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Le Beau Bar à Brian
Cool ? Il ricanne. Vous avez déjà pu observer sur Terre que non je n'étais définitivement pas cool.

Bonjour à vous Richter.


Il attendait Brian de toute évidence.

Si vous voulez parler encore faut-il que vous me posiez des questions.
Un jeune homme en costume très mais alors très trèèèès classe franchi la porte du Bar. Il salue respectueusement ses collègues et supérieurs avant de se diriger vers le comptoir.

-Vodka-glace, je vous prie.lance t'il sans vraiment regarder si quelqu'un est là pour entendre sa commande.

Il cale une fesse sur un tabouret et regarde dans la salle en direction des anges avec un demi-sourire amusé. Un sourire de ... bah oui, de connard, pas de doute. Il hausse un sourcil et continue de scruter les visages...
répondant au ténébreux Fougeolle
Sur terre... Je sais que tu sais faire ton truc et que tu le fais bien, mais si, tu es cool... J'veux dire. Tu ne tue pas pour rien, de ce que j'en sais en tout cas et ça c'est cool... Le reste, c'est le Jeu... Même si t'es pas un rigolo dans ton genre... Mais être cool et pas rigolo ça se peut

Et pour répondre à ta question, Brian est dans la pièce à coté, il parle avec une ombre. Il devrait revenir sous peu. En attendant si tu veux quelque chose, n'hésite pas.

Et elle revient sur Mecto
Merci mon gros, j'adore ton fair-play... Moi je l'aurais pas pris aussi bien... Tu veux une aspirine dans ta Mirabelle?
J'évite de répandre la mort sans raison, en effet.

C'est improductif.

Mais l'élimination préventive a parfois certaines propriétés intéressantes.


Il opine du chef.

Je vous prie de bien vouloir m'excuser, ma discothèque m'attend.

Il se dirige vers la pièce pù Brian et l'ombre sont sensés être.
Épine fait un signe de salut à Fougeolle à l'américaine c'est à rire deux doigts qui parte de la tempe et oui.
Ouais retourne à ta discothèque et restes y surtout. A plus le bout de bois.
Lui ne croise même pas le regard du Fléau...quand on peut éviter faut toujours le faire !
Il se contente d'un sourire niais vers Richter et lui répond :

De l'aspirine dans la Mirabelle ? T'as craqué toi ! Et puis...j'ai pas un mal "physique" si tu veux tout savoir .
Quand on est mauvais ça pique toujours un peu mais ça va passer .

Il se retourne pour enfin scruter la salle .
En s'éloignant Fougeolle ricanne.

Hu hu hu. Des promesses, toujours des promesses.
Alyssia n'a pas quitter le bar depuis la dernière fois ou on l'a vu. Cependant, vu le moindre signe de vie qu'elle a manifesté, on peut considérer qu'elle était trop absorbé par ce qu'elle lisait.

Quelques roman d'aventure ? Cape et épée ? Une adaptation de la légende arthurienne ?

Non...

Le capital de Karl Marx.

Elle en tourne les pages, les unes après les autres avec un certain intérêt.
Il était sorti un moment après que sa déconvenue lui soit passée , mais le voilà qui se repointe .
On aurait pu dire qu'il arrive des chiottes mais c'est un endroit dans lequel on ne le voit jamais , faut dire que depuis la maîtrise de l'incendie les liquides ne lui résistent pas !...
...Et pis vu la tronche qu'il tire si c'est des WC qu'il vient ben à coup sûr il n'a rien trouvé dans son froc !

Bria...heu.... Richter , files-moi un truc fort . Ce coup-ci laisses-moi la boutanche histoire que j'ai une chance de me souvenir du goût !
L'angèle prépare donc la dite "boutanche" et la pose sur le comptoir
Hé ben mon gros... Qu'est-ce qui t'arrive? Tu tire une de ces têtes... T'as pris une douche?

dit-elle en le taquinant en bonne barmaid qui remplace le taulier qu'elle est


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