12-17-2009, 08:48 PM
Quote:Andréalphus frappe à Paris le 12 décembre. Espérons qu'il n'y aura pas de mission oppo sur cette opé :[/quote]
[quote author="20 minutes"]C'est bientôt Noël: sex-toys gratuits dans la rue
Coquin, le Père Noël. Le 12 décembre prochain, le site www.sexyprive.com, basé à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), prévoit de distribuer dans les rues de Paris six mille bonnets de Père Noël contenant chacun un string, un préservatif et... un sex-toy. Une opération que le site avait déjà organisée pour la Saint-Valentin 2009. «Ça s'était très bien passé, nous en avions écoulé six mille en quatre heures», témoigne Vincent Lequeux, directeur général de l'entreprise.
Ben raté
Quote:Samedi 12 décembre, 6.000 sextoys auraient dû être distribués gratuitement à Paris. Un évènement annulé par la Préfecture de Police de Paris, qui a invoqué des "raisons d’ordre public" comme explication à sa décision. Vendredi, l’organisateur de l’évènement, le site Sexyprive.com, va distribuer 1.000 de ces objets coquins "aux 577 députés, 345 sénateurs, et à la Préfecture de Police de Paris", comme annoncé dans un communiqué de presse.
Parlant d'un "clin d'oeil" destiné à "faire part d'un mécontentement", le site demande à ce que l'amalgame ne soit pas fait entre son opération marketing et "la tentative de distribution d'argent totalement irresponsable du 14 novembre dernier". Une distribution gratuite de billets, organisée par le site Mailorama.fr, avait alors tourné au fait divers. Déçus par l’annulation à la dernière minute de l’évènement, qui avait rassemblé une foule de 7.000 personnes dans le 7e arrondissement de Paris, des casseurs avaient dégradé du mobilier urbain et des véhicules. Une dizaine d’interpellations avaient été enregistrées.
Le site de vente en ligne d’objets coquins, qui comptait bien écouler ses 6.000 "bonnets de Noël sexy", avait demandé l’autorisation d’organiser cette distribution avant les troubles du 14 novembre. L’autorisation de la Préfecture de Police de Paris avait été donnée par téléphone le 23 novembre dernier, suite à une demande datant du 12 novembre.
Le responsable du site Sexyprive.com, au micro de Pierrick Fay, s'était dit déçu de la décision d'interdiction de la Préfecture de Police de Paris :