07-17-2012, 05:06 PM
Typiquement par réflexe, il salue a nouveau devant l'enthousiasme de 40some et se contente de sourire a la remarque de ce dernier sur les pêchés.
En effet je sers Eli.
Quand au pourquoi du comment, je confesse avoir quelques difficultés a y répondre, mes souvenirs antérieurs a cette incarnation étant encore pour la plupart flous ...
Il me semble bon pourtant avoir simplement changé de supérieur, mes raisons toutefois resteront pour le moment hors de ma portée.
Mais nous savons, vous comme moi, que cela ne change point grand chose quant a la grande cause que nous servons. Que la rose se nomme autrement ne change point son parfum !
Tournoyant sur lui-même il fait voler sa cape et salue une nouvelle fois en tirant dessus d'une main, laissant a tout un chacun le loisir d'observer ses vêtements. De facture élégante, il ne fait nul doute que son habillement provienne d'un tailleur talentueux. Cependant le temps et les voyages laissant leurs marques, sa cape verte et ses bottes rembourrées présentent des signes évident d'usure et de nombreux accrocs sur son pantalon ont été recousus a la hâte semble t-il. (ou sans talent plus probablement.)
Lorsqu'il libère sa houppelande, les morceaux de tissus et de rubans multicolores fixés par dessus reprennent leurs places habituelles, se chevauchant tel des écailles. Toutes ces couleurs vives ne prêtent guère a la discrétion, ce qui correspond plutôt bien au personnage qui fait montre d'une telle vivacité, que même s'il était vêtu d'une bure simple on ne pourrait le manquer.
Comme il ne reste pas en place, il incline la tête a l'adresse de Shagshog et soulève sa chope avant d'en gouter une gorgée. Un nouveau remerciement en quelque sorte, mais silencieux cette fois-ci.
Mais c'est avec une attention non-feinte qu'il écoute attentivement Richter quand elle lui répond.
Vous me voyez flatté d'un tel compliment gente dame !
Évidemment, Richter jouant avec talents sur les mots, le pauvre hère se laisse prendre par le double sens. Alors qu'il s'apprêtait a rétorquer une phrase bien pensée sur le ton badin de la conversation, s'imaginant déjà conclure par l'équivalent de "chez toi ou chez moi", sa langue claque subitement et il referme aussitôt la bouche lorsqu'il perçoit sa méprise.
Reprenant aussitôt contenance et affichant l'un de ses sourires adorables, il fait doucement chanter les cordes de son luth en les frôlant d'une main.
Je suis un parolier et un conSteur avant tout, mais je me débrouille plutôt bien avec mes instruments. Je chante également. Il la dévisage longuement. Pour les belles fleurs tel que vous le plus souvent ...
En effet je sers Eli.
Quand au pourquoi du comment, je confesse avoir quelques difficultés a y répondre, mes souvenirs antérieurs a cette incarnation étant encore pour la plupart flous ...
Il me semble bon pourtant avoir simplement changé de supérieur, mes raisons toutefois resteront pour le moment hors de ma portée.
Mais nous savons, vous comme moi, que cela ne change point grand chose quant a la grande cause que nous servons. Que la rose se nomme autrement ne change point son parfum !
Tournoyant sur lui-même il fait voler sa cape et salue une nouvelle fois en tirant dessus d'une main, laissant a tout un chacun le loisir d'observer ses vêtements. De facture élégante, il ne fait nul doute que son habillement provienne d'un tailleur talentueux. Cependant le temps et les voyages laissant leurs marques, sa cape verte et ses bottes rembourrées présentent des signes évident d'usure et de nombreux accrocs sur son pantalon ont été recousus a la hâte semble t-il. (ou sans talent plus probablement.)
Lorsqu'il libère sa houppelande, les morceaux de tissus et de rubans multicolores fixés par dessus reprennent leurs places habituelles, se chevauchant tel des écailles. Toutes ces couleurs vives ne prêtent guère a la discrétion, ce qui correspond plutôt bien au personnage qui fait montre d'une telle vivacité, que même s'il était vêtu d'une bure simple on ne pourrait le manquer.
Comme il ne reste pas en place, il incline la tête a l'adresse de Shagshog et soulève sa chope avant d'en gouter une gorgée. Un nouveau remerciement en quelque sorte, mais silencieux cette fois-ci.
Mais c'est avec une attention non-feinte qu'il écoute attentivement Richter quand elle lui répond.
Vous me voyez flatté d'un tel compliment gente dame !
Évidemment, Richter jouant avec talents sur les mots, le pauvre hère se laisse prendre par le double sens. Alors qu'il s'apprêtait a rétorquer une phrase bien pensée sur le ton badin de la conversation, s'imaginant déjà conclure par l'équivalent de "chez toi ou chez moi", sa langue claque subitement et il referme aussitôt la bouche lorsqu'il perçoit sa méprise.
Reprenant aussitôt contenance et affichant l'un de ses sourires adorables, il fait doucement chanter les cordes de son luth en les frôlant d'une main.
Je suis un parolier et un conSteur avant tout, mais je me débrouille plutôt bien avec mes instruments. Je chante également. Il la dévisage longuement. Pour les belles fleurs tel que vous le plus souvent ...