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Rumeurs
Il paraît que Maspa se moque beaucoup du physique des gens mais qu'il a pas de quoi faire le malin. Il paraît que je l'emmerde ,Kavryelh et Azroliak également. Si vous m'trouvez laid c'est votre problème, surtout pas le mien. Surtout quand mesdemoiselles sont pas d'cet avis 8)
Il parait que je me moque pas du physique de qui que ce soit.
Il parait juste que j'imaginais Nergal ... différement ...
Il parait que niveau moquerie t'es pas mal dans le genre non plus :lol:
Il paraît que j'ai dis à Srajitas qu'il a une tête de gland sur une tof'.
Il paraît donc que j'ai jamais dit qu'il était laid.
Il parait que ça se voit clairement quand Srajitas est penché sur le forum :roll:
Il parait qu'il est jovial en ce moment, peut-étre même un peu trop...
Il parait que GAY2, il sait pas que c'est mon cousin qui fait du stunt et pas moi
Il parait qu'il sait peut-étre même pas qui est mon cousin sur le forum Tongue
Il parait que c'est comme le petit frère, c'est pas dur, mais inutile de s'étendre sur le sujet (oops trop tard)

Wink
Il paraît que : pas mieux. :wink:
Il parait que j'emmerde equinoxe, et bien profond.
Il parait que si on peut pas joué un Rp sans s'en prendre plein la tronche.
Il parait que j'aimais bien Garvek.
il parait que j'avais mis un :wink: pourtant.
il parait que de toutes facons ce thread est totalement inutile et sans intérêt
Il paraît que je vous manquais.

Or, qu'est ce que le manque sinon cette sensation intrinsèque de désir inassouvi ? Au plus profond du dédale de nos synapses se révèle en effet, selon l'approche psycho-cognitive de Borges, le manque ou cette sensation de vide lié à une séparation, qui n'est autre qu'un désir post-œdipien ; mais si nous vivons à travers une continuelle projection dans nos désirs, nous avons néanmoins conscience de ces désirs, mais seulement dans le sens où nous sommes jetés à la poursuite de leur satisfaction. Nous sentons en nous cette traction du désir, cette inquiétude qu’il provoque ; nous vivons dans cette instabilité que le désir provoque, ballottés par nos désirs et c'est encore ce tiraillement du désir que nous trouvons dans l'agitation de nos pensées. Nous souffrons de nos frustrations et voudrions toujours être là où nos désirs seraient satisfaits, toujours mécontents de ce que le présent nous offre. Ce fractionnement de l'individu rappelle étrangement ce fractionnement de la dualité inspirant cet état d'esprit, et cet état de fait. L'atomisation de la psyché - individuelle, de groupe, voire sociale et même sociétale - serait-elle autopoïétique ? Sans aller jusque là, on peut admettre sans peine que cette atomisation rend incompréhensible les interdépendances, les faits sociaux qui sont rarement des stratégies assumées consciemment par un groupe social mais ont bien une dimension sociale et non pas individuelle. On fait porter sur les épaules de l'individu toutes les questions de son époque, tous les comportements, les désirs, les représentations détachées de leur origine sociale. Dénoncer le désir du manque à travers l'individualisme comme idéologie, c'est reconnaître l'origine sociale de la réalité, ce n'est pas vouloir renforcer la soumission de l'individu au groupe mais au contraire encourager ses interventions, lui désigner le champ de sa responsabilité. Je me contenterai de rappeler cette citation de Marx, que j'ai mis en exergue de mon livre "La structuration de la psychologie des masses et son application dans le domaine du basketball" pour illustrer ce propos :

Quote:Mais l'essence humaine n'est pas une abstraction inhérente à l'individu pris à part. Dans sa réalité, c'est l'ensemble des rapports sociaux.

Il avait raison, le gros Karl ! C'est pourquoi la totalité que vise la négation de la séparation ne peut être une fusion originaire et pleinement satisfaisante dont nous devons plutôt faire notre deuil. Ce n'est pas non plus une réalité objective vérifiable mais au contraire l'intervention de la subjectivité elle-même comme finalité, intentionnalité, totalisation historique. De même qu'il n'y a pas d'objet qui ne soit perçu sur le fond d'un espace comme champ de vision du sujet (Kant), de même il n'y a pas de phénomène qui n'apparaisse sur le fond non perçu de la totalité de l'Être (Heidegger), de même que toute interprétation d'un texte est pris dans le cercle herméneutique où les parties dépendent de la totalité qui se construit sur les parties (Gadamer), de même il n'y a pas de totalité sans sujet, ni de sujet sans totalité qui est rapport à soi, mise en cause de son propre être dans une finalité extérieure.
Je conclurai en disant que la totalité n'est (finalement) rien moins que ce qui manque au sujet et le constitue.

Il paraît que j'attend vos éventuels commentaires, même si j'ai bien peur que face à une telle démonstration il n'y ai pas grand chose à dire.
Il parait que poster à cette heure provoque des crises hallucinogènes violentes :lol:
Archiviste et Chroniqueur fou.


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