Un nouveau journal a Immac!

[Tapage]

Un peu partout en ville vient de sortir un nouveau journal,on peut le trouver dans le Métro,a la Mairie ou a quelque lieux trés fréquenté comme la discothèque

EDITO :

Cheres lectrices, chers lecteurs,


Ca y’est ! Le premier numéro de Tapage! est en distribution.
Nombreux sont ceux parmi vous qui attendaient ce moment avec impatience. Leur attente est enfin récompensée, voici Tapage!, le premier magazine a destination de la jeunesse Immacienne.

Société, amour, mode, sexualité,, sorties, sexe, tous les sujets qui vous touchent de pres seront traités dans Tapage!

Mais, l’atout principal de ce magazine que le monde nous envie, c’est surtout l’interaction avec l’équipe rédactionelle, jeune, dynamique et motivée qui m‘entoure. Vous pourrez en effet nous faire parvenir vos courriers et emails (tapage@positive-attitude.net) pour réagir sur des sujets qui vous touchent grave.

L’autre atout principal, c’est la gratuité. En effet, Tapage! ne coute rien. Nous savons bien que, a l’adolescence, c’est toujours un peu la guerre pour taper du fric a papa-maman, et qu’il est loin le temps des preservatifs a 1 franc ;-)
Pas de panique, Tapage! vous informe sans vous ruiner. Inutile de le voler donc, par contre n’hésitez pas a le distribuer autour de vous.

Le troisieme atout principal, enfin, c’est l’équipe elle-meme. Comme je le disais plus haut, elle a la fougue de la jeunesse et la motivation de ceux qui savent a quel point un emploi est dur a trouver aujourd’hui. Proche de vous, proches de vos préoccupations, mes collaboratrices et collaborateurs deviendront vite j’en suis sur vos ami(e), vos confident(e)s.


Il ne me reste plus qu’a vous souhaiter une bonne lecture !



Richard Backmal
Rédacteur en Chef

Cigarette et Légalité.

Ce n’est pas un thème ordinaire que nous allons traiter aujourd’hui et pour cause, qui que nous soyons, nous sommes tous concernés par … la cigarette !

Cela expliquerait pourquoi, le Comité Citoyen Contre la Privation des Libertés Individuelles (CCCPLI en abrégé) a lancé une vaste opération de sensibilisation à travers Immac. Son but, comme un membre de ce comité citoyen nous l’a fort bien expliqué, était simple : Sensibiliser la population mais aussi « secouer le Mammouth » pour mettre à plat la situation et aller de l’avant.

Pour cela, les membres de ce comité n’ont pas hésité à choquer par des affiches, plus que significatives.

Nous avons tout de même réussis à en photographier une :


Il faut se demander ce que fait cette affiche là alors qu’elle pourrait être interdite. La réponse n’est pas très compliquée. Le but premier est de renverser certaines rumeurs publiques et de rétablir la vérité, suite à un long travail de recherche, comme nous l’a montré le représentant du CCCPLI que nous avons rencontré. Mais si ces affiches ont été placées assez sauvagement, c’était parce que le CCCPLI devait se faire connaître pour faire passer son message et donc, aboutir à la pétition. Pour cela, il n’y a pas tellement de solutions rapides d’autant plus que le contexte n’aidait en rien une éventuelle autorisation de placarder les affiches puisque notre bien aimé maire était mort …

Quelques jours plus tard, en même temps qu’une distribution de cigarettes dans divers lieux publique comme l’hôpital, la mairie voire même l’école (pour les enseignants bien sur) comme nous pouvons l’apercevoir sur ces photographies.






[NB : vous pouvez apercevoir sur les photographies des personnes entrain de distribuer des paquets de clopes comme ceux là : ]


Pour le moment, plus 2 500 cigarettes auraient été distribuées mais, devant ce succès, les membres du CCCPLI ne compte pas en rester là et d’autres distributions sont prévues.
Mais, tout cela ne faisait qu’accompagner la pétition, disponible à la mairie, qui à pour but de demander au maire son accord pour permettre la vente libre des cigarettes à Immac sans avoir à passer par le marché noire.

Comme quoi, il faut savoir décrypter ce qui se passe autour de nous pour voir les bonnes choses qu’elles apportent.

