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Gestion des assassinats et contrats de protection
Alyssia claque la langue d’agacement.

Richter ! Au nom du ciel, dit moi ou tu as fuit au lieu de courir comme une dératé !
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l'angèle semble avoir pris la direction du nord-est, la direction des démons...
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Alyssia soupire.

Hey bien, je ne sait pas ce qui c'est passé, mais ca va se finir d'ici peu...
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les hurlements se font entendre au loin
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Alyssia quant à elle revient tranquillement sur ses pas. Elle rejoint calmement Silver, lorsqu'elle interrompt sa marche. Elle place sa main devant la bouche et rougit à une vitesse que d'aucun n'aurais cru possible.

Quelqu'un... S'est montré très entreprenant avec moi.

L'angèle regarde l'assemblée, et, réalisant quelque chose, agite ses mains en signe de dénégation.

Elle n'est arrivé à rien !

Rouge comme une tomate, elle poursuit en prenant sa tasse pour retrouver une contenance.

...Et puis elle est morte.

Dégustant son café, elle toussote, puis poursuit.

Je ne rejoindrais pas le bus à temps. J'ai dit au Mahométan de prendre Richter et de partir sans moi. Je ne comprend pas le comportement des démons: l'un d'eux à écraser un certain Arsène Costerman. Ça dit quelque chose à quelqu'un ? C'était un aligné parce qu'il a fait plop. L'un des nôtres ?
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Puis-je avoir l'identifiant de ta victime pour la rayer du tableau ?
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Heu... Oui, bien sur: Pascale Pericho.
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Forty sort son calepin noir, fait recherche la victime du bout de son crayon, et biffe la personne correspondante de sa liste.

Merci ! N'hésitez pas à me prévenir lorsqu'il y a élimination ou exorcisme que je mette les fichiers à jour.
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Son café terminé, la jeune angèle le repose à côté de la cafetière.

Seigneur... Personne n'as pensé aux petits gâteaux.

Elle contemple cet oubli avec tristesse.

Du café sans petits gâteaux... C'est dommage non ?

Puis la voila qui fait volte face pour parler à Silver.

Richter et le Mahometan sont reparti. En ce qui me concerne je me retrouve à pied... Je me la jouerais bien Roland à l'arrière garde de l'armée de Charlemagne, mais ce ne serais pas raisonnable. Nous sommes au centre ville.

Dés que je peut je vais tenter de fuir... Si des démons ont la stupidité de me suivre, hey bien tant pis pour eux. Je vais tenter de rejoindre le métro Parc, pour arriver à Gendarmerie. Mais je pense que je suis hors course.


Elle se tourne et se met à crier, les mains en porte-voix:

Richter ! Je ne peut plus tenir au courant l'équipe d'opposition. Nous n'avons pas de groupe. Alors tu reviens pour raconter ta vie s'il te plaît !
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Pour une fois, Sieur Ruben ne prend pas de pincettes bien qu'il porte ses mitaines de cuir. Les dents serrées, mais toujours souriant, il fait une entrée disons "vive" dans cette pièce où sont gérées les protections.

Sans tergiverser il dépose le plus gros de son barda au sol, (et on peut se rendre compte qu'il en transporte un paquet de choses !), et d'un sec mouvement de hanche que des connaisseurs comme Dave auraient fortement apprécié, il fait tourner son luth et s'en saisit près a jouer. D'ailleurs il ne perd pas de temps et joue aussitôt. Des accords secs, vifs et entrainant qu'il joue en faisant de grands moulinets du bras ... en bref un espèce de rock médiéval ...


Sieur et dames, je suis Z'ici car j'aurais voulu quérir votre aide !
Prenez vos armes, car me colle au cul une belle et grosse merde !

Je vous explique, esquivant attaques, protégeant ma Mie, je roule plutôt vite !
Vous n'êtes point sots et avez compris, j'parle de course-poursuite !

J'débarque dans not' quartier et ces daemonicus ne veulent point nous lâcher !
Cette bonne et solide carriole hippie en a d'jà beaucoup encaissé ...

Cet Emilien Curny, depuis long nous court après, et veut me paralyser !
Je n'ai guère de répit, et il va de soi prend pas l'temps d'm'arrêter !

Comme il peut s'rendre invisible, et qu'alors n'aurais point moyen d'le trouver,
Je peux vous le dire, ce n'est pas que d'la sueur qui fait qu'mon slip est mouillé !

Et ceci sans compter, une bande de fols acharnés, qui nous suit en carriole,
Je n'en peux plus d'esquiver, attaques mentales ou armées, cela n'est pas drôle !

Auriez-vous l'obligeance, si vous le pouviez, d'les attendre en bout d'route ?
Avec un peu d'chance, de les retarder que Richter survive coûte que coûte !

Je compte me ranger, au fond d'not quartier, le plus loin au Nord,
J'crains de n'y arriver, car il est dur de conduire lorsqu'on est un peu mort !

Et ceci sans compter, que l'on soit attendu en sortie d'métropolitain,
Il suffit d'une balle, d'une dague ou d'un crachat, en un mot d'un rien ...

Pour que ma Douce et tendre, déjà blessée, ne le prenne pas bien !
Puis-je alors compter, non sur tout le monde mais au moins sur certains ?

Je peux vous le dire, s'il en est ainsi et que vous prenez parti je vous serait redevable !
Car je n'ai qu'une parole comme tous mes collègues, conteur, ménestrel ou barde !


Un dernier riff qui sonne longtemps ... on pourrait croire qu'il joue du luth électrique en vrai !

Ayant fini sa compo, Ruben remet son instrument dans son dos et rempile ses affaires. Il tourne sur lui-même, faisant voleter sa cape, cherchant des yeux ceux et celles qui se proposerait a offrir leur aide. Il sourit toujours, mais on peut néanmoins sentir le stress inhérent a ce genre de situation complexe.
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