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J'aime courrir et pas que les filles
#31
Il faut croire que même le smeilleur font des fautes, la preuve, Amadeus von Schweinkopf en a fait, mais il n'y a pas que lui, car moi aussi j'en ai fait . Lol
Bon, je vais essayer de recommencer à zéro et en faire le moin possible.
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#32
Quote:[...] ce que déclare le Sieur Malback (dont je salue au passage les talents de rimailleur et d'humoriste, ainsi que - comment l'oublier - ceux de son compère Srajitas, à qui il donne souvent la réplique. Chapeau bas, Messieurs !)

Ca c'est la classe : réussir à impressionner un emmerdeur de premier plan 8)
Je vous retourne le compliment, Ô érudit.
Amadeus fait peut être des fautes (qu'on lui pardonne bien volontiers, le stress, tout ça) mais il a au moins le mérite de ne pas utiliser lol, kikoo, ^^, mdr, xptdr et consorts...
Parce que CA c'est über-gavant.

(sinon, moi en termes de torture apache, je suis plutôt adepte du mec attaché torse nu en plein soleil, à qui on a coupé les paupières.
"Au bout d'une heure, t'es aveugle. Au bout de 2h t'es cuit, au bout de 3h tu es fou, au bout de 4h tu es mort"
Blueberry, La mine de l'allemand perdu)
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#33
Quote:mon récent essai sur les "Théorèmes de formalité pour les algebroïdes de Lie et quantification des r-matrices dynamiques"

Cher von Schtroumpheinkopf,

ta goujaterie n'a d'égale que ton immodestie. Le précieux manuscrit auquel tu fais allusion a été écrit de ma main, comme tu le sais sans doute. Inutile donc de prétendre (une fois de plus) en être l'auteur. Tel Leibniz plagiant Newton et son invention du calcul infinitésimal tu t'attribues aujourd'hui des travaux auxquels tu n'entends rien.

Tu es un drôle de personnage Schtroumpheinkopf : un curieux mélange d'intelligence et ... de bétise. L'aile haute dans le vent, l'aile basse sous le vortex. Décrochée. Le piège tourne en tangage, en roulis et en lacets : on appelle ça une vrille.

Et tu sais, Schtroumpheinkopf, si tu ne ramènes pas l'appareil aux petits angles de vol, si tu ne mets pas le manche à tableau en bottant en sens inverse, aucune chance de t'en tirer : la vrille se terminera au sol.

Mais bon sang : qui a eu l'idée de te laisser partir tout seul?
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#34
Mes chers Philosophes,

devant une telle recrudescence du verbe et de l'expression franche, dont la complexité parfois déroutante de vos phantasmagoriques expressions n'a d'égal que votre égo culminant au sommet du mont K2 - mont qui fut un temps plus haut que l'Everest et qui lui ravit encore régulièrement le titre au gré des caprices des plaques continentales, je ne peux que m'interroger sur la conclusion de telles joutes.

Certes, nous avons tous fort plaisir à compulser vos oeuvres, nous gousser devant vos fébriles émanations cérébrales dont l'expression sur un support numérique n'a que de peu de reflet face à la volonté de cri désespéré dont vous faites preuves en vous défoulant ici.

Mais à présent, mes frères écrivains, alors que j'ai trouvé un avatar jubilatoire et que demain s'avère une journée fort rude pour certains d'entre nous, que le CPE est presque mort car il y a encore le chat du voisin qui l'a déterré et montré à la matronne, occasionnant quelques cris et coups de balais dont les souris et les rats font les frais, que Einstein est mort depuis belle lurette déja, que Foxy est blasé face aux blagues léguminales totalement absente d'imaginations au vu de ses multiples répétitions - paix à son âme d'humoriste mort né - et que la fin de ce post approche à grand pas, le spectre de Wanadaube planant sur un éventuel crash du forum, je me demande de quelle manière je vais bien pouvoir le conclure.