Ian jules

La prostitution un métier d'avenir

La prostitution comme "job d'étudiant", voilà qui n'est pas banal. En attendant d'obtenir son diplôme d'infirmière spécialisée, Carole se prostitue quelques soirs par semaine. Elle assure être consciente des risques du métier et se dit prête soit à les assumer, soit à s'en défendre. Quoi qu'il en soit, pour le moment, ce qui compte, c'est les études…

Aline Ange:Carole, quel âge as-tu ?
Carole: 22 ans

AA: Depuis combien de temps travailles-tu dans la prostitution ?

C: Depuis un an et demi, plus ou moins.

AA: Quel parcours t'as menée à cette activité ?

C: J'avais déjà rencontré des filles qui travaillaient, notamment grâce à mon
école, dans le cadre de travaux pour les cours. J'avais aussi un ami qui en
connaissait. J'avais donc déjà entendu parler de tout ça, je connaissais
un petit peu... Il se fait que j'étais avec quelqu'un depuis longtemps.
Quand ça a cassé, comme ça n'allait toujours pas chez mes parents, j'ai
décidé de partir. En parlant avec l'ami qui connaissait des filles, j'ai choisi
cette voie là pour pouvoir partir de chez mes parents et continuer mes
études en même temps.

AA: Tu t'étais déjà posé des questions sur la prostitution avant de penser
à travailler pour de bon ?

C: Déjà, dans les travaux pour l'école, je faisais des interviews de filles. J'étais là avec mon gros manteau et on me demandait si je travaillais.
Chaque fois que je me promenais près d'un quartier où il y avait des
filles, on me prenait pour quelqu'un qui venait travailler. Ca fait que je me
posais des questions, mais ça passait assez vite. Mais pour ce qui est
de vraiment y réfléchir, intensément, c'est au moment où je me suis dit
que j'allais partir de chez mes parents. J'ai cogité pendant quinze
jours… et voilà.

AA: Qu'est ce qui se passe dans la tête quand on se demande " j'y vais ou j'y vais pas" ?

C: Ben déjà, l'argent, c'est la première chose. La première grosse chose
(rires). Je crois que l'argent prend le dessus et qu'on ne pense pas trop au
reste. On se demande juste si on va être capable ou pas.

AA: Capable : techniquement ou psychologiquement ?

C: On se demande si on va bien le vivre ou mal le vivre. En fait je pense qu'il faut être capable et prête. Plus tôt, j'aurais été capable techniquement, mais pas prête psychologiquement. Pas encore assez mûre pour pouvoir assumer les conséquences du travail.

AA: Comment se passe la décision d'"y aller" ?

C: J'ai dû franchir un pas. Enfin peut-être pas jusque là, mais il a fallu que je me décide. Comme j’avais un ami qui connaissait le milieu, quand j'ai
dit " oui ", il m'a mise en contact avec quelqu'un qui tenait un privé et il ne
fallait pas que je revienne en arrière.

AA: Les premières expériences, c'était comment ?
C: A la limite, c'était ce qu'il y avait de plus facile. Au tout début, je stressais.
Les conséquences arrivent par la suite… On a l'impression qu'on a
son corps qui change. Ce sont des passages où on descend un peu et
qu'il faut pouvoir assumer. Ca ne vient pas dès qu'on commence à travailler. Pour moi, c'est le début le plus facile. Parce que moi, j'y allais
de ma propre volonté.

AA: Et en dehors des questions d'argent, le fait que ton compagnon
accepte que tu aies des rapports avec d'autres hommes a une signification
particulière pour toi ?

C: On dit souvent que si un homme accepte ça, c'est qu'il n'est pas amoureux. Mais là, au contraire, je vois ça comme une preuve d'amour parce que dès le départ, il savait que je vivais avec ça. Je lui ai dit soit tu me reprends comme ça, soit tu ne me reprends pas. Et il m'a acceptée comme ça. Pour moi, c'est la preuve qu'il m'aimait toujours et qu'il m'a toujours aimée. Et puis le fait que de temps en temps, il le vit mal, ça me
fait du mal aussi mais ça me prouve aussi son amour. Donc d'un côté le
fait qu'il accepte, c'est la preuve qu'il m'aime et le fait qu'il le vit mal parfois, ça prouve qu'il n'en a pas rien à foutre.

AA: Tu accepterais qu'il fasse le même métier ?
C: Oui. S'il l'accepte pour moi, je ne peux pas le lui interdire. Et puis comme je connais un peu le milieu maintenant, j'aurais moins peur qu'il se casse avec une autre. Mais j'ignore comment je le vivrais…

AA: Il y a des choses positives que tu retires de la prostitution ?

