02-22-2009, 08:22 PM
Il est à peu près 20h30, le ciel est clair au-dessus d'Immac en ce 22 février 2009. Noémie Bocquet, agent de police de son état, patrouille dans sa voiture, non loin du centre-ville.
Au même moment, Jeanne, Louis et Henri, 3 lycéens, force la porte d'un magasin du quartier, armés et l'air totalement fou. Des gens sont à l'intérieur malgré le fait que le magasin soit fermé. En effet, la patronne de mode était restée là toute la journée, afin de remplir divers papiers administratifs, en compagnie de son employé. Ce dernier, voyant les jeunes arriver semble plus que surpris:
Mais que faites vous là?
La fille du trio, avale une pilule et lui crie:
Ta gueule! On veut la caisse!
Apeuré, il recule alors que la vendeuse et patronne va à la caisse et leur tend l'argent. Son employé en profite pour tenter de s'approcher de la porte. Un des garçons le voit et ouvre le feu, le touchant au ventre avec son pistolet. L'homme s'effondre dans une marre de sang, sa vie s'échappant déjà de son corps mortellement blessé. Le gamin rit.
Bordel, c'est trop fort ce truc! T'appuies sur la détente et paf! Le mec il meurt, trooooop top. Je savais qu'on avait bien fait de voler la carte bleue de mon père, maintenant, on est des dieux!
Ses camarades approuvent et l'un des garçons sort du bâtiment, pendant que la fille prend l'argent, et que son camarade la couvre.
Au même instant, l'agent de police entend la détonation, arrête son véhicule et saisit la radio
-Bocquet à Central, Bocquet à Central. Je viens d'entendre un bruit ressemblant à un coup de feu près du magasin de mode du CV, je sors pour investigation.
- 10-4. Soyez prudente.
L'agent sort alors, arme au poing et aperçoit un jeune homme, l'air un peu perdu, avec un colt dans les mains. Doucement, elle s'approche de lui et crie:
Police lâche ça!
Le jeune pivote, l'air toujours autant perdu et machinalement, lève son arme tirant le premier du fait de l'effet de surprise.
L'agent de police sent soudain quelque chose de froid au niveau de son thorax, plutôt au milieu, ça lui fait mal. Elle aimerait presser sur la gâchette mais n'en a plus la force. Elle s'écroule alors que le jeune éclate de rire et menace une patiente, l'air totalement fou.
On peut encore entendre la radio crépiter:
Bocquet, ici Central, vous nous recevez? Bon sang, c'est pas vrai! 10-99, je répète 10-99. Un de nos agents ne répond plus en CV, au niveau du magasin de mode, foncez!
A peine le message terminer, les hommes du GIGN cesse leur partie de belotte, monte dans le véhicule et parte en trombe. Ils seront bientôt là mais il est déjà trop tard pour leur pauvre collègue, qui entend Bob Dylan chanter "knocking on heaven's door".
A suivre...
Au même moment, Jeanne, Louis et Henri, 3 lycéens, force la porte d'un magasin du quartier, armés et l'air totalement fou. Des gens sont à l'intérieur malgré le fait que le magasin soit fermé. En effet, la patronne de mode était restée là toute la journée, afin de remplir divers papiers administratifs, en compagnie de son employé. Ce dernier, voyant les jeunes arriver semble plus que surpris:
Mais que faites vous là?
La fille du trio, avale une pilule et lui crie:
Ta gueule! On veut la caisse!
Apeuré, il recule alors que la vendeuse et patronne va à la caisse et leur tend l'argent. Son employé en profite pour tenter de s'approcher de la porte. Un des garçons le voit et ouvre le feu, le touchant au ventre avec son pistolet. L'homme s'effondre dans une marre de sang, sa vie s'échappant déjà de son corps mortellement blessé. Le gamin rit.
Bordel, c'est trop fort ce truc! T'appuies sur la détente et paf! Le mec il meurt, trooooop top. Je savais qu'on avait bien fait de voler la carte bleue de mon père, maintenant, on est des dieux!
Ses camarades approuvent et l'un des garçons sort du bâtiment, pendant que la fille prend l'argent, et que son camarade la couvre.
Au même instant, l'agent de police entend la détonation, arrête son véhicule et saisit la radio
-Bocquet à Central, Bocquet à Central. Je viens d'entendre un bruit ressemblant à un coup de feu près du magasin de mode du CV, je sors pour investigation.
- 10-4. Soyez prudente.
L'agent sort alors, arme au poing et aperçoit un jeune homme, l'air un peu perdu, avec un colt dans les mains. Doucement, elle s'approche de lui et crie:
Police lâche ça!
Le jeune pivote, l'air toujours autant perdu et machinalement, lève son arme tirant le premier du fait de l'effet de surprise.
L'agent de police sent soudain quelque chose de froid au niveau de son thorax, plutôt au milieu, ça lui fait mal. Elle aimerait presser sur la gâchette mais n'en a plus la force. Elle s'écroule alors que le jeune éclate de rire et menace une patiente, l'air totalement fou.
On peut encore entendre la radio crépiter:
Bocquet, ici Central, vous nous recevez? Bon sang, c'est pas vrai! 10-99, je répète 10-99. Un de nos agents ne répond plus en CV, au niveau du magasin de mode, foncez!
A peine le message terminer, les hommes du GIGN cesse leur partie de belotte, monte dans le véhicule et parte en trombe. Ils seront bientôt là mais il est déjà trop tard pour leur pauvre collègue, qui entend Bob Dylan chanter "knocking on heaven's door".
A suivre...