03-25-2008, 02:51 PM
A vive allure.
A vive allure, courait cette douce silhouette. L'air vraiment mal assurée, perchée sur des talons hauts, elle boitait ou non mieux... Je sais pas si vous avez déjà tenté de marcher avec des talons hauts mais dans l'genre putain difficulté sans s'baiser les ch'villes, ça s'pose là.
Bref. Au vue de la course honteusement faourée qu'est en train de faire le man'quin, on pourrait croire que. Soit elle est bourrée comme une truelle, soit ses chaussures sont vraiment pas faites pour la course...
Il faisait nuit noire aussi c'est clair que pour disserner les aspirités de l'asphalte de la p'tite ruelle dans laquelle elle s'était faufillée, fallait avoir une sacrée vue. Visiblement c'était pas le cas de cette malheureuse...
La ruelle sale puait l'urine. L'urine c'était vraiment ce qui ressortait majoritairement parce que globalement on pouvait s'attendre à d'la merde, des ordures, des rats crévés si on reniflait bien. Mais dans l'ensemble, on évitait de renifler un truc pareil.
Le sol jonché de sac de poubelles ouverts et de papiers gras était à l'image de ce qu'on pouvait attendre dans une ville ou la misère et la mort régnaient à chaque coin de rue.
Là, un braséro avec 3 types autour. Ces bouffons tentaient de se chauffer leurs membres ankylosés par le froid... Et s'chauffer l'cul aussi dans la foulée.
Ils regardèrent le grande silhouette se ramasser tous les 5 ou 6 mètres.
Lorsqu'un 4 ème gars qu'on avait pas vu dans l'ombre se posta au milieu de la ruelle, barrant, pour ainsi dire le chemin, à cette pauvre femme esseulée. Elle fuyait quelques choses. Mais quoi...
Elle se stoppa nette. Un piège. Un putain d'piège d'enculé d'sa race la moquette.
Le braséro éclairait légèrement les contours de cette frèle et pauvre femme. Elle était seule face à l'inévitable face à une terrible menace.
Elle allait probablement se faire violer, périr voir pire périr puis se faire violer...
La femme se retourna vers la narrateur:
Ecoutes moi bien face de pets d'nonnes, tu fermes ton putain d'claque merde de gros batards de communiste.
Zoom caméra sur la demoiselle en détresse!!!
Si j'ai besoin d'un putain d'enculé d'lèche cul de fils de pute de narrateur de mes deux, tu s'ras p'rochain que sonn'rait.
T'as compris espèce de p'tit trou du cul ou j'dois déclarer ton trou d'balle source de jeunesse pour le reste des millénaires à v'nir? Et crois moi, si tu t'ais jamais fait pousser la merde par une bande de putain d' fils de pute enragés, j'peux t'dire que ton putain d'anus va sentir aut'chose que la merde.
Tu pourras t'bruler cent fois ton putain d'derche avec de l'acide chloridrique que t'arriveras pas à générer une putain d'enculé d'douleur pareille. Ca va puer l'bruler p'tit con.
Merde, c'est le Major longhorn... C'est bizarre parce qu'avec son maquillage de pouf, tout coulant par la sueur, je l'avais pas reconnu. Cette démarche malhabille, ces jambes pas rasées, cette BARBE qui avait repoussée parce qu'il avait surement oublié que c'était une fille. Ca aurait dû m'mettre la puce à l'oreille... Autant pour moi.
EST CE QUE TU M'AS BIEN COMPRIS TETE DE NOEUD???
Heu pardon Monsieur Major Longhorn.
Bien...
L'action reprit son cours...
Il se retourna vers son opposant du soir. Il fit flasher tout simplement son aura. Généralement, ça suffisait à faire fuir l'opposant parce que se battre contre le gros baalite de service n'annoncait rien de bon...
Mais là rien. Il bougeait pas... Bizarre
Heu??? Tu veux te fritter avec moi petit... La voix de la fille jurait complét'ment avec la frèle heuu. Le Major se retourne encore vers le narrateur. Enfin avec l'incarnation du Major.
Le mec qui lui faisait face le regardait en souriant... Il opina tout simplement du chef genre... bah ouais mon con.
T'en a marre de vivre, c'est ça? Tu s'rais pas en train de t'dire que tu s'rais mieux à regarder Maguy à la télé?
Le mec lui fit non carrément, en souriant... Sauf que là en plus, il avait le p'tit rire du gars qui fait vachement douter. Vous savez là, le rire très léger que seul le Major peut entendre. Le rire qui glace le cul quoi... Qui t'reffroidit comme une merde...
Le major fronça les sourcils...
Et merde...
Le mec réopina de la tête et lui répondit...
Et ouais.
Le Major prit une très forte inspiration.
Oh merde...
Le gars
Oh ouais...
Le mec fit flasher alors son aura et c'était... Oh merde... Shasthar.
Son aura était tellement puissante qu'elle illumait la rue, mais d'une force. Si bien que d'un seul coup le Major commencait à mouiller carrément son entre-jambe.
Merde, merde, merde, merde....
Le major ferme les paupières quelques secondes et scanne les trèfonds de son âme à la recherche d'une once d'espoir. Son niveau de pouvoir était franchement en dessous de la limite à ne pas franchir. Mais l'autre taré de Héphaïstos lui avait dit: "Tu vas jouer avec des anges d'Ange mec, crame tes pp avant d'y aller"... Putain mais il avait des fois des idées tellement connes ce con...
