11-13-2013, 04:14 PM
Ouais, si vous me permettez une réflexions, on a eut chauds aux fesses sans le réaliser si j'ai bien compris.
Parce que l'argument de beaucoup chez les anges c'était "mais un train pourrais lui rouler dessus, il s'en rendrais même pas compte. Tu fait suer Alyssia". Hors je voyais gros comme une maison le PLOP qui surgit de nul part, surtout que tous les démons lui tapaient dessus avec allégresse, et que, pour certains anges, je me suis demandé s'ils n'allaient pas s'y mettre.
J'ai vraiment culpabilisé de l'avoir réveillé devant la gendarmerie, mais a postériori c'était la bonne décision... Il était peut être immortel à cette époque, mais les anges étaient quand même trop confiant, et le sont resté après le rituel.
Sinon, c'est l'heure du Ouin Ouin d'Alyssia !
Pour les critiques en V2, tacher de les rendre plus raisonnable. Je sait bien que Dieu et Satan interviennent, mais n'oubliez pas que sur table ces critiques sont toujours personnalisés, ce qui n'est pas le cas en jeu.
Les trucs qui me soulent c'est médecine et survie.
Médecine :
-Echec critique... Mort.... (franchement !)
-Echec normal... Rien ne se passe. (Vous réalisez le gouffre entre l'échec normal et le critique ?)
-Réussite normal... 1 PDV
-Réussit critique... (tout est guérit. Rien à redire.)
Survie est encore plus fumée
-Echec critique... Coma si tu es valide, mort si tu es dans le coma.
-Echec normal... Rien ne se passe.
-Réussit normal... le temps de guérison est accéléré (Vous vous rendez compte de l'échec critique ? Tu as 4 PdV, tu sombre dans le coma, alors que si tout c'était bien passé, t'aurais juste moins de convalescence.)
-Réussite critique... Guérison normal (c'est du grand n'importe quoi ! 1 PdV est bien suffisant pour montrer l'intervention de Dieu!)
J'ai rien à dire sur les échecs/réussite critiques en combat/esquive, c'est normal de risquer sa vie dans une action qui est de base dangereuse. Mais crever pour un jet de médecine à 3 PV, j'ai l'impression qu'un MJ lourdingue me balance un gros LOL bien foireux, en se gaussant grassement alors que ca n'a aucun rapport avec l'action.
Parce que l'argument de beaucoup chez les anges c'était "mais un train pourrais lui rouler dessus, il s'en rendrais même pas compte. Tu fait suer Alyssia". Hors je voyais gros comme une maison le PLOP qui surgit de nul part, surtout que tous les démons lui tapaient dessus avec allégresse, et que, pour certains anges, je me suis demandé s'ils n'allaient pas s'y mettre.
J'ai vraiment culpabilisé de l'avoir réveillé devant la gendarmerie, mais a postériori c'était la bonne décision... Il était peut être immortel à cette époque, mais les anges étaient quand même trop confiant, et le sont resté après le rituel.
Sinon, c'est l'heure du Ouin Ouin d'Alyssia !
Pour les critiques en V2, tacher de les rendre plus raisonnable. Je sait bien que Dieu et Satan interviennent, mais n'oubliez pas que sur table ces critiques sont toujours personnalisés, ce qui n'est pas le cas en jeu.
Les trucs qui me soulent c'est médecine et survie.
Médecine :
-Echec critique... Mort.... (franchement !)
-Echec normal... Rien ne se passe. (Vous réalisez le gouffre entre l'échec normal et le critique ?)
-Réussite normal... 1 PDV
-Réussit critique... (tout est guérit. Rien à redire.)
Survie est encore plus fumée
-Echec critique... Coma si tu es valide, mort si tu es dans le coma.
-Echec normal... Rien ne se passe.
-Réussit normal... le temps de guérison est accéléré (Vous vous rendez compte de l'échec critique ? Tu as 4 PdV, tu sombre dans le coma, alors que si tout c'était bien passé, t'aurais juste moins de convalescence.)
-Réussite critique... Guérison normal (c'est du grand n'importe quoi ! 1 PdV est bien suffisant pour montrer l'intervention de Dieu!)
J'ai rien à dire sur les échecs/réussite critiques en combat/esquive, c'est normal de risquer sa vie dans une action qui est de base dangereuse. Mais crever pour un jet de médecine à 3 PV, j'ai l'impression qu'un MJ lourdingue me balance un gros LOL bien foireux, en se gaussant grassement alors que ca n'a aucun rapport avec l'action.