11-06-2005, 05:08 PM
Et quelque proposition faite, sans qu'il y est un oui ou un non...
Quote:C'est un petit texte d'introduction pour Malthus, Prince-demon de la maladie.
Quote:Karine,
Ma toute belle, mon aimé,
La muse qui ma inspiré
Ma maitresse, ma feline.
Sent, sur ta peau
Toute offerte a mes mains,
Qui glissent dans ton dos
lentement vers ton bassin.
Moi je la sens tantot
Ferme, tantot molle,
Tandis que part petit saut
A mon massage qui te cajole,
Tu reagies avec douceur
Ou peu etre est-ce le manque de force
Est-ce d'etre aussi tendu, feroce
Qui te sape ton ardeur?
Sur ta chair en parresse
Granuleuse parfois
Ou rebondie comme tes fesses
Que je parcoure de mes doits,
Lentement je libere
Tes mucles figés
De tendus, ils preferent
Etre mou, liquefier.
Dans ton dos, lentement,
Une a une elle craque,
Cedant sous mes attaques
Tes vertebres, c'est si charmant.
Et tes nerfs, toujours exiter,
De leurs tentions, maladivement
Enfin se dilovent lentement,
Sous mon fameux doiter
J'embrasse tes cheveux
Respire l'odeur de ta nuque
Avec ce nouveau parfum si soyeux
qui me rappelle le musc,
Enfin ton corp abandonne
Toutes ses resistances
Et se livre en pitence
A mon oeuvre, sans vergogne.
Finallement je marque
De mes doits sur ton corps,
Au prix de delicieux efforts
Le merveilleux issus de moi.
Je te laisse là, nue,
Respirante, alletante,
La concience flottante,
La pensée perdu.
Karine,
Ma toute belle, ma muse, mon aimé,
Une perfection, image de la beauté a jamais égaré,
Tu as toute ta vie pour en souffrir, coquine!
Karine... La lèpre te vas si bien...
Quote:(Petit texte, sur le thème d'Andrealphus. Pas vraiment un exemple, mais si vous trouvez qu'il convient, n'hésitez pas. C'est davantage un essai de style.)
Elle le sentait derrière son dos. Sa présence s'était faite plus tangible alors que la musique s'écoulait autour d'elle. Doucement, lentement, elle avait apâté la proie, elle l'avait vue, depuis son entrée dans la discothèque, suivre la longue spirale parfaitement rôdée qui le menerait à elle. Ses cheveux blonds, ses yeux verts et ce sourrire de séducteur... La meilleure bête du troupeau, un étalon à dompter. Cette nuit. C'était pour cette nuit.
Il était entré il y a deux heures déja, altier dans ses largesses...
Des pièces jaunes, de billets verts et des cartes bleues...
Le videur soudoyé, il avait payé une tournée, et offert à large pourboire à la serveuse, affichant ce sourrire suffisant. Il était beau dans son masque, dans son mensonge et son orgueueil, comme un empereur fièrement drapé dans sa toge, au milieu d'une ville en flammes, ignorant que le feu le consumme déja. Il commençait le ballet des couleurs qui le mènerait jusqu'à elle.
Quelques minutes plus tard, il était sombre comme un poète pris de folie...
Des cocktails rouges, des alchools bleus, des liqueurs jaunes...
Décoiffé, riant comme un dément sans but ni raison, il vidait les verres comme pour combler le trou de sa personnalité vacante. Sa réserve s'amenuisait, tout comme ses résistances. Le fruit mûrissait doucement, baignant dans l'alchool, confit de décadence. Son rire raisonnant, comme l'écho de sa pudeur, hurlant au bord du gouffre où il la précipitait. Soudain, il se leva et se dirigea vers les toilettes...
C'est dans l'obscurité, dans le secret, que le ballet se poursuivait...
Comprimés roses, pillules bleues et herbe verte...
Dans l'ignorance et dans l'oubli, il troquait son restant de dignité contre les paradis artificiels, il s'attachait lui-même au chevalet de son bourreau. Le voila qui sortait, détruit et pourtant débordant d'énergie. Frankeinstein de l'humble, on lui volait sa vie pour lui faire cadeau d'une autre, plus belle, plus folle, mais aussi tellement courte... Il était vaincu, cet étalon, et il cavalait vers la boucherie comme si il ne devait plus jamais courrir. Il l'avait rejointe sur la piste de dance...
Se déhanchant follement sur la musique, il mettait ses dernières forces dans son chant du cygne...
