10-11-2013, 10:50 AM
Déchiré ? Peut-être. Ou peut-être pas. Difficile à dire.
Commence à répondre Arzaphal avant de prendre le temps de la réflexion.
Ce qui est sûr est que nous sommes dans l'expectative. Tout du moins pour ceux ayant encore un semblant de cervelle.
Poursuit-il en lançant un regard lourd à Alyssia.
La plupart d'entre nous ont reçu comme mission d'empêcher Norris de nuire. Malheureusement deux d'entre nous ont reçu comme mission de le protéger. De ce fait elles s’arrogent le droit d’empêcher toute tentative des autres pour en interroger le dit Norris sur ses objectifs et motivations.
Du peu de conversation que j’ai pu avoir avec lui je puis dire qu’il est aussi bouffi d’orgueil que cette personne qui tente de le protéger.
A croire que c’est le propre des laurents de laisser leur suffisance prendre le pas sur leur intelligence.
En tout cas je crains fort que cette ambiguïté de notre administration à l’égard de la situation, parce que bien évidemment il est inutile de tenter d’en savoir plus au près d’elle, nous empêche de présenter un front commun face à l’adversité.
Je crains fort que la solidarité et l’organisation qui fait habituellement notre force ne soit pour l’instant l’exclusivité de votre camp.
Commence à répondre Arzaphal avant de prendre le temps de la réflexion.
Ce qui est sûr est que nous sommes dans l'expectative. Tout du moins pour ceux ayant encore un semblant de cervelle.
Poursuit-il en lançant un regard lourd à Alyssia.
La plupart d'entre nous ont reçu comme mission d'empêcher Norris de nuire. Malheureusement deux d'entre nous ont reçu comme mission de le protéger. De ce fait elles s’arrogent le droit d’empêcher toute tentative des autres pour en interroger le dit Norris sur ses objectifs et motivations.
Du peu de conversation que j’ai pu avoir avec lui je puis dire qu’il est aussi bouffi d’orgueil que cette personne qui tente de le protéger.
A croire que c’est le propre des laurents de laisser leur suffisance prendre le pas sur leur intelligence.
En tout cas je crains fort que cette ambiguïté de notre administration à l’égard de la situation, parce que bien évidemment il est inutile de tenter d’en savoir plus au près d’elle, nous empêche de présenter un front commun face à l’adversité.
Je crains fort que la solidarité et l’organisation qui fait habituellement notre force ne soit pour l’instant l’exclusivité de votre camp.