C: Oui, plein de chose. Déjà, j'ai attrapé un autre caractère. J'étais plus naïve. Bon, c'est vrai que rien qu'avec l'âge on le devient moins. Mais avec ce que j'ai vu et vécu au travail, je le suis nettement mois. J'ai un caractère plus fort : j'arrive plus facilement à me défendre. J'ai rencontré des gens géniaux, aussi. Et j'arrive plus à trier les gens. Il y a ceux qui veulent devenir amis par intérêt et il y a les autres. J'ai peu d'amis, mais ceux que j'ai, je suis sûre que ce sont des bons. Et puis j'ai vécu quelque chose que beaucoup de gens ne vivront jamais… Ca me fera une expérience pour plus tard.

Aline Ange

Une jeunesse d'or et d'argent

Depuis quelques temps,on peut aperçevoir en ville,des gens de differentes couleurs de peau....non je ne parle pas de noir,blanc ou jaune,je parle de couleurs moins conventionnels:rouge,or ect....

Vous les avez peut-être croiser dans le métro, a la banque..qui sont-ils?

Non ce ne sont pas des monstres,ne vous inquiéter pas, ce ne sont que des jeunes qui tentent de promouvoir une nouvelle forme de peinture,sorti de leur imagination débordante :"la peinture sur corps"

La peinture sur corps?Que est ce que c'est?

C'est l'art de se recouvrir soit-même de peinture..cela peut sembler bizarre, et même dangereux et stupide mais, pas d'inquiétudes, la peinture utilisée n'est pas nocive,elle serait, selon nos sources, a base de colorants alimentaires.
Pour faire de la "peinture sur corps"il faut connaitre assez bien les differentes peintures et tout ce qui si rapporte(techniques de peinture,mélange etc...)...mais il faut aussi avoir un petit grain de folie!

Il y a toute une "palette de couleurs" différentes qui se balade en ville comme par exemple le rouge d'une certaine Mariannick Macors, ou le magnifique or d' Yvonne Overbacht(photo en fin d'article), bien sur il ne sont pas que deux,vous pouvez en croiser dans a peu prés tout les quartiers de la ville,de la Vieille Ville a la Banlieue Sud Ouest
Il semblerait que ce soit une "association" de jeunes qui essayent de promouvoir leurs idées.Pourquoi mettre association entre guillemets?car c'est plus une bande de potes qui essayent a leur maniere de se faire remarquer dans la société...

Une initiative inattendu et surprenante mais qui peut paraitre bizarre aux yeux des citoyens de notre ville,et qui pourrait être mal comprise des services de l'ordres.

D'ailleurs beaucoup de gens commencent a se poser des questions, sur l'intégrité mentale de ces jeunes...des gens qui se peignent pour faire passer leur idées, ce n'est pas banal vous en conviendrez, et beaucoup de personnes commencent a les pointer du doigt.

Il serait bon pour ces "artistes" de stopper leur "activité", avant que les gens ne se lassent définitivement de leur pitreries.

Cela est fort dommage pour eux, mais peut-être y a t-il d'autres moyens de promouvoir leur idées.Nous ne doutons pas qu'ils sauront trouver d'autres maniéres de les faire passer,et nous éspérons qu'il arriveront ainsi a démontrer leur valeur.Peut-être un jour nous entendrons parler d'eux mais pour l'instant c'est malheureusement leur "bétise" qui a était prouver.






Article:Sam Nuriz Photo:Ed Carm

Notre Maire s'en est aller..

Ce mois-ci cette rubrique est consacré a la mort du Maire...

Je sais ce que vous vous demandez:
Notre journal se veut "jeune", alors pourquoi une rubrique politique ?

Une question qui s'est posée dans le journal, la plupart d'entre nous n'allant pas voter, pensant que le systeme en place, sert a favoriser une minorité... Mais nous pensont aussi que connaitre un peu la politique de la ville vous aidera a comprendre comment celle ci
est devenu ce qu'elle est aujourd'hui.

Nous allons donc vous parler de l'ancien Maire, de ce qu'il a fait, et des decisions qu'il a prises pour notre ville. Certaines peuvent vous paraitre mauvaises et d'autres bonnes... A vous de juger.

Notre regretté Maire, Mr Hippolyte Crital a voulu faire avançer notre ville. Mais, selon beaucoup, il était plutot long à la detente et a fait beaucoup de mauvais choix.

