avec des morceaux de sa propre âme…
Lier à la fois dans la vie mais malheureusement aussi dans la mort…
La filasse allait périr par la main involontaire de son amour secret.
L’altruisme ouvre certaines voie que bien peu de personnes arpentent.
Un chemin bien seul là plupart du temps.
Carankhen venait de déposer un baiser sur les lèvres rougies par la perte de fluide vital.
La fatigue… La fatigue… La mortalité
Ce tunnel profond et froid… Apaisant…
To be continued
Cette descente au enfer qui n’en finissait plus.
Cette succession de température diverse, tantôt brûlant les chaires, tantôt saisissant et tétanisant le corps.
Personne n’aurait pu comprendre ce qui liait ces deux êtres si différents.
Certains l’auraient surement défini par un amour inavoué, d’autres encore par la prenante sensation d’une perte bien plus grande encore.
C’est lorsque le départ est proche que l’on aperçoit les montagnes de sentiments cachées derrière cette simple colline érodée par le temps passé ensemble.
L’âme de La filasse pleurait. Oh oui elle pleurait et se laissait guider par le néant, guider par ce lien qu’elle avait elle-même tisser avec ce grand gaillard blond à l'époque.
Les êtres d’une extrême bonté ne se complaisent pas dans la reconnaissance, ils aiment un point c’est tout.
Ils ne demandent rien en retour, absolument rien.
Ce jour elle était arrivée à l’église nue dans un corps meurtri par la maladie.
Elle l’avait guidée ici. Ange l’avait emmenée vers cette humaine si fragile…
En se réveillant, elle souriait et pleurait en voyant les scenettes se dérouler dans ce lieu de culte.
Et elle l’avait aperçue. Là, étendu sans force et vulnérable.
Son âme rayonnait tellement dans cette bâtisse grise et sinistre.
Elle savait que cet étrange guerrier aux armes improvisées serait son premier guide sur cette marche terrestre.
L’amour est dangereux quand il n’est pas contrôlé. En s’émerveillant de vivre, La filasse avait volontairement transgressé les lois de la guérisson en soignant Sachiel avec des morceaux de sa propre âme…
Lier à la fois dans la vie mais malheureusement aussi dans la mort…
La filasse allait périr par la main involontaire de son amour secret.
L’altruisme ouvre certaines voie que bien peu de personnes arpentent.
Un chemin bien seul là plupart du temps.
Carankhen venait de déposer un baiser sur les lèvres rougies par la perte de fluide vital.
La fatigue… La fatigue… La mortalité
Ce tunnel profond et froid… Apaisant…
To be continued
A bientôt ma poulette...