Projecteurs jaunes, lumières rouges, et dalles bleues...
Il dansait pour elle, il l'apporchait, elle pouvait le sentir. Elle attendait impatiement le contact. Elle savait qu'il viendrait... Là, maintenant. Son bassin frottait sa minijupe tandis que son corps à elle se déhanchait sur la musique. Elle sourrit pour elle-même. Le poisson était ferré. Elle se pencha un peu en avant pour appuyer sa croupe sur le bassin de sa proie. Oui, il la voulait... Frottes toi, comme ça... Bien... Tu es à moi.
Des bras l'entourrèrent et elle s'y lova, bougeant sensuellement son corps contre celui de cette proie qui se croyait chasseur.
Et au milieu des lumières, ses mains se la découvrirent...
Peau rose, dentelle blanche et lèvres rouges...
Tout se jouerait au premier regard, il serait sien à jamais.
... Et des yeux noirs, si noirs...
Dans lesquels il plongea sans hésiter.
L'Enfer est une spirale, se perdant dans un regard
Tel un message à l'entrée: "Abandonnes tout espoir..."
Quote:Je me suis souvent posé la question de savoir ce que je ressentirai lors de ma première incarnation et j'avoue que si je n'avais pas été aussi vieux j'aurais fait comme tous ceux que je connais, je ne me serai souvenu de rien ou de si peu.
Je me présente , je suis Amithec Ther Lamiel , et ici bas on me nomme Amithec chevalier des larcins, capitaine des brigands et baron du crime parfait grade 3 de Valefor mon maitre.
Sur terre, je ne suis que Damien Bonabau, un pauvre humain d'une trentaine d'années au ventre bien enrobée et dont les tempes commencent a être grisonnantes.
J'ai passé toute ma carrière a protéger les allées et venues de mon maître, avant d'être a son service , je n'étais que son familier alors qu'il était encore un démon de chez Morax, mais la roue tourne et quand nous fumes tous deux dans ce grand bureau blanc appartenant a celui qui sait tout, nous ne pumes nous empêcher d'avoir de gros frissons dans le dos.... comment mon maître pu passer sans encombres les services de sécurité angélique, je me suis souvent posé la question mais c'est mon maître c'est le meilleur!!!
Je me suis souvent posé la question de savoir ce que je ressentirai lors de ma première incarnation et j'avoue que si je n'avais pas été aussi vieux j'aurais fait comme tous ceux que je connais, je ne me serai souvenu de rien ou de si peu.
Je me présente , je suis Cariel Michael et ici haut on me nomme Cariel serviteur des délatteurs, ami des traîtres et maitre des agents doubles.... grade 3 de mon maitre , le seul et l'unique Emmanuel.
Mon mître a enfin daigné faire appel a moi, sa cellule endormie depuis l'an 1900 quand Valefor est entré chez Yves pour lui dérober les précieuses divagations de Nostradamus. J'y étais , certes j'avais déjà été intégré puisque ce fameux familier areignée qui accompagnait le démon Valefor c'était moi!!!
Mais même maintenant je suis resté le même espion au service de deux maîtres, tant et si bien qu'il m'arrive de ne plus savoir qui je sert! On nous avait prévenu, faites attention , votre rôle vous emmenera dans les méandres de votre esprit toutes sortes de contradiction, et votre psychée arrivera a se perdre dans ses méandres.... hé bien cher ami, c'est ce qui se passe.
Je concois que pour un mortel, celà puisse être difficile a avaler mais je ne suis plusmâitre de rien.... j'aurais tant voulu pouvoir être utile a mon maître....
Docteur vous allez bien? demandais en me reveillant assis sur un sofa tout en vrai cuir, et assis sur un bon gros fauteil du même cuir, un homme que je reconnais comme étant mon psychologue.... où suis je ? Ah oui ca y est je me souviens, je suis a l'internat psychiatrique de Saint Valentin!!!!! pourquoi moi un ange, non un démon de chez ...... ABALAM mon glorieux et complètement déjanté maître.....
Bon mon petit docteur on va travailler ensemble sur ta psychée..... Hi hi hi hi hi!!!! j'adore leur faire ca!
Et ouais malgrès tout ce qu'ont beau dire chacunes de mes personnalités je suis Malkavian grade 2 de chez Abalam ..........AGAGAGAGAGAGAGAGAGAGah!!! et un ours en peluche de la cour napoléonienne......
Inclinez vous devant votre empereur Nopoléon Bonaparte , prince de Galles!!!!!!!!!!!