Pour preuve: la destruction de voitures en BSO par des personnes qui semblait habiter la Vieille Ville. Il a fallu plusieurs semaines au Maire pour réagir. Ces personnes auraient aussi, apparemment, dévasté leur propre cimetière, je précise bien "apparement", car pour le cimetière cela n'a pas était prouvé.

Je ne parlerais même pas de l'explosion de la station d'épuration, acte commis par un plaisantin, selon certains... En tout cas nous pouvons remercier ce "plaisantin" d'avoir fait exploser sa bombe dans la station plutot que dans un lieu public trés fréquenté... Il voulait peut-être faire passer un message sur l'insalubrité de notre ville ?

Tous les responsables de ces actes, n'ont pas encore était punis ! Car les policiers de notre bonne ville ne semblent rien faire pour attraper les coupables !

D'ailleurs, ce sont les services publics qui sont inexistant... pas d'Anpe, pas d'Assedic, pas de Poste, pas de Déchetterie...

Je ne parlerais même pas du chomage et de problémes de logement... les deux parmis les taux les plus élevés en France......

Mais Mr Crittal a aussi essayé d'aider cette ville : par exemple en ouvrant un dojo dans les Bas-Fonds, initiative qui a permit a beaucoup de jeunes d'avoir une activité... A défaut de travail.

Par contre, beaucoup de gens n'ont pas compris pourquoi il avait autorisé la pose d'une banderole en Bas-fond pendant noel... alors que pendant ce temps du coté de la Vieille Ville, on distribuait des cadeaux, on installait un sapin...
Qui plus est cette banderole a été installée sur le X-filles., batiment qui va, a l'encontre des principes de la communauté chrétienne d'Immac ! Enfin je suis sur que le propriétaire de cette "établissement", a su apprécier l'attention de notre communauté de croyants, aprés tout la banderole attirait l'oeil sur son "entreprises". Il les a peut-être remercier a sa maniére qui sait ?

Autre sujet épineux... l'ouverture du centre commercial... le Maire semble avoir une fois de plus avoir fait un choix étrange, critiquer par nombre de personnes...

Car une guerre semble exister entre les gens de Vieille Ville et ceux des Bas Fonds... et pour beaucoup des gens des Bas-Fonds l'ouverture du centre commercial a cet emplacement de la ville, a été la goutte qui fait déborder le vase. Je ne peux que soutenir ceux des Bas-Fonds malheureusement..

Car tout semble avantager les gens de la Vieille Ville : l'école y est, ainsi que l'église, le commisariat, sans compter la Gare trés proche, et maintenant le Centre commercial aussi..

Alors que les pauvres gens qui "vivent" dans les Bas-Fond n'ont que les docks, l'un des quartier les plus sale de la ville, et la Banlieue sud, qui est presque vide, du fait du manque de services de proximité.

Les Docks, mais il y a la Mairie vous me direz... Oui c'est vrai mais il faut faire tout le tour et passer par le Centre Ville pour y aller...

Pour conclure, je dirais qu'Hippolyte Crittal était un bon Maire., mais qui a juste fait les mauvais choix. Nous lui pardonnons toute ses fautes car il le faisait, bien sur, dans l'unique but d'aider notre ville.

Toute la rédaction adresse ses sinceres condoléances a la famille de Mr.Crittal, qu'il repose en paix.

Quand a nos lecteurs j'éspère qu'il comprendront mieux la ville ou ils vivent.

Sam nuriz

Résumé de la fête de la Saint Valentin a la Mairie

Une grande fête, comme on en voit rarement a Immac sur sable, a été organisée pour fêter la Saint Valentin, et s'est déroulé dans le parc Nord de la Mairie. Son but me direz-vous : Permettre a tous les célibataires de la ville, de se rencontrer, de discuter tranquillement autour d'un verre, et aussi pour certain de rentrer chez eux accompagnés.

Les réjouissances ont été annoncées, par une campagne de publicité sans précèdent. Une affiche a été posé sur le panneau d'affichage de la mairie, et des tracts dont tout le monde se souvient, sont encore dispersés, de part et d'autres, de notre chère métropole. Une banderole a même été installé, sur le pont du parc de la mairie.



