01-20-2005, 10:32 AM
Voila un petit mail que j'ai recu sur les extraits authentiques de rapports de gendarmerie. C'est sur; ceux de Kioui sont tres proches de la realité
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien a constater.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté...
Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.
L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappe son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention a ne pas lui faire mal.
L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
Ses papiers, même s'ils étaient faux, étaient parfaitement en règle.
Le bagage attendait avec un air louche...
L'homme n'ayant pas d'argent sur lui, nous l'avons sommé de nous régler immédiatement la totalité des sommes dues au titre des taxes diverses.
L'homme est mort avant de passer les contrôles douaniers, vraisemblablement pour n'avoir pas à nous présenter ses papiers.
Le transport des animaux étant interdit en cabine, le chien avait été déguisé en petite fille...
Ses explications ne nous paraissant pas très claires, nous avons sommé l'homme de parler français sous peine d'amende.
La femme était accompagnée de deux enfants de nationalité noire
Le sac que portait la femme ayant aboyé à plusieurs reprises, nous en avons conclu qu'il ne contenait pas que des vêtements comme elle le prétendait.
L'équipe de manutention de l'aéroport nous signala a 21h15 qu'un des colis débarque du vol Paris-Rome émettait un bruit semblable à celui d'un réveil mécanique. Vérification faite, il s'agissait en fait de plusieurs réveils mécaniques.
Plus l'homme cherchait à nous donner des explications sur son geste, plus nous avons compris qu'il ne parlait pas la même langue que nous.
"Quand le contrevenant a crié: "Espèce de gros con!" dans son dos, le brigadier chef de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé."
"Il est a noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour. "
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien a constater.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté...
Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.
L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappe son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention a ne pas lui faire mal.
L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
Ses papiers, même s'ils étaient faux, étaient parfaitement en règle.
Le bagage attendait avec un air louche...
L'homme n'ayant pas d'argent sur lui, nous l'avons sommé de nous régler immédiatement la totalité des sommes dues au titre des taxes diverses.
L'homme est mort avant de passer les contrôles douaniers, vraisemblablement pour n'avoir pas à nous présenter ses papiers.
Le transport des animaux étant interdit en cabine, le chien avait été déguisé en petite fille...
Ses explications ne nous paraissant pas très claires, nous avons sommé l'homme de parler français sous peine d'amende.
La femme était accompagnée de deux enfants de nationalité noire
Le sac que portait la femme ayant aboyé à plusieurs reprises, nous en avons conclu qu'il ne contenait pas que des vêtements comme elle le prétendait.
L'équipe de manutention de l'aéroport nous signala a 21h15 qu'un des colis débarque du vol Paris-Rome émettait un bruit semblable à celui d'un réveil mécanique. Vérification faite, il s'agissait en fait de plusieurs réveils mécaniques.
Plus l'homme cherchait à nous donner des explications sur son geste, plus nous avons compris qu'il ne parlait pas la même langue que nous.
"Quand le contrevenant a crié: "Espèce de gros con!" dans son dos, le brigadier chef de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé."
"Il est a noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour. "