Peut être en vous souhaitant une bonne nuit et bon courage à ceux qui subissent des épreuves - quelque soit leur nature...
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#35
(note : AvS possède Immunité aux discours d'Equinoxe à +3)



Décidément, la sécurité des asiles d'aliénés n'est plus ce qu'elle était.

De deux choses l'une, soit tu t'es échappé, auquel cas le Monde court de nouveau au devant d'une avalanche de théories plus ineptes les unes que les autres, une réaction de catastrophes en chaîne à faire pâlir un théoricien du chaos comme Norbert Wiener (je signale aux spectateurs présents, et que la curiosité pousserait à vouloir venir observer de près la moustache ridicule de notre ami Frédéric de la Noix, que ce dernier est entre autres l'inventeur du four à glaçons, de la machine à cintrer les bananes et de la bombe atomique*), soit ils t'ont relâché, et dans ce cas on surestime de beaucoup le syndrome sécuritaire qui secoue le pays

Si ma question n'est pas indiscrète, et si tant est que tes synapses brûlées par les alcools bavarois et de trop longues expositions aux rayons gamma l'acheminent sans entrave jusqu'à ton cortex cérébro-spinal, puis-je te demander ce que tu fabriques ici ?
Tu déranges honteusement ces braves gens, qui malgré leur inculture crasse ont eu le mérite d'émouvoir un esprit tel que le mien, au moins assez pour qu'il daigne bercer de sa sapience leur espoir d'avoir un jour grâce à l'instruction une vie meilleure.


* rappel : Hiroshima : 250 000 morts, Nagasaki : 150 000 morts
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#36
Tu es toujours le même ! Ta culture insondable n'a laissé aucune place à la plus petite étincelle de lucidité dans la faible masse spongieuse qui constitue le réceptacle physiologique de ton entendement. Tant de choses dans si peu d'espace c'est déjà un exploit ... qui explique bien des choses mon vieil ami. Et le poids des ans n'a pas arrangé ton affaire : je constate qu'à tes défauts habituels se sont ajoutés les ravages classiques d'un age avancé (les observateurs avisés auront remarqué que l'apparence d'une relative jeunesse chez ce brave Amadeus n'est que le reflet des multiples opérations de chirurgie esthétique qu'il a fait subir à son visage ... déjà à l'université il souffrait d'avoir moins de succès que moi avec les femmes*) : tel Papon à sa sortie de prison tu te persuades que c'est le monde qui t'en veut et que tu ne fais que ton travail !

Je vais répondre à ta question dans un instant mais avant laisse moi réfuter tes allégations concernant ma supposée propension à la boisson. Tu connais parfaitement mon excellent essais intitulé Le nihilisme de la toxicomanie à la lumière de Nietzsche (pour avoir gentillement accepté à l'époque d'en corriger les erreurs d'impression) où je développais l’hypothèse que la toxicomanie est un lieu privilégié de nihilisme, autrement dit un espace configuré par la crise de l’idée même d’un vouloir (j'ai ainsi modestement révolutionné l'approche des conditions de possibilité des différents vouloirs politiques face à la toxicomanie). Imaginer une quelconque addiction chez moi c'est faire bien peu de cas, tout à la fois de notre ancienne amitié et (c'est le plus important) de mes profondes et géniales reflexions sur le sujet.

Bref, que fais-je ici ? Je veille sur toi tout simplement, honorant ainsi une promesse faite à ton pauvre père il y a quelques années (c'est heureux à ce titre qu'il n'ait pas assisté à ta dernière crise, lors de la remise de son prix Abel à titre posthume, où tu t'étais écrié "Nobel au vieux con, Parkinson"** méprisant ainsi avec un cynisme insupportable son attitude admirable face à la maladie qui a fini par l'emporter).

