11-11-2005, 07:30 PM
Il est dix-sept heures lorsque l'ascensseur s'ouvre au trentième étage de la tour que les habitants de la ville ont l'habitude d'appeler "le crayon". Mylène Myhacrilic, ange de grade 3 au service de Dominique, grande et belle femme d'age mûr, laisse se refermer la porte sa chambre de l'hôtel Radisson aprés avoir glissé un billet de cinq euro dans les mains du groom. Elle prend le temps de détacher sa longue chevelure blanche presque transparente qu'elle laisse tomber sur son regard noir. Elle sort en suite de son sac un boitier doré et scisellé qu'elle pose face à un des mur de sa chambre, elle enfile un gant semblant en velour vert et une image se forme sur la peinture blanche.
C'est, tout d'abord, une tasse de thé s'approchant de l'écran que Mylène, maintenant lassivement étendue en travers de son lit, regarde. Puis la camera relève le chanps et elle distingue un homme chauve à la barbe noir, imposant sans être obèse et aux bras énormes croisés sur son veston de cuir noir, se tenant au milieu d'une salle à la décoration trés rouge. Une voix hors de vue dit, la rage semblant contenue:
- Capitaine, vos suposition ne m'intésse pas ! Ce katana vous devez le retrouvez ... je suis clair ?
Le capitaine ne réponds pas et prend le temps d'attraper la fine tasse de thé fumant qu'il a posé sur un guéridon en bois, trés belle pièce, et contemple deux secondes la jolie marque ronde qu'il viens de laisser.
- Oui ... j'ai compris baron. répond il crânement.
Un bruit de siège se fait entendre et Amédée Codpiéocut apparait, s'approchant l'air méchant, sa tignasse rousse au vent. Il semble vouloir répondre quand il tourne la tête vers la caméra ayant pour effet de la faire reculer et de monter à Mylène une porte qui se ferme. L'écran montrant en suite une bouche d'infirmière de goulag s'approchant l'air goulue, elle posa le gant et l'image s'éteignit.
Aprés un instant à réflechir, étendue, lovée dans son élégante robe foureau, elle decroche son mobile. Aprés quelques brèves sonneries :
- Allo ... Maitre Poste ? ... ou en êtes vous ?
Une description détaillée de la situation semble lui être faites et cela semble l'ennuyer. Elle se lève donc et se dirige vers la porte-fenêtre donnant sur la ville: la presqu'ile et ces deux collines, l'une fourmillante de toits rouges, l'autre verte et surplombant la cité : son lieu de travail cette semaine.
- Oui ... ha ... la situation reste bloquée donc ... conclut elle.
Elle reste un moment pensive et dit d'un ton sec:
- Maître ... cela n'est pas l'arme en elle même qui m'interesse : c'est qu'elle ne tombe pas aux mains des rouges ou ... d'en avoir une équivalente ... suis-je bien clair ?!
Ecoutant à peine la réponse de l'ange au bout du fil elle dit :
- Je vous recontacterai ... et elle raccroche.
C'est, tout d'abord, une tasse de thé s'approchant de l'écran que Mylène, maintenant lassivement étendue en travers de son lit, regarde. Puis la camera relève le chanps et elle distingue un homme chauve à la barbe noir, imposant sans être obèse et aux bras énormes croisés sur son veston de cuir noir, se tenant au milieu d'une salle à la décoration trés rouge. Une voix hors de vue dit, la rage semblant contenue:
- Capitaine, vos suposition ne m'intésse pas ! Ce katana vous devez le retrouvez ... je suis clair ?
Le capitaine ne réponds pas et prend le temps d'attraper la fine tasse de thé fumant qu'il a posé sur un guéridon en bois, trés belle pièce, et contemple deux secondes la jolie marque ronde qu'il viens de laisser.
- Oui ... j'ai compris baron. répond il crânement.
Un bruit de siège se fait entendre et Amédée Codpiéocut apparait, s'approchant l'air méchant, sa tignasse rousse au vent. Il semble vouloir répondre quand il tourne la tête vers la caméra ayant pour effet de la faire reculer et de monter à Mylène une porte qui se ferme. L'écran montrant en suite une bouche d'infirmière de goulag s'approchant l'air goulue, elle posa le gant et l'image s'éteignit.
Aprés un instant à réflechir, étendue, lovée dans son élégante robe foureau, elle decroche son mobile. Aprés quelques brèves sonneries :
- Allo ... Maitre Poste ? ... ou en êtes vous ?
Une description détaillée de la situation semble lui être faites et cela semble l'ennuyer. Elle se lève donc et se dirige vers la porte-fenêtre donnant sur la ville: la presqu'ile et ces deux collines, l'une fourmillante de toits rouges, l'autre verte et surplombant la cité : son lieu de travail cette semaine.
- Oui ... ha ... la situation reste bloquée donc ... conclut elle.
Elle reste un moment pensive et dit d'un ton sec:
- Maître ... cela n'est pas l'arme en elle même qui m'interesse : c'est qu'elle ne tombe pas aux mains des rouges ou ... d'en avoir une équivalente ... suis-je bien clair ?!
Ecoutant à peine la réponse de l'ange au bout du fil elle dit :
- Je vous recontacterai ... et elle raccroche.