01-19-2007, 01:49 AM
Caramaël entre dans le bar, l'air sombre. Il se dirige vers le comptoir.
S'adressant à Jésus :
Salut. Je vais prendre... euh...
Caramaël fronce les sourcils, réfléchissant à sa commande.
Bah, vu mon humeur, une Hercule Stout me semble convenir.
S'adossant au comptoir, tourné vers l'assemblée (notemment vers les démons présents).
Bravo.
Non mais, sérieusement, bravo. Joli coup, vraiment. Super mature comme attitude, sérieux.
On se retrouve avec un super-chieur qui vire limite berserk et emmerde tout le monde...
Au point qu'un cessez-le-feu tactique et informel se forme brièvement entre anges et démons.
Caramaël boit une gorgée de sa bière.
Enfin, c'est l'impression que j'avais eue. Si je n'avais pas eu cette impression, je ne me serais pas abstenu d'achever ce démon qui était, à mes pieds, dans le coma à la mairie, alors que j'ai eu au moins trois occasions de le finir, hein. Je me suis sans doute fait des illusions, j'ai sans doute été TROP CON, en me disant que là, concrètement, il y avait un problème plus capital, et qu'il serait mesquin de frapper celui qui se retrouvait à terre, victime de son courage ou de son inconscience.
Caramaël boit une rasade de sa stout belge.
J'ai eu naïvement cette impression... Nan mais merde, quoi ! Vous nous reprochez des actions qui découlaient pour l'essentiel d'oppositions tactiques nettes, d'objectifs clairement contraires. L'affaire du bouclier, en particulier. N'essayez pas de me faire croire que vous ne savez pas de quoi il est question, s'il vous plait.
Cela ne justifie pas que vous preniez le refus d'une alliance pour une déclaration de guerre totale. Que, alors que nous agissions tous, fut-ce circonstanciellement et avec méfiance, dans le même sens, vous vous sentiez obligé de nous poignarder dans le dos avant même que la menace soit écartée !
Caramaël finit par se retourner vers le comptoir.
Désolé, Jésus, je sais que ce n'est pas le lieu pour ça, mais il fallait que ça sorte.
Caramaël va s'asseoir dans un coin, l'expression fermée et amère, pour siroter le reste de sa bière.
S'adressant à Jésus :
Salut. Je vais prendre... euh...
Caramaël fronce les sourcils, réfléchissant à sa commande.
Bah, vu mon humeur, une Hercule Stout me semble convenir.
S'adossant au comptoir, tourné vers l'assemblée (notemment vers les démons présents).
Bravo.
Non mais, sérieusement, bravo. Joli coup, vraiment. Super mature comme attitude, sérieux.
On se retrouve avec un super-chieur qui vire limite berserk et emmerde tout le monde...
Au point qu'un cessez-le-feu tactique et informel se forme brièvement entre anges et démons.
Caramaël boit une gorgée de sa bière.
Enfin, c'est l'impression que j'avais eue. Si je n'avais pas eu cette impression, je ne me serais pas abstenu d'achever ce démon qui était, à mes pieds, dans le coma à la mairie, alors que j'ai eu au moins trois occasions de le finir, hein. Je me suis sans doute fait des illusions, j'ai sans doute été TROP CON, en me disant que là, concrètement, il y avait un problème plus capital, et qu'il serait mesquin de frapper celui qui se retrouvait à terre, victime de son courage ou de son inconscience.
Caramaël boit une rasade de sa stout belge.
J'ai eu naïvement cette impression... Nan mais merde, quoi ! Vous nous reprochez des actions qui découlaient pour l'essentiel d'oppositions tactiques nettes, d'objectifs clairement contraires. L'affaire du bouclier, en particulier. N'essayez pas de me faire croire que vous ne savez pas de quoi il est question, s'il vous plait.
Cela ne justifie pas que vous preniez le refus d'une alliance pour une déclaration de guerre totale. Que, alors que nous agissions tous, fut-ce circonstanciellement et avec méfiance, dans le même sens, vous vous sentiez obligé de nous poignarder dans le dos avant même que la menace soit écartée !
Caramaël finit par se retourner vers le comptoir.
Désolé, Jésus, je sais que ce n'est pas le lieu pour ça, mais il fallait que ça sorte.
Caramaël va s'asseoir dans un coin, l'expression fermée et amère, pour siroter le reste de sa bière.