Le Beau Bar à Brian

[kcinnay]

Kcinnay regard le beau gosse

alors comme a tu laisse le premier venu, se joindre à notre table, un inconnu, qui risque de finir en torche humaine, une fois dehors....
elle le regarde fixement ce petit homme ...

[Litigium]

Le renégat refait son apparition dans l'encadrement de la porte, tirant sur un cigare énorme.

Salut les filles! C'est Papa !!  Ah tiens Brian, tu es réveillé ? Sers moi donc une binouze, j'ai soif!

[Mortem]

Mortem écoute tout en commençant à boire tranquillement son café. Il souffle de temps en temps dessus comme on souffle sur une soupe trop chaude.

Tu sais kcinnay, je suis pas du genre à m'enflammer pour si peu. Et si mon siège gène autour de la table je peux toujours m'assoir sur tes genoux. Dit il avec un sourire franc.

Quoi que Victorious préfèrera peut-être m'avoir sur les siens.

Il jette un regard à Victorious avant de se tourner vers Silver qui vient de parler.

Des paroles très censés. Tant que personne se met sur le chemin de personne, il n'y aura pas de casse dans l'un ou l'autre camp.

Il repose sa tasse sur la soucoupe qu'il tient et se tourne vers le nouveau venu tout en s'adressant aux personnes à sa table.

Vous le connaissez ?

Puis s'adressant à Litigium.

Bonjour..

[silver]

Silver grimace en voyant Lithigium revenir au bar.Il répond à Mortem avec un air de dégout et de Haine.

Oui on le connait.C'est la pire engeance qui puisse exister sur Terre et sur cette marche.C'est un renégat responsable du chaos de ce moment.Je préfère encore converser avec les démons plutôt que de parler à cette espèce de rebuts dégénérescents qui trahissent leur camp.

La musique que Silver diffuse, qui était calme et sereine jusqu'à présent, se transforme en sonorités très stridente et désagréable.

Une épuration de masse de cette sous race est le remède à proposer.

[Victorious]

Les échanges entre Mortem et Kcinnay ne semble guère intéresser l'andréalphus. Les paroles de Silver bien d'avantage, néanmoins, vu la tête, il est très clair que ces propos ne sont pas de son goût.

Sa main pianote nerveusement sur la table, une ride c'est plissée à la base jadis lisse du nez. Un éclat de colère de colère brille dans les yeux du démon.

Il allait expliquer sa façon de penser, lorsque Litigium entre dans la salle. Du coup, il se tait. Il ne répondras pas à la dernière phrase de l'inquisiteur, toute son expression retournant à la neutralité.

[Timoria]

Timoria, qui suivait la conversation à distance, s'approche doucement de la table derrière Mortem, puis, posant une main presque amicale sur  son épaule, lui murmure quelques paroles à l'oreille.

[Valium]

Valium qui avait decroché de la conversation depuis un moment, se reveille à l'entrée de Marcus/Litigium.
Il se rapproche du zinc et de Brian.
Tiens Brian, pour tes absence de ces derniers temps, c'est a lui qu'il faut demander.

[kcinnay]

manque plus que soeur Teresa !!

[Mortem]

Oh. Je vois.

Il le regarde des pieds à la tête.

Et la dernière fois il a fait quoi ?

Mortem sursaute en sentant la main de Timoria. Un peu plus il aurait pu avoir une attaque le pauvre bougre. Il se tourne vers Timoria lorsque celle-ci lui chuchote à l'oreille et lorsqu'elle a fini il lui dit :

Faites ce qui doit être fait Juge.

Il reprend sa tasse et continue son café tout en observant le nouveau venu.

[Galila]

  Le Novalis rit en observant les diverses expressions sur les visages et secoue la tête en soupirant, avec un air d'amusement désabusé. Il se lève tranquillement, prenant garde à ne pas accrocher une chaise autour de cette table maintenant très entourée et vient se placer juste derrière le siège de l'Andréalphus, abandonnant là sa poignée de sucettes. Ses mains se posent sur le dossier et il s'adresse au Démon du stupre en regardant les autres, indépendamment du camp.

- Venez, Victorious. Maintenant que mes frères ont affirmé leur confiance et leur soutien, nous devrions aller discuter juste à côté. Ils seront rassurés de nous entendre, ainsi peut-être que vos collègues, mais nous devrions être un peu plus au calme. Cela évitera d'avoir à confronter ma définition du tout avec celle de certains, rajoute Galila, ironique.