02-20-2006, 12:58 PM
Orgueil
C’est contre moi que son corps de liane s’enroule en frémissant,
C’est sous mes doigts qu’il tremble en gémissant,
C’est brutalement qu’il se cambre, rugissant,
Les regards l’effleurent, la parcourent
Dans cette tenue que JE lui ai choisi pour attiser le désir d’autrui
Qui dévoile son corps, qui révèle MA marque
Cédant à ma seule volonté.
Elle m’appartient, elle est à MOI.
Je l’ai prise sous ma coupe, elle ploie sous mon joug
Et nul n’y excelle autant que moi.
Je peux la laisser marcher devant moi
Attirer les regards, réveiller les fantasmes
Je peux la laisser aller vers d’autres que moi
Eprouver les caresses, faire croître le désir
Il me suffit d’un signe infime, un simple regard, un battement de cœur,
Pour qu’elle revienne en rampant, quémandant ma main qui la flatte
Il me suffit d’un simple sourire
Et la voilà qui se place à mes pieds
Car elle ne saurait être comblée sans mon talent,
Elle ne saurait vivre sans ma présence,
Personne ne saurait en faire autant
Personne.
C’est contre moi que son corps de liane s’enroule en frémissant,
C’est sous mes doigts qu’il tremble en gémissant,
C’est brutalement qu’il se cambre, rugissant,
Les regards l’effleurent, la parcourent
Dans cette tenue que JE lui ai choisi pour attiser le désir d’autrui
Qui dévoile son corps, qui révèle MA marque
Cédant à ma seule volonté.
Elle m’appartient, elle est à MOI.
Je l’ai prise sous ma coupe, elle ploie sous mon joug
Et nul n’y excelle autant que moi.
Je peux la laisser marcher devant moi
Attirer les regards, réveiller les fantasmes
Je peux la laisser aller vers d’autres que moi
Eprouver les caresses, faire croître le désir
Il me suffit d’un signe infime, un simple regard, un battement de cœur,
Pour qu’elle revienne en rampant, quémandant ma main qui la flatte
Il me suffit d’un simple sourire
Et la voilà qui se place à mes pieds
Car elle ne saurait être comblée sans mon talent,
Elle ne saurait vivre sans ma présence,
Personne ne saurait en faire autant
Personne.