Les festivités ont durés tard dans la nuit, (ou plutôt tard le matin), et le vent frais de ce mois de février, n'y aura rien changé. Une distribution gratuite, a été minutieusement effectué, durant toute la durée de la manifestation, et tous les participants, se sont vu recevoir de la bière, des shoters, des cigarettes, et bien sur les traditionnels chocolats.
Bien sur, pour "pimenter" la soirée, il a aussi été distribué des magazines XXX, des photos de Clara Morgane nue,et une attention bien louable, (au mépris des discours du Pape a ce sujet), des préservatifs en grosse quantité.





Les nombreuses personnes interrogés sur place, a l'ouverture de la fête, nous ont déclarés, que l'accueil, était des plus chaleureux, et qu'ils étaient venus pour la plupart, dans la perspective de rencontrer l'ame-soeur, avec une ambiance vraiment conviviale.
De nombreux couples se sont formés au cours de la soirée, et le but recherché par les organisateurs, a été plus que largement atteint.


Fait notable, la recrudescence de couples homosexuels, et leur volonté de ne pas se cacher !





Certains n'ont meme pas attendu de rentrer chez eux, pour faire leurs "affaires"

Au final, et a la grande approbetions des participants, la fete aura été une reussite. Les organisateurs, nous ont confiés "qu'ils ne s'attendaient pas a un tel succés, mais que l'engouement du public avait été révélateur, et qu'ils continueraient dans cette voie".

Alors chers lecteurs, lectrices, preparez-vous dès maintenant a une prochaine fete !

Je laisserai le mot de fin a l'un de ces organisateurs, qui desirait enoncer un remerciement :

- "Un grand merci a PSI, qui nous a fourni les moyens financiers d'organiser ce divertissement, et un grand merci a la ville d'Immac et a l'adjoint au Maire pour le pret du parc de la Mairie"


Manon Lefrit

Que est ce qu'un lépreux dans une piscine?

Pour ceux qui ne connaissent pas la réponse, je vous donne rendez vous à la fin de l'article, et on ne saute pas les paragraphes, non mais !

Parce que cette histoire n'est pas très drôle et même pas drôle du tout !
Des lépreux hantent nos rues. Entre l'odeur et l'aspect, on se demande vraiment comment on peut être aussi répugnants ! Parce que les skins graisseux et dégoutants de la vieille, c'était déjà très limite au niveau look, mais les lépreux c'est bien pire... Et je ne parle pas non plus de ceux qui se promène avec des pustules dégoulinantes de pus sur le visage !

Beurk !

Nous autres habitants d'Immac, nous avons le taux d'obésité le plus grand en France et on ne peut pas dire que la class soient très répandue : la cape et le heaume c'était pratique au moyen age, mais de nos jours ça ne sert qu'a montrer le niveau d'arriération mentale de certains de nos concitoyens ! Alors quoi il faut se résigner à voir pulluler ces horreurs ambulantes ?

Revenons donc à nos lépreux, vous savez comment dit-on bonjour à un lépreux ?

Tu lui sers la main après tu lui rends..

Hum... enfin si vous avez le courage de lui serrer la main et la délicatesse de ne pas en faire du hachis Parmentier !

On en ris mais je vous jure que ce n'est pas drôle du tout d'habiter à coté de ce genre d'horreurs ! Quand on sait que cette saloperie est contagieuse et que personne ne fait rien, est ce qu'il nous faut désinfecter les escaliers et le palier avant de pouvoir sortir de chez soi !

Je profite de la journée nationale de la lèpre pour soulever ce problème de salubrité publique et vous signaler à nos élus qu'il est de leur devoir de vous débarrasser de ce fléau, mais ... comme d'habitude nous ne devons compter que sur nous même pour régler vraiment ce genre de problèmes.

Certains proposent de les bruler, mais nous ne vous inciterons pas a ce genre d'extrémités, proposez leur plutôt d'aller faire un tour à la piscine !

Alima.

Prévention Santé Immac que est ce que c'est?


La directrice de PSI est une jeune femme de 30 ans, très dynamique et motivée, elle arbore un visage amical, et un sourire qui ne disparaît, pour ainsi dire, jamais.

Journaliste ML : - Bonjour

Directrice de PSI : - Bonjour

ML : - Avant tout, je tient a vous remercier de nous recevoir, j'imagine que vous devez être très occupée.

D : - Je suis plutôt débordée même, (rires), mais c'est un plaisir de vous recevoir !

ML : - Très bien, alors tout d'abord, par qui et pourquoi PSI a était créé ?

