03-18-2006, 09:37 PM
à l'attention de M. Bifrons,
Cher Prince des Morts,
Veuillez avoir l'extrême obligeance de bien vouloir transmettre cette missive à l'ignoble raclure de bidet qui se fait connaître sous le sobriquet ridicule de Srajitas. Vous devriez le trouver prêt des réserves d'alcool.
avec l'assurance de mes respectueuses salutations,
Malback
Srajitas...
Même mort, tu continue à gerber ta méchanceté sur le pauvre monde. Tel un abcès purulent sur une peau mal entretenue, tu laisse suinter tes humeurs fétides et nauséabondes, espérant contaminer de ta gangrène verbale ceux qui auraient le malheur de t'écouter.
Contrairement à toi, je ne m'abaisserai pas à critiquer ta famille ; Dieu sait à quel point ta pauvre mère a souffert lorsqu'elle a posé les yeux pour la première fois sur la loque baveuse qu'elle avait enfanté. La pauvre, elle a tout tenté pour fuir cette atroce réalité. Cela explique sans doute sa dépendance au crack.
Ce qui est certain, c'est que jamais ton père ne serait devenu fou au point de descendre en pleine rue avec un fusil de chasse, et de commencer à tirer sur la foule, tuant 12 personnes et en blessant grièvement une vingtaine, dont des enfants en bas âge, s'il n'avait cru voir en tenant dans ses bras cette petite boule de chair rose l'œuvre du Malin.
Non, je laisse ta famille en dehors de tout cela.
Le fait est cependant que je m'attend dorénavant au pire, maintenant que tu es mort, et que la putréfaction de tes chairs égalera bientôt celle de tes idées. J'ose espérer qu'en dépit de tes nombreux défauts, tu auras au moins le bon goût de ne pas revenir hanter le monde des vivants de ton inutile présence.
Cher Prince des Morts,
Veuillez avoir l'extrême obligeance de bien vouloir transmettre cette missive à l'ignoble raclure de bidet qui se fait connaître sous le sobriquet ridicule de Srajitas. Vous devriez le trouver prêt des réserves d'alcool.
avec l'assurance de mes respectueuses salutations,
Malback
Srajitas...
Même mort, tu continue à gerber ta méchanceté sur le pauvre monde. Tel un abcès purulent sur une peau mal entretenue, tu laisse suinter tes humeurs fétides et nauséabondes, espérant contaminer de ta gangrène verbale ceux qui auraient le malheur de t'écouter.
Contrairement à toi, je ne m'abaisserai pas à critiquer ta famille ; Dieu sait à quel point ta pauvre mère a souffert lorsqu'elle a posé les yeux pour la première fois sur la loque baveuse qu'elle avait enfanté. La pauvre, elle a tout tenté pour fuir cette atroce réalité. Cela explique sans doute sa dépendance au crack.
Ce qui est certain, c'est que jamais ton père ne serait devenu fou au point de descendre en pleine rue avec un fusil de chasse, et de commencer à tirer sur la foule, tuant 12 personnes et en blessant grièvement une vingtaine, dont des enfants en bas âge, s'il n'avait cru voir en tenant dans ses bras cette petite boule de chair rose l'œuvre du Malin.
Non, je laisse ta famille en dehors de tout cela.
Le fait est cependant que je m'attend dorénavant au pire, maintenant que tu es mort, et que la putréfaction de tes chairs égalera bientôt celle de tes idées. J'ose espérer qu'en dépit de tes nombreux défauts, tu auras au moins le bon goût de ne pas revenir hanter le monde des vivants de ton inutile présence.