11-05-2005, 06:24 PM
Quesque vous pensez de ce petit texte pour expliquer le pourquoi du Katana :?:.
Quote:Seul dans le grand bureau aux drapés rouges et au mobilier de bois sombre écarlate, Amédée Codpiéocut lisait le rapport administratif en provenance d'Immac Sur Sable. La grosse horloge, posée en face de lui, égrainait le précieux temps, d'un mouvement régulier alors que le Baron d'Andromalius ne pouvait que constater l'incompétance de ses subrdonnés.
Un bruit lui parvint de la piece à côté. Sans doute Sylvia Krushalokfinelkass, sa fidèle secrétaîre devait elle ramasser quelque chose sous son bureau. Immaginant l'imposant arrière train de celle-ci en train de heurter le bureau ou la machine à café, le Baron soupira. Il s'allongat dans son fauteuil d'un geste long et à l'avance calculée comme il le faisait souvent. L'angle de vision différent dut à sa position avachie lui fit appercevoir une note, posée au fond du casier sous le marbre du bureau. Chiffonée, elle l'intriguat. Au moment où il tend la main pour s'en emparer, les souvenirs lui reviennent: s'était justement à propos de la démone Moriarty.
Un jour où, parcourant le résultat des forces entrant sous sa juridiction il etait particulierement mécontant, les rapports en provenance d'Immac se trouvait être au dessus du lot et Moriarty cité en example par un administrateur zélé. Le Baron Amédée est trés pragmatique et il considère la gouvernance sur le terrain comme allant de soit. Il se dit donc qu'une visite surprise à son meilleur élément de la semaine serait certainement source d'information intéressantes. Pour intéressant ... cela le fut.
Dans son grand fauteuil, toujours avachi, Amédée levat les yeux vers le plafond: grande vitre sans teint sous la cellule où il gardait enfermmé ses pires ennemis. Il se rappelat son arrivée à Immac, une nuit, aux côté de Moriarty, invisible et non-détection activée. Elle etait tapie, non loin de la route, il la voyait de dos, dans l'herbe. Amédée nota le Katana qu'elle portait en bandouliere:
- Son arme n'est pas maudite !. ... laissa t il échapper dans le vent qui mordait le visage ce soir là.
Le faible son qu'il avait provoqué fit se retourner la démone, son visage fin, blanc comme le givre. Son regard ... son regard qui scrutait dans sa direction ... telement plein d'une indifférence triste qu'Amédée, pendant un instant; il l'aurait pas toléré plus, sentit son coeur palpiter. Moriarty changeat tout a coup de poste d'observation, en quelques bonds elle eut disparu. Amédée aurait dut renter aprés ce furtif coup d'oeuil mais ce sentiment curieux le fit chercher la démone dans le grand pré d'herbes folles. Il cherchat pendant une bonne partie de la nuit et ce n'est que lorsque les premiers oiseaux commencèrent a chanter qu'il la vit, adossée à une grosse pierre.
Il s'était approché d'elle, silencieux comme une ombre. Il ne voyait pas grand chose d'elle, emitouflée dans la grande cape noire qui ne la quittait que rarement. Elle tenait le Katana entre ces jambes la poignée tournée vers Ammédée. D'une main qui ne tremblait pas malgrés le froid mordant de cette petite heure, il posa trois doigts et le pouce sur le manche. Avec sa main gauche à orée du foureau pour éviter le tintement carractéristique d'une lame si dure, il la sorti. Il fit quelque mouvement et l'a trouva légère. Rergardant la démone assoupie, il passa son index le long de la lame, laissant son esprit s'emplire de la scène lugubre des brumes matinales.
La porte du bureau souvrit brusquement et Sylvia, les lèvres rouges d'une sur-consomation de rouge à lèvre, lui demande semblant toute exitée:
- Maître ! cela vous ferait il plaisir une tasse de Thé !?
Elle semble accompagnée de quelqu'un qui se tient dans l'embrasure de la porte et qu'Amédée ne peut pas voir.