07-17-2013, 06:53 PM
Ben ça c'est la meilleure ! Et dire qu'à une époque il risquait de se faire émasculer rien qu'en disant le mot "sexe", voilà maintenant qu’un de ses collègues lui laisse une liasse de capotes en lui disant de bien s’amuser pendant une partouze…
Le Jordi n’en croit vraiment pas ses oreilles.
Nan mais Ep… Pars pas !
La plainte s’envole vers le néant alors que le Jean-Luc quitte les lieux, laissant le pauvre “chasseur” au milieu de deux prédatrices qui commencent à organiser les festivités (une histoire de sodomie je crois) alors qu’il regarde désespéremment son dernier allié fuir.
Soudain, son attention est réclamée ailleurs… vers un médaillon qui fait un curieu trajet entre une paire de…
***Nous nous excusons de cette interruption dans les descritions, le héros ayant actuellement le cerveau complètement vide de pensée cohérente. Merci de votre comprehension.***
Une main le ramène vers la dimension nommée “réalité”, mais ce voyage ne dure pas longtemps car ses lèvres sont réclamées ailleurs. Comprenez qu’il serait incorrect pour le jeune homme de refuser une telle offre… N’est-ce pas ? Après tout, ce n’est qu’une partouze. Qui débute dans un lieu public où n'importe qui peut débarquer, avec une bombe sexuelle qui, à son lointain souvenir, est une partenaire des plus agréable, et Kimmy… La petite rousse avec qui…
Mmmmfff !
Le chasseur met brusquement fin au baiser qu’il avait commencé avec grand plaisir. S’il n’est pas retenu d’une main de fer (c’est qu’elle a de la poigne la Richter), il s’éloigne de la tentation et fixe les deux demoiselles l’une après l’autre, comme si elles risquaient encore de lui sauter dessus.
Maintenant, on va tous se calmer… Ok ?
Ouais… toi aussi le truc dans le pantalon qui n’est absolument pas une dague…
Kimmy. Je te ramène chez toi. Et toi Ricter tu vas aussi aller te coucher. Vous avez bien assez bu comme ça.
Bon, je suis sympa, je vous épargne de débat intérieur entre son corps et sa raison... Trop long à expliquer. Et puis c'est d'un classique... purement masculin.
En tout cas, pour l'instant, c'est la raison qui gagne. Mais pour combien de temps...
Le Jordi n’en croit vraiment pas ses oreilles.
Nan mais Ep… Pars pas !
La plainte s’envole vers le néant alors que le Jean-Luc quitte les lieux, laissant le pauvre “chasseur” au milieu de deux prédatrices qui commencent à organiser les festivités (une histoire de sodomie je crois) alors qu’il regarde désespéremment son dernier allié fuir.
Soudain, son attention est réclamée ailleurs… vers un médaillon qui fait un curieu trajet entre une paire de…
***Nous nous excusons de cette interruption dans les descritions, le héros ayant actuellement le cerveau complètement vide de pensée cohérente. Merci de votre comprehension.***
Une main le ramène vers la dimension nommée “réalité”, mais ce voyage ne dure pas longtemps car ses lèvres sont réclamées ailleurs. Comprenez qu’il serait incorrect pour le jeune homme de refuser une telle offre… N’est-ce pas ? Après tout, ce n’est qu’une partouze. Qui débute dans un lieu public où n'importe qui peut débarquer, avec une bombe sexuelle qui, à son lointain souvenir, est une partenaire des plus agréable, et Kimmy… La petite rousse avec qui…
Mmmmfff !
Le chasseur met brusquement fin au baiser qu’il avait commencé avec grand plaisir. S’il n’est pas retenu d’une main de fer (c’est qu’elle a de la poigne la Richter), il s’éloigne de la tentation et fixe les deux demoiselles l’une après l’autre, comme si elles risquaient