D : - PSI est avant tout le résultat d'une association entre plusieurs concitoyens d'Immac responsables.
Le but premier de PSI, était a l'origine d'accompagner les adolescents, pendant cette période de leur vie, qui peut être "difficile", et surtout de répondre a leurs questions concernant la santé et la sexualité. Mais très rapidement, notre cercle d'activité s'est étoffé, en grande partie grâce a l'aide de nombreux et courageux bénévoles, et maintenant nous sommes a l'écoute de tout citoyen d'Immac, sans fourchette d'age définie, ayant des interrogations, ou étant simplement a la recherche d'un peu de soutien.

ML : - Toujours concernant la santé et la sexualité je suppose !

D : - Tout a fait ! Nous permettons aussi, depuis peu, aux personnes traversant des moments difficiles, de rencontrer d'anciens correspondants de PSI, qui ont vécu des histoires similaires, et qui on réussis a s'en sortir

ML : - Vous devez recevoir beaucoup de courrier ?

D : - Oui, énormément ! Cela explique nos recherches permanentes de bénévoles !

ML : - Il existe une autre association comme la votre à Immac pourquoi ne pas vous associer ?

D : - Effectivement, nous ne sommes pas les seuls à soutenir les habitants de cette ville, mais a la différence de SOS Immac, les créateurs de l'association PSI sont des psychologues, des médecins, et des assistantes sociales et peuvent donc a ce titre, fournir des explications plus détaillées et plus professionnelles dans les cas les plus graves.

ML : - Comment "recrutez" vous vos bénévoles ? Faut il être qualifié ?

D : - Nous accordons des entretiens, sur simple demande par courrier. Aucune qualification particulière n'est requérie, nous demandons simplement a nos bénévoles de s'investir et d'être motivés !
Les bénévoles s'occupent, en grande partie de la logistique. Les réponses aux courriers, et aux appels téléphoniques, sont intégralement gérées par les professionnels.

ML : - Vos bénévoles sont ils toujours motivé même après plusieurs mois ?

D : - Pour la plupart, oui. La principale ambition de ceux que l'on sélectionne, et d'accomplir un acte civique, et d'aider ceux qui en ont besoin, ce qui fait qu'ils sont responsabilisés, et qu'ils ont conscience, que le travail qu'ils effectuent ici est primordial.

ML : - Les personnes qui vous appellent sont-ils "satisfait" ?

D : - Nous avons récemment lancé un sondage, et nous sommes fiers d'annoncer que 99.7% des personnes interrogées, se déclarent ravi de l'efficacité de l'action de PSI en ville, et 98,3% des gens ayant écrit a PSI ont déclarés être satisfait des réponses que nous leur avons apporté.

ML : - Quel est l'histoire la plus horrible que vous ayez entendue ?

D : - Je suis désolé, mais la confidentialité et l'anonymat, que nous réservons a nos correspondants, m'oblige a ne pas répondre a cette question. Je dirais "joker" (rires)

ML : - Vous penser que PSI va durer ?

D : - Au vu de la conjoncture actuelle, et des conditions de vie des habitants d'Immac, il est fortement probable que nous continuions nos activités, cette association va perdurer.

ML : - Merci de nous avoir reçu Madame, et de m'avoir accordé un peu de temps pour cet interview.

D : - Mais ce n'est rien !

ML : - Je vous souhaite une bonne continuation, pour la suite de ce louable projet qu'est PSI !

D : - Merci beaucoup. Bonne continuation a vous aussi.


Mindy Lafrie

A plus tard

Voila c'est la derniere page de notre journal,j'éspère que vous avez prit autant de plaisir a le lire que nous en avons prit a l'écrire.

Nous ne pouvons ou promettre une date fixe car les personnes qui ont contribué a la parution de ce journal sont tous au chomage et ils ecrivent bénévolement.

Vous comprendrez donc qu'il recherche un emploi stable.Nous ésperons tout de même que ce journal soit mensuel.

Voila,nous vous remercions de nous avoir lu,au moment ou j'écris c'est ligne,certains des articles du 2eme numéro sont presque terminé.

Richard Backmal, rédacteur en chef.

[Tapage]

Plusieurs tas de journaux sont eparpillés au quatre coins de la ville. Mairie, métro, discothéque, tous les lieux frequentés ont leur pile de journaux en libre service, avec un panneau-carton annonçant. "Tapage, sous son nouveau format d'impression, servez-vous."

Le journal Tapage sous son nouveau format.