Apparter: Discution sur MARC

[Neko7]

Je cree un topic, car on encombre un peu trop l'autre...

Alors pour commencer, mon texte:

$ MARC, Archange des échanges $

Dans « vocabulaire » tu as Voca et Bulaire !
- Ouais… Et alors ?
- Ben, si t’inverse les deux, ça veut plus rien dire du tous !

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Sonia suçait la verge avec énergie, ce qui devenait douloureux pour sa gorge: ce salaud de producteur bandait comme un cerf et n’était pas loin d’être aussi bien monté. Tous en caressant les testicules de la main gauche, elle accélérait le rythme de sa bouche avalant ce sexe tendu tout en repensant à ce qui l’avait mené là.

Elle avait toujours détesté d’où elle venait : des banlieues minables, des mecs encore plus méprisable et dont les seules ambitions était de toucher un salaire de misère pendant six mois pour se mettre au chômage en perdant leur temps entre les pétards et les bedos.
Très vite elle avait compris qu’elle pourrait obtenir ben plus en baiseant qu’en bossant, il suffisait de voir les profs bander en classe en matant ses décolletés ouverts. Elle avait sut utiliser ses atouts pour ne rien avoir à faire, mais ça restait du minable. Elle, elle voulait l’élite, la gloire, côtoyer les Stars et le grand monde. Elle était certaine de mettre ce producteur de cinéma dans sa poche, ce qui ferait d’elle la prochaine vedette.

Elle avait commencé à douté en arrivant dans la salle d’attente : une 15ene de filles, toutes bien foutu attendait là. Bien sur, elle faisait partit des plus belles, mais elle avait bien compris que la concurrence serait rude. Sans hésitation elle envoya paître le secrétaire qui lui laissait entendre qu’il pourrait lui trouver des seconds rôles contre quelques faveurs, et les évènements lui donnèrent raison : Quand le directeur vint choisir les candidates potentielles, seules 6 furent invités a entrer dans l’autre salle d’attente, et elle en faisait partie. Le directeur invita alors la première candidate dans son bureau, et les bruits qu’ils firent ensuite ne laissa aucun doute sur la méthode de sélection de cet homme. Les 5 autres étaient déjà passer. Elle ne se souciait que peu des 3 premières, mais les deux dernières, une superbe blonde et une rousse pulpeuse, étaient des obstacles qu’elle devait écarter de sa route pour le succès.

A cheval sur le pénis de l’homme qui était assis dans son canapé, elle savait qu’elle devait lui en mettre plein la vue. Se relevant pour se libérer de son sexe, elle lui lécha nez, descendit son ventre en le caressant de sa langue, qu’elle utilisa ensuite sur le membre raidi. Se relevant un peu, elle fit couler un peu de bave sur le gland, le rependant sur l’ensemble de l’organe avec la main pour le lubrifier. Puis, accroupie sur le directeur tout en lui offrant son dos, elle guida l’objet vers son postérieur pour qu’il s’y enfonce avec force…


Tout en fumant son gros havane l’air satisfait Gerard Guilout, producteur de cinéma, se saisit d’une liasse de feuille poser sur son bureau, tandis que la jeune femme finissait d’éponger, avec la bouche, le sperme qui couvrait encore son sexe.
« Voilà pour toi, ma jolie. Tu n’as qu’à signer ici, et cette après-midi, c’est ton entrer parmi les Elus de ce monde. Tu vas quitter le monde que tu connais pour découvrir le paradis au milieu de gens d’élites. Et tu vas voir, tu en seras tellement changer que ton corps deviendra bien meilleur que ce qu’il est maintenant, je t’en fais la promesse…
- Attention, je ne suis pas une idiote, je sais bien qu’il n’y à rien comme ça qui soit gratuit, alors elle est où l’arnaque ?
- Ah ! Ah ! Tu sais que je t’aime bien toi ? » Lui dit t’il en l’asseyant sur son genou.
La cerclant dans ces bras, il commence alors à glisser sa main sur la toison pubienne, pour masser le clitoris de la belle, tous en caressant les lèvres du sexe encore trempé avec deux doits.
« En effet, il y a une condition. Tu vois, tu as un bijou avec ce corps… Non, non, ne dit rien, je te le dis comme je le pense, je suis très sincère ! Moi aussi j’ai des gens au-dessus de moi, et tout en haut, il y a le chef absolus. Il est très intéresser par les gens comme toi, et la seule chose que tu devras faire c’est lui offrir ce bijou, et qu’une seule fois ! Mais si, qu’une seule fois, c’est même marquer dans ton contrat.
Alors tu le signes ? Tu verras, tu monteras aux plus hautes sphères grâce à moi, je t’en donne ma parole, tu veras : c’est divin ! C’est fais ? Bien ! Tien prend cette carte avec le mot : Tu te rends a cette endroit a 15h précise, tu as bien compris ?
- Mais ? C’est l’église de la vieille-ville, ça ?
- Oui, oui, c’est bien l’église. On va y tourner une nouvelle série télé, et tu feras partie de des acteurs principaux, ça te va ? Bien ! Alors soit-y bien et présente cette carte au prêtre, il est au courant, il te dira ou aller te préparer pour ton rôle.


Fermant la porte du bureau, Sonia sentait que le destin était en marche. Elle venait de signer son premier contrat avec la télé, et bientôt tout le monde n’adorerait qu’elle !
En sortant, elle passa devant le bureau du secrétaire qui profitait des massages buccaux d’une des recaler en quêtes de gloire de seconde zone. Elle pouffa de rire de cette petitesse d’ambition et partie d’un pas décidé vers les grands du monde.


Gerard Guilout écrasait son cigare dans le cendrier quand son secrétaire entra.
« Patron ? » Farfouilla-t-il maladroitement. « J’ai les contrats pour 4 autres des demoiselles de ce matin… »
La gêne du jeune homme débutant fit sourire le directeur… Ah ! Ces jeunes…
« Bien, met le avec les autres, et passe-moi l’administration.
- Oui, tous de suite patron ! »

« Allô? Oui, c’est Itellénel. J’ai les contrats de neuf nouvelle volontaire pour laisser leur corps au notre contre leur place au paradis. Oui, oui, elles viennent à l’église vers 15h. Vous serez près ? Parfais ! Au fait, si vous pouviez m’envoyer le formulaire pour demander le passage au grade 1 d’un des nouveaux ? Oui, pour celui que vous m’avez envoyé. Il se démerde bien et est efficace, alors on va le récompenser comme il le mérite. »

Puis, raccrochant son téléphone, il s’approche de la baies vitré du bureau en murmurant pour lui-même.
« A là, là… Marc, mon cher maître à pensé… Merci d’être ce que tu es... Car il n’y a pas à dire: j’adore mon boulot!... »

Voila...

On peu aimer ou detester.
Etre daccord ou s'offusquer...
Mais je m'en fous, c'est de l'INS/MV, quoi qu'on en dise.