ET PIRE QUE TOUT... Il était ridicule avec ses fringues de pute slovaque. Crever ok, mais crever dignement quoi ... merde
A vive allure, courait cette douce silhouette. L'air vraiment mal assurée, perchée sur des talons hauts, elle boitait ou non mieux... Je sais pas si vous avez déjà tenté de marcher avec des talons hauts mais dans l'genre putain difficulté sans s'baiser les ch'villes, ça s'pose là.
Bref. Au vue de la course honteusement faourée qu'est en train de faire le man'quin, on pourrait croire que. Soit elle est bourrée comme une truelle, soit ses chaussures sont vraiment pas faites pour la course...
Il faisait nuit noire aussi c'est clair que pour disserner les aspirités de l'asphalte de la p'tite ruelle dans laquelle elle s'était faufillée, fallait avoir une sacrée vue. Visiblement c'était pas le cas de cette malheureuse...
La ruelle sale puait l'urine. L'urine c'était vraiment ce qui ressortait majoritairement parce que globalement on pouvait s'attendre à d'la merde, des ordures, des rats crévés si on reniflait bien. Mais dans l'ensemble, on évitait de renifler un truc pareil.
Le sol jonché de sac de poubelles ouverts et de papiers gras était à l'image de ce qu'on pouvait attendre dans une ville ou la misère et la mort régnaient à chaque coin de rue.
Là, un braséro avec 3 types autour. Ces bouffons tentaient de se chauffer leurs membres ankylosés par le froid... Et s'chauffer l'cul aussi dans la foulée.
Ils regardèrent le grande silhouette se ramasser tous les 5 ou 6 mètres.
Lorsqu'un 4 ème gars qu'on avait pas vu dans l'ombre se posta au milieu de la ruelle, barrant, pour ainsi dire le chemin, à cette pauvre femme esseulée. Elle fuyait quelques choses. Mais quoi...
Elle se stoppa nette. Un piège. Un putain d'piège d'enculé d'sa race la moquette.
Le braséro éclairait légèrement les contours de cette frèle et pauvre femme. Elle était seule face à l'inévitable face à une terrible menace.
Elle allait probablement se faire violer, périr voir pire périr puis se faire violer...
La femme se retourna vers la narrateur:
Ecoutes moi bien face de pets d'nonnes, tu fermes ton putain d'claque merde de gros batards de communiste.
Zoom caméra sur la demoiselle en détresse!!!
Si j'ai besoin d'un putain d'enculé d'lèche cul de fils de pute de narrateur de mes deux, tu s'ras p'rochain que sonn'rait.
T'as compris espèce de p'tit trou du cul ou j'dois déclarer ton trou d'balle source de jeunesse pour le reste des millénaires à v'nir? Et crois moi, si tu t'ais jamais fait pousser la merde par une bande de putain d' fils de pute enragés, j'peux t'dire que ton putain d'anus va sentir aut'chose que la merde.
Tu pourras t'bruler cent fois ton putain d'derche avec de l'acide chloridrique que t'arriveras pas à générer une putain d'enculé d'douleur pareille. Ca va puer l'bruler p'tit con.
Merde, c'est le Major longhorn... C'est bizarre parce qu'avec son maquillage de pouf, tout coulant par la sueur, je l'avais pas reconnu. Cette démarche malhabille, ces jambes pas rasées, cette BARBE qui avait repoussée parce qu'il avait surement oublié que c'était une fille. Ca aurait dû m'mettre la puce à l'oreille... Autant pour moi.
EST CE QUE TU M'AS BIEN COMPRIS TETE DE NOEUD???
Heu pardon Monsieur Major Longhorn.
Bien...
L'action reprit son cours...
Il se retourna vers son opposant du soir. Il fit flasher tout simplement son aura. Généralement, ça suffisait à faire fuir l'opposant parce que se battre contre le gros baalite de service n'annoncait rien de bon...
Mais là rien. Il bougeait pas... Bizarre
Heu??? Tu veux te fritter avec moi petit... La voix de la fille jurait complét'ment avec la frèle heuu. Le Major se retourne encore vers le narrateur. Enfin avec l'incarnation du Major.
Le mec qui lui faisait face le regardait en souriant... Il opina tout simplement du chef genre... bah ouais mon con.
T'en a marre de vivre, c'est ça? Tu s'rais pas en train de t'dire que tu s'rais mieux à regarder Maguy à la télé?
Le mec lui fit non carrément, en souriant... Sauf que là en plus, il avait le p'tit rire du gars qui fait vachement douter. Vous savez là, le rire très léger que seul le Major peut entendre. Le rire qui glace le cul quoi... Qui t'reffroidit comme une merde...
Le major fronça les sourcils...
Et merde...
Le mec réopina de la tête et lui répondit...
Et ouais.
Le Major prit une très forte inspiration.
Oh merde...
Le gars
Oh ouais...
Le mec fit flasher alors son aura et c'était... Oh merde... Shasthar.
Son aura était tellement puissante qu'elle illumait la rue, mais d'une force. Si bien que d'un seul coup le Major commencait à mouiller carrément son entre-jambe.
Merde, merde, merde, merde....
Le major ferme les paupières quelques secondes et scanne les trèfonds de son âme à la recherche d'une once d'espoir. Son niveau de pouvoir était franchement en dessous de la limite à ne pas franchir. Mais l'autre taré de Héphaïstos lui avait dit: "Tu vas jouer avec des anges d'Ange mec, crame tes pp avant d'y aller"... Putain mais il avait des fois des idées tellement connes ce con...
ET PIRE QUE TOUT... Il était ridicule avec ses fringues de pute slovaque. Crever ok, mais crever dignement quoi ... merde
