01-09-2012, 11:34 PM
Galila hausse les épaules.
- Les fêtes à la Manus Dei étaient bien aussi. Bien sûr, les décorations n'avaient rien à voir, mais ici, c'est pour coller au thème classique, l'ambiance qui se dégage chez les Hommes en cette période, la légèreté, le bonheur de faire plaisir...
Le Novalis s'appuie contre une table et poursuit de sa voix mélodieuse mesurée :
- Après tout, si pour les croyants il s'agit de fêter la naissance de Jésus, nous pouvons tout de même fêter l'espoir que cela représente, la victoire de la lumière sur l'obscurité dans les jours qui allongent. Nous traversons une période sombre, néfaste même. Mais le pire est derrière nous. Nous sommes encore là, profitons de ce simple bonheur et faisons en sorte qu'il dure, que nous puissions rester ensemble aussi longtemps qu'il nous plaira. Partageons cet instant, partageons ce que nous avons et suivons cette étoile pour sortir de la nuit.
Le regard de l'Ange des fleurs traverse la pièce, passe sur ceux qui sont venus, sans que l'on sache s'il les voit ou si la lueur bleutée est perdue ailleurs. Une certaine mélancolie marque ses traits, mais Galila sourit.
- Les fêtes à la Manus Dei étaient bien aussi. Bien sûr, les décorations n'avaient rien à voir, mais ici, c'est pour coller au thème classique, l'ambiance qui se dégage chez les Hommes en cette période, la légèreté, le bonheur de faire plaisir...
Le Novalis s'appuie contre une table et poursuit de sa voix mélodieuse mesurée :
- Après tout, si pour les croyants il s'agit de fêter la naissance de Jésus, nous pouvons tout de même fêter l'espoir que cela représente, la victoire de la lumière sur l'obscurité dans les jours qui allongent. Nous traversons une période sombre, néfaste même. Mais le pire est derrière nous. Nous sommes encore là, profitons de ce simple bonheur et faisons en sorte qu'il dure, que nous puissions rester ensemble aussi longtemps qu'il nous plaira. Partageons cet instant, partageons ce que nous avons et suivons cette étoile pour sortir de la nuit.
Le regard de l'Ange des fleurs traverse la pièce, passe sur ceux qui sont venus, sans que l'on sache s'il les voit ou si la lueur bleutée est perdue ailleurs. Une certaine mélancolie marque ses traits, mais Galila sourit.