J'ajoute deux choses à propos des dernières ondes de compression qui ont passé le seuil de l'extrémité supérieure de ton tractus digestif.
Tout d'abord je tiens à te signaler que je n'éprouve nulle envie de connaitre le détail de ton dernier repas, en conséquence de quoi tu peux t'abstenir d'accompagner tes émissions vocales des quelques projections liquides et nauséabondes destinées à nous renseigner sur ce point.
Ensuite concernant ces gens dont tu parles, tu penses pouvoir "bercer de [ta] sapience leur espoir d'avoir un jour grâce à l'instruction une vie meilleure" ? Je reconnais bien là l'idéal humaniste classique et malheureusement très ethnocentrique qui t'a toujours animé. Tel Jules Ferry affirmant que les races supérieures "ont un devoir de civiliser les races inférieures" (Discours en faveur de l'expansion coloniale, devant la chambre des députés, le 28 juillet 1885), tu imagines que ton savoir partiel, tes valeurs particulières, ton expérience étriquée et ta culture d'érudition vont aider ses pauvres sauvages !!! Arrogance suprême doublée d'une ignorance confortable ... si tu avais lu mon excellent essais sur Les savoir non savants dans le champs socio-historique et leurs incidences existentielles, peut-être te serais-tu tu.

J'aurais plaisir à te lire, mon vieil ami, pour peu que tu fasses l'effort de rappeler à ta mémoire les exigences élémentaires de rigueur requises par une conversation entre amis de la sagesse et des savoirs.


*ce pauvre garçon a passé sa vie à vouloir "faire mieux" que les autres ... trait de caractère d'autant plus pathogène (psychologiquement) qu'il n'a aucun talent particulier si ce n'est pour la prestidigitation.

**notre fin connaisseur de la science mathématique confond allègrement Abel et Nobel ...
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#37
C'est un Gag? [Image: mf_popeanim.gif] [Image: depressed.gif]
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#38
Comme dirait Frédéric...

"Amen... le pinard."
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#39
Quote:Tel Leibniz plagiant Newton et son invention du calcul infinitésimal

Ce point me choque. Newton est considéré comme l’un des fondateurs du calcul infinitésimal, c'est un fait. Il s'est inspiré de Descartes et Wallis dont il avait lu les écrits.
Mais ne développant pas une véritable algébre, il écrit peu sur le sujet. En fait de découverte mathématique, il a surtout tenter de créer un outil qui lui était indispensable pour décrire les relations entre position, vitesse et accélération.
Leibniz ne s'est pas inspiré de Newton puisque son approche sur ce probleme est completement différente. Le mot "plagié" n'a donc aucun sens. Et c'est bel et bien Leibniz qui créa une véritable algèbre du calcul infinitésimal.

En bref, il est évident que les deux hommes ont eu deux approches différentes sur le probleme, Newton plus orienté sur le sens physique de ce calcul et son apport pour des lois physiques et Leibniz une approche plus rigoureuse et plus mathématique en somme.
Il est donc incohérent de parler de "plagia". Et s'il fallait trancher entre les deux pour savoir qui en est l'auteur final, il parait évident que c'est bien Leibniz qui en est l'auteur avec le formalisme que l'on connait aujourd'hui à notre bonne vieille dérivée. :wink:
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#40
Vous conviendrez cher Monsieur que la paternité d'une découverte n'a que peu de choses à voir avec l'adoption d'un quelconque système de notation (qui trouve sa raison d'être avant tout dans la montée en puissance de l'école mathématique allemande qui adopta tout naturellement les conventions d'écriture d'un compatriote).

Je vous rejoinds sur l'absence de systématisation chez Sir Newton, mais la paternité du concept lui reviend sans le moindre doute ; il me semblait que la Royal Society, dont les deux éminents savants étaient membres, avait déjà tranché la question.

Quoi qu'il en soit, j'ai fait la démonstration incontestable* du bien fondé de l'accusation de plagia dans ma très pédagogique monographie (Paul et Mic, aux Editions de Pise) sur les querelles scientifiques en occident.


*Démonstration très élégante que je ne reproduirai pas ici, le bas de cette
page étant trop étroit. Malheureusement, mon livre est épuisé depuis la chute de la maison d'édition.
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