08-16-2005, 05:36 PM
Droit de réponse à la lettre ouverte de Bridget Nojes
Monsieur le maire, Capitaine Roumert, Madame Nojes,
Suites aux accusations portées à mon compte ainsi que sur certains de mes collègues, ainsi qu'en tant que Directrice de la S.A. "La clinique Des Sapins" je me permet d'exercer mon droit de réponse au journal Immac-Hebdo.
Je ne m'attarderai pas sur le tissu d'inèpties qui habille l'article de Laure Laventura ni sur tout autres contenu de tracts apériodiques et diffamatoires distribués dans les bas-fonds mais je voudrais éclaircir les évènements qui entourent la disparition de Marius Lafa.
Cet émigré asiatique aux immences yeux bleus ouverts sur la vie trépidante d'Immac a eut une conduite exemplaire et à fait preuve d'un sens aïgus du devoir jusqu'a son dernier souffle. C'est en effet en ma présence et présence de Jenny Stas Gauthy (une collègue médecin), de Vincent Lenoir et Bernard Meulard (tous deux gendarmes à Immac) que Marius Lafa est mort. La cause de cette mort est bien futile en regard à la grandeur de l'individu : une flaque d'huile sur la route qui au carrefour de la Banlieu Sud fit faire un tonneau à notre véhicule ainsi qu'a un autre peu après.
Ma collègue Jenny et moi-même avons tenté de soigner tous les bléssés au mieux de nos possibilités mais Marius à succombé. De l'avis de Jenny, alors en train de bander la blessure au torax et à l'abdomène à eu un geste d'une précision insuffisante et n'a pas put sauver notre gendarme. Croyez moi, elle le regrètte tous les jours depuis. Cependant, la situation à l'heure de l'accident était des plus chaotique car des bléssés étaient, gémissant, aux allentours et notre devoir de medecin et de gendarme nous obligait à agir. Le temps que la situation redevienne normale, nous découvrimes que le corps de Marius avait disparu !! Son uniforme à été retrouvé, il y a peu, à une station de Metro !
Voila donc la vérité sur la mort de Marius Lafa ; par respect pour sa mémoire, je ne laisserai personne essayer de la détourner. Je suis déjà à la disposition de la justice qui saura éclaicir la situation.
Aleyde Marnette
Monsieur le maire, Capitaine Roumert, Madame Nojes,
Suites aux accusations portées à mon compte ainsi que sur certains de mes collègues, ainsi qu'en tant que Directrice de la S.A. "La clinique Des Sapins" je me permet d'exercer mon droit de réponse au journal Immac-Hebdo.
Je ne m'attarderai pas sur le tissu d'inèpties qui habille l'article de Laure Laventura ni sur tout autres contenu de tracts apériodiques et diffamatoires distribués dans les bas-fonds mais je voudrais éclaircir les évènements qui entourent la disparition de Marius Lafa.
Cet émigré asiatique aux immences yeux bleus ouverts sur la vie trépidante d'Immac a eut une conduite exemplaire et à fait preuve d'un sens aïgus du devoir jusqu'a son dernier souffle. C'est en effet en ma présence et présence de Jenny Stas Gauthy (une collègue médecin), de Vincent Lenoir et Bernard Meulard (tous deux gendarmes à Immac) que Marius Lafa est mort. La cause de cette mort est bien futile en regard à la grandeur de l'individu : une flaque d'huile sur la route qui au carrefour de la Banlieu Sud fit faire un tonneau à notre véhicule ainsi qu'a un autre peu après.
Ma collègue Jenny et moi-même avons tenté de soigner tous les bléssés au mieux de nos possibilités mais Marius à succombé. De l'avis de Jenny, alors en train de bander la blessure au torax et à l'abdomène à eu un geste d'une précision insuffisante et n'a pas put sauver notre gendarme. Croyez moi, elle le regrètte tous les jours depuis. Cependant, la situation à l'heure de l'accident était des plus chaotique car des bléssés étaient, gémissant, aux allentours et notre devoir de medecin et de gendarme nous obligait à agir. Le temps que la situation redevienne normale, nous découvrimes que le corps de Marius avait disparu !! Son uniforme à été retrouvé, il y a peu, à une station de Metro !
Voila donc la vérité sur la mort de Marius Lafa ; par respect pour sa mémoire, je ne laisserai personne essayer de la détourner. Je suis déjà à la disposition de la justice qui saura éclaicir la situation.
Aleyde Marnette