10-07-2013, 08:51 PM
Je n'ai pas de vidéos sur moi. J'en ai sur mon ordinateur mais je n'ai pas pu les mettre sur mon téléphone à cause de la résolution de l'écran. J'aimerais bien que l'on puisse les filmer avec une caméra ultra-haute définition 3D en prenant tout notre temps mais ça n'est pas possible, trop dangereux. La qualité est donc rarement excellente, alors sur un téléphone...
Marianne continua, sur le ton d'un aveu.
Tu es observateur en tout cas Fabien, oui j'étais inquiète. On a toujours une certaine appréhension à l'idée d'affronter ces créatures, ce serait-être fou que d'ignorer les risques. Mais ma principale inquiétude était pour toi Fabien. Si ton appartement s'était transformé en un guet-apens, je ne suis pas certaine que j'aurais pu les combattre et sauver ta vie. On ne sait jamais quelles décisions absurdes ces hommes sont prêts à prendre. Tu sais, ma poudre a permis d'en capturer plus d'un vivant mais certains ont préféré combattre jusqu'à la mort et nous n'avons pas eu le choix. C'était notre vie ou celle de dizaines d'autres personnes, comme celle du petit Romain. Crois moi, je suis bien consciente du danger.
Fabien, j'ai plus que ma parole en gage de ma bonne foi. A-ton avis, comment crois-tu que j'ai pu te retrouver si facilement à partir de ton blog ? Nous sommes organisés, mon équipe est compétente et nous disposons d'outils à la pointe de la technologie. Je pense que tu te plairais parmi nous.
La jeune femme prononça ces derniers mots sur un ton différent, beaucoup plus personnel, dans une rupture franche avec ce qu'elle venait de dire juste avant. En suivit un léger silence gêné durant lequel Marianne joua nonchalamment avec ses longs cheveux noirs tout en évitant le regard de Fabien. Elle se reprit néanmoins rapidement et lâcha sa mèche de cheveux. Marianne regarda le jeune homme qui se tenait juste à côté d'elle, le visage éclairé par un sourire radieux.
Fabien, est-ce que tu ne pourrais pas me tutoyer et m'appeler Marianne, tout simplement, s'il te plaît ? Ça me ferait vraiment plaisir.
Marianne continua, sur le ton d'un aveu.
Tu es observateur en tout cas Fabien, oui j'étais inquiète. On a toujours une certaine appréhension à l'idée d'affronter ces créatures, ce serait-être fou que d'ignorer les risques. Mais ma principale inquiétude était pour toi Fabien. Si ton appartement s'était transformé en un guet-apens, je ne suis pas certaine que j'aurais pu les combattre et sauver ta vie. On ne sait jamais quelles décisions absurdes ces hommes sont prêts à prendre. Tu sais, ma poudre a permis d'en capturer plus d'un vivant mais certains ont préféré combattre jusqu'à la mort et nous n'avons pas eu le choix. C'était notre vie ou celle de dizaines d'autres personnes, comme celle du petit Romain. Crois moi, je suis bien consciente du danger.
Fabien, j'ai plus que ma parole en gage de ma bonne foi. A-ton avis, comment crois-tu que j'ai pu te retrouver si facilement à partir de ton blog ? Nous sommes organisés, mon équipe est compétente et nous disposons d'outils à la pointe de la technologie. Je pense que tu te plairais parmi nous.
La jeune femme prononça ces derniers mots sur un ton différent, beaucoup plus personnel, dans une rupture franche avec ce qu'elle venait de dire juste avant. En suivit un léger silence gêné durant lequel Marianne joua nonchalamment avec ses longs cheveux noirs tout en évitant le regard de Fabien. Elle se reprit néanmoins rapidement et lâcha sa mèche de cheveux. Marianne regarda le jeune homme qui se tenait juste à côté d'elle, le visage éclairé par un sourire radieux.
Fabien, est-ce que tu ne pourrais pas me tutoyer et m'appeler Marianne, tout simplement, s'il te plaît ? Ça me ferait vraiment plaisir.