09-22-2007, 11:15 PM
Ainsi vous pénétrez le territoire des ombres…
Et votre instinct ne vous trompe pas lorsqu’il vous dit « Abandonne tout espoir ».
Devant vous se dresse une large bâtisse, l’un des plus hauts immeubles de tout Immac.
Sombre et menaçante, son ombre ne vous recouvre pas. Elle vous écrase. Il y a quelque chose de malsain ici.
Quelque chose de pernicieux qui creuse petit à petit dans votre échine, les sillons de la peur.
Au dessus de votre tête se tient un large panneau sur lequel grésillent les acronymes de la société JLA.
Vous vous aventurez alors au pied de la porte, donc les vitres s’ouvrent automatiquement devant vous.
L’ambiance de la société semble plutôt orientale.
Un jardin de pierre. Un bois laqué aux couleurs chaudes, et des meubles aux formes harmonieusement géométriques.
La lumière tamisée n’est en rien agressive et tout semble contraster avec la façade.
Des gens s’affairent ici. En continue vous pouvez vous rendre compte qu’une quinzaine d’individus au moins rôdent et arpentent les couloirs. Les ascenseurs bougent en continu.
La société semble vivante, à la manière d’une ruche.
Vos pas vous guident vers l’accueil, un vaste bureau noir de forme circulaire, laqué et vernie derrière lequel se trouve une superbe secrétaire.
Une fleur qui arrive vers la trentaine, aussi sérieuse que peut l’être une femme d’affaire, elle porte ses complets assortis d’un gris sobre mais aux tailleurs fendus qui offrent des perspectives sans jamais être vulgaires.
Elle raccroche son téléphone.
Puis vous regarde, de haut en bas, avant de relever la paire de lunette qui lui descendait sur le nez.
- Bienvenue dans les bureaux de la JLA d’Immac. Vous devez avoir été convoqué par un juge.
Elle sort depuis un tiroir un tiroir, un formulaire simple et aéré.
- Notez ici votre nom ainsi que celui de votre supérieur. Et signez ici, et ici.
Elle se fend d’un sourire quand vous finissez de remplir le formulaire.
Elle vous présente un ensemble de canapés en cuir accueillants et confortables.
- J’appelle le juge en charge de votre affaire immédiatement, prenez le temps de vous détendre. Il va arriver sous peu. Un café peut être ?
Trop mécanique, trop répété…
Votre instinct le hurle toujours : « Abandonne tout espoir ».
Et votre instinct ne vous trompe pas lorsqu’il vous dit « Abandonne tout espoir ».
Devant vous se dresse une large bâtisse, l’un des plus hauts immeubles de tout Immac.
Sombre et menaçante, son ombre ne vous recouvre pas. Elle vous écrase. Il y a quelque chose de malsain ici.
Quelque chose de pernicieux qui creuse petit à petit dans votre échine, les sillons de la peur.
Au dessus de votre tête se tient un large panneau sur lequel grésillent les acronymes de la société JLA.
Vous vous aventurez alors au pied de la porte, donc les vitres s’ouvrent automatiquement devant vous.
L’ambiance de la société semble plutôt orientale.
Un jardin de pierre. Un bois laqué aux couleurs chaudes, et des meubles aux formes harmonieusement géométriques.
La lumière tamisée n’est en rien agressive et tout semble contraster avec la façade.
Des gens s’affairent ici. En continue vous pouvez vous rendre compte qu’une quinzaine d’individus au moins rôdent et arpentent les couloirs. Les ascenseurs bougent en continu.
La société semble vivante, à la manière d’une ruche.
Vos pas vous guident vers l’accueil, un vaste bureau noir de forme circulaire, laqué et vernie derrière lequel se trouve une superbe secrétaire.
Une fleur qui arrive vers la trentaine, aussi sérieuse que peut l’être une femme d’affaire, elle porte ses complets assortis d’un gris sobre mais aux tailleurs fendus qui offrent des perspectives sans jamais être vulgaires.
Elle raccroche son téléphone.
Puis vous regarde, de haut en bas, avant de relever la paire de lunette qui lui descendait sur le nez.
- Bienvenue dans les bureaux de la JLA d’Immac. Vous devez avoir été convoqué par un juge.
Elle sort depuis un tiroir un tiroir, un formulaire simple et aéré.
- Notez ici votre nom ainsi que celui de votre supérieur. Et signez ici, et ici.
Elle se fend d’un sourire quand vous finissez de remplir le formulaire.
Elle vous présente un ensemble de canapés en cuir accueillants et confortables.
- J’appelle le juge en charge de votre affaire immédiatement, prenez le temps de vous détendre. Il va arriver sous peu. Un café peut être ?
Trop mécanique, trop répété…
Votre instinct le hurle toujours : « Abandonne tout espoir ».