11-01-2013, 02:46 PM
Immac se disloque. Avec les explosions et les tremblements de terre qui se multiplient, la majorité de la ville est en flamme ou en train de s'effondrer. D'un peu partout, de gigantesques racines sortent du sol, croissant à une vitesse folle. On dirait que la terre se réveille, ou que quelque chose là-dessous est en train de se réveiller, de se relever.
Le ciel prend une teinte rouge sang. On ne voit même plus le soleil ni la lune... Et la température, malgré les nombreux incendies, baisse de plus en plus.
Soudain, les sons s'estompent petit à petit. Pour tous ceux encore à l'extérieur de la SICPA, le malaise grandit lorsqu'ils se rendent compte que le seul son qu'ils entendent encore est le battement de leur propre cœur.
Le ciel vire rapidement au cramoisi puis au noir total. La terre se fractionne et laisse place à un vide infini.
Le Néant. C'est donc à ça que ça ressemble...
Petit à petit, tout disparaît. La vie, le temps, le Bien, le Mal, l'espoir. C'est la fin.
A l'extérieur, le monde vire au cauchemar. La ville semble être en train de disparaître... Ici, dans la SICPA, cela semble être encore le seul lieu où il réside encore un peu d'espoir.
Que ce soit pour le tuer, le protéger ou simplement le suivre, tous les regards sont tournés vers cet homme. Carlos Ray Norris. Il ne fait rien de spécial, se contentant de regarder vers le haut, comme s'il attendait un signal.
Soudain, plus personne ne bouge... Une force incroyable paralyse chaque muscle de votre corps, vous figeant sur place. Et vous vous sentez comme aspiré... aspiré vers le haut. Vers ce haut où, justement, vous ne voyez rien.
Et puis... plus rien. Plus de son, plus d'images.
Lorsqu'enfin vous entendez et voyez à nouveau, que vous comprenez que n'êtes pas perdus dans le néant, un profond soulagement vous envahit. Vous avez presque envie de crier, de hurler votre joie.
Ici, c'est immense. Une foule de personnes allant et venant sans but. Des bureaux partout...
Bienvenu au Purgatoire.
Deux hommes, employés zélés accoutrés d'uniformes de coursiers semblent vous attendre.
- "Ne vous inquiétez pas, tout est en ordre. Nous nous chargeons de vous reconduire à vos Administrations respectives."
L'un d'eux s'inclinent devant Carlos Ray Norris.
- "Monseigneur, si vous voulez bien me suivre..."
Le ciel prend une teinte rouge sang. On ne voit même plus le soleil ni la lune... Et la température, malgré les nombreux incendies, baisse de plus en plus.
Soudain, les sons s'estompent petit à petit. Pour tous ceux encore à l'extérieur de la SICPA, le malaise grandit lorsqu'ils se rendent compte que le seul son qu'ils entendent encore est le battement de leur propre cœur.
Le ciel vire rapidement au cramoisi puis au noir total. La terre se fractionne et laisse place à un vide infini.
Le Néant. C'est donc à ça que ça ressemble...
Petit à petit, tout disparaît. La vie, le temps, le Bien, le Mal, l'espoir. C'est la fin.
A l'extérieur, le monde vire au cauchemar. La ville semble être en train de disparaître... Ici, dans la SICPA, cela semble être encore le seul lieu où il réside encore un peu d'espoir.
Que ce soit pour le tuer, le protéger ou simplement le suivre, tous les regards sont tournés vers cet homme. Carlos Ray Norris. Il ne fait rien de spécial, se contentant de regarder vers le haut, comme s'il attendait un signal.
Soudain, plus personne ne bouge... Une force incroyable paralyse chaque muscle de votre corps, vous figeant sur place. Et vous vous sentez comme aspiré... aspiré vers le haut. Vers ce haut où, justement, vous ne voyez rien.
Et puis... plus rien. Plus de son, plus d'images.
Lorsqu'enfin vous entendez et voyez à nouveau, que vous comprenez que n'êtes pas perdus dans le néant, un profond soulagement vous envahit. Vous avez presque envie de crier, de hurler votre joie.
Ici, c'est immense. Une foule de personnes allant et venant sans but. Des bureaux partout...
Bienvenu au Purgatoire.
Deux hommes, employés zélés accoutrés d'uniformes de coursiers semblent vous attendre.
- "Ne vous inquiétez pas, tout est en ordre. Nous nous chargeons de vous reconduire à vos Administrations respectives."
L'un d'eux s'inclinent devant Carlos Ray Norris.
- "Monseigneur, si vous voulez bien me suivre..."