02-14-2006, 08:44 PM
J'ai vu qu'on parlait de Pratchett en première page, Pratchett c'est bon, mangez-en !! En particulier les bouquins avec le Guet d'Ankh-Morpok, ou avec la Mort et sa petite-fille... c'est... tordant !! Et en VO c'est mieux parce qu'en VF c'est certes bien traduit, mais le traducteur a mis beaucoup d'humour "français" dedans donc c'est différent.
Sinon, ZE cycle de ma vie, qui a même dépassé Tolkien, c'est le cylce de La tour sombre (S. King). Je n'ai aimé aucun de ses bouquins de terreur, par contre ses bouquins de fantastique (ça, et les Talismans des Territoires) sont très très bons. Et la Tour Sombre c'est hénaurme ^_^
La phrase d'ouverture, je sais pas pourquoi, mais elle m'a frappée et je l'ai retenue : "L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le pistolero le poursuivait" ("The man in black flew across the desert, and the gunslinger followed", mais j'ai lu les 4 premiers tomes en français). Peut-être parce que l'homme en noir, je l'avais rencontré pour la première fois dans le Fléau, en la personne de Randall Flagg, et que je me suis dit "Naaaaaaan, pas possible, il a pas fait voyager son méchant d'un bouquin à l'autre !" (en fait, ce même méchant revient aussi dans Les yeux du dragon, donc force m'a été d'admettre que si en fait). Bref, cette phrase m'a fait complètement accrocher.
L'histoire est méchamment compliquée, pour faire un résumé monstrueux, Roland Deschain of Gilead that was est un pistolero, un genre de paladin, mais dans le genre loyal bon on a fait mieux. C'est un homme obsédé par sa quête, celle de la Tour Sombre. Il va récupérer 3 compagnons pour l'aider dans cette tache. Trois compagnons qui viennent de 3 époques de New York différentes : Detta-Odetta-Susannah, une femme Noire des années 50, schizophrène, John "Jake" Chambers, un gamin de 9 ans du New York de 1977 (je crois), Eddie Dean, un junkie du New York de 198? (me rappelle pas l'année), et c'est cette clique à première vue peu fringante de pistoleros qui va aider Roland dans sa quête. Un animal qui parle, Oy (Ote dans la VF) va se joindre rapidement à eux, à leur Ka-Tet.
Si je commence à en dire plus je vais y passer cette journée et cette nuit, donc j'arrête.
Non seulement l'histoire est accrocheuse, mais en plus l'auteur bouscule un peu les conventions : si on lit le synopsis du tome 7 on découvre que l'auteur se fait intervnir lui-même en tant que personnage actif ; on comprend pourquoi Flagg a pu se balader d'un livre à l'autre ; ceux qui ont lu "Salem's Lot" auront aussi peut-être une grosse surprise en lisant le tome 5 de ce cycle.
Bref, trop bien
Sinon, ZE cycle de ma vie, qui a même dépassé Tolkien, c'est le cylce de La tour sombre (S. King). Je n'ai aimé aucun de ses bouquins de terreur, par contre ses bouquins de fantastique (ça, et les Talismans des Territoires) sont très très bons. Et la Tour Sombre c'est hénaurme ^_^
La phrase d'ouverture, je sais pas pourquoi, mais elle m'a frappée et je l'ai retenue : "L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le pistolero le poursuivait" ("The man in black flew across the desert, and the gunslinger followed", mais j'ai lu les 4 premiers tomes en français). Peut-être parce que l'homme en noir, je l'avais rencontré pour la première fois dans le Fléau, en la personne de Randall Flagg, et que je me suis dit "Naaaaaaan, pas possible, il a pas fait voyager son méchant d'un bouquin à l'autre !" (en fait, ce même méchant revient aussi dans Les yeux du dragon, donc force m'a été d'admettre que si en fait). Bref, cette phrase m'a fait complètement accrocher.
L'histoire est méchamment compliquée, pour faire un résumé monstrueux, Roland Deschain of Gilead that was est un pistolero, un genre de paladin, mais dans le genre loyal bon on a fait mieux. C'est un homme obsédé par sa quête, celle de la Tour Sombre. Il va récupérer 3 compagnons pour l'aider dans cette tache. Trois compagnons qui viennent de 3 époques de New York différentes : Detta-Odetta-Susannah, une femme Noire des années 50, schizophrène, John "Jake" Chambers, un gamin de 9 ans du New York de 1977 (je crois), Eddie Dean, un junkie du New York de 198? (me rappelle pas l'année), et c'est cette clique à première vue peu fringante de pistoleros qui va aider Roland dans sa quête. Un animal qui parle, Oy (Ote dans la VF) va se joindre rapidement à eux, à leur Ka-Tet.
Si je commence à en dire plus je vais y passer cette journée et cette nuit, donc j'arrête.
Non seulement l'histoire est accrocheuse, mais en plus l'auteur bouscule un peu les conventions : si on lit le synopsis du tome 7 on découvre que l'auteur se fait intervnir lui-même en tant que personnage actif ; on comprend pourquoi Flagg a pu se balader d'un livre à l'autre ; ceux qui ont lu "Salem's Lot" auront aussi peut-être une grosse surprise en lisant le tome 5 de ce cycle.
Bref, trop bien
