07-06-2012, 12:33 PM
Yeoshua se fend d'un sourire... un peu tardif.
« Hey bien, je ne suis pas resté inactif contrairement aux apparences. »
Le personnage ne ment pas, quoique le narrateur ne puisse en dire autant.
« Et ma foi, je pense que nous pouvons exclure un comportement pathologique, vu vos agissements alors que vous n'aviez pas conscience d'être observé. Je vous encourage néanmoins à d'avantage vous concentrer sur des agissements plus en accord avec le rôle des Jean-Luc, mais ça, c'est une question d'avancement, pas de punitions.
J'ai donc décidé de recommander la levé des punitions, qui étaient d'avantage des gardes fous que des châtiments. »
Le sourire cesse cependant:
« Je ne pourrais rien pour vous face à une récidive. Je pense même qu'ils ne se donneront pas la peine de m'envoyer. Aucun humain ne doit mourir dans votre environnement immédiat. Jamais. Et entre nous... »
Le ton se fait sur la confidence:
« Oubliez donc la spécificité de la quatrième loi. Si un humain doit être tuer pour en sauver dix autres, laisser quelqu'un d'autre prendre la décision et la responsabilité. Quitte à le lui souffler. »
Se reculant quelque peu, il explique:
« Ce n'est qu'un conseil, les lois sont les même pour tous. Simplement, votre nom ne devrais pas être oublié dans la prochaine décennie. »
« Hey bien, je ne suis pas resté inactif contrairement aux apparences. »
Le personnage ne ment pas, quoique le narrateur ne puisse en dire autant.
« Et ma foi, je pense que nous pouvons exclure un comportement pathologique, vu vos agissements alors que vous n'aviez pas conscience d'être observé. Je vous encourage néanmoins à d'avantage vous concentrer sur des agissements plus en accord avec le rôle des Jean-Luc, mais ça, c'est une question d'avancement, pas de punitions.
J'ai donc décidé de recommander la levé des punitions, qui étaient d'avantage des gardes fous que des châtiments. »
Le sourire cesse cependant:
« Je ne pourrais rien pour vous face à une récidive. Je pense même qu'ils ne se donneront pas la peine de m'envoyer. Aucun humain ne doit mourir dans votre environnement immédiat. Jamais. Et entre nous... »
Le ton se fait sur la confidence:
« Oubliez donc la spécificité de la quatrième loi. Si un humain doit être tuer pour en sauver dix autres, laisser quelqu'un d'autre prendre la décision et la responsabilité. Quitte à le lui souffler. »
Se reculant quelque peu, il explique:
« Ce n'est qu'un conseil, les lois sont les même pour tous. Simplement, votre nom ne devrais pas être oublié dans la prochaine décennie. »