Étape 1: organisation

[Tsevaot]

Le Baalite note les noms des participants sur le tableau, puis se tourne vers ses camarades:

Des préférences pour la constitution des équipes? Enfin, paires seraient plus juste. Sinon je peux les faire moi-même, c'est vous qui voyez.

[Jean Tranforse]

Le Vieux, se tenait dans un coin de la pièce, il sort son cigare d'entre les dents et regarde Tsévaot

P'tiot, pour ma part je souhaiterais faire équipe avec un tueur discret.C'est tout ce que je demande.

[satodemonius]

Satodemonius arriva a son tour...

moi je veux bien quelqu'un qui comble mon potentiel de détection, et qui gène l'adversaire au combat, je m'occuperais du reste

[Hephaistos]

je m'adapterai, amis je pâtis sévèrement d'absence de détection
par contre je suis d'une discrétion hors du commun. Diabolique devrait on dire...

[Tsevaot]

Le Baalite écoute ses collègues et dit:

Bon, donc je mettrais le Chevalier avec Jean, et pour Sato', on va attendre que les autres se manifestent. Moi, je prendrai ce qui reste.

[Laylax]

Sortant d'un coin d'Ombre, café à la main et sa "tenue adorée" revêtue (par contrainte).

- Peu importe pour moi, je bien même être en solo.

[Jean Tranforse]

Chevalier vous tirez a distance si mes souvenirs sont exacts?C'est parfait cela.
Je tiens a rajouter quelque chose.Je souhaiterai m'occuper des lieux les plus "peuplés"; parking, X-file, métro.
Soyons franc, j'ai la capacité de détection la plus large.Je peux ressentir la présence d'un ange dans un rayon de 30 mètres.
J'irai beaucoup plus vite que ceux qui détectent "a la main"...puisque je n'interrogerai que les quelques personnes qui  se trouvent a un endroit ou j'ai ressenti un emplumé..

[Hephaistos]

ok, je m'achète un fusil et on file commencer la lessive automnale
Ou est ce qu'on se retrouve ?

[Tsevaot]

Okay, ça me va bien que vous fassiez ça comme ça.

Dit le démon de Baal à sa première paire, puis il se tourne vers Laylax:

Toi, tu sais discuter avec les gens, ou t'es du genre à te faire rembarrer direct?

[X-Fel]

X-Fel entre dans la salle, les mains dans les poches, son visage avenant plus fermé que ce dont il a l'habitude.
Il jette un regard aux autres occupants de la salle et prend une chaise. Il sort alors un joint d'une poche intérieure et l'allume, écoutant ce qui se dit d'une oreille peu attentive, en tirant une taffe de temps en temps, emplissant la pièce de l'odeur douçâtre de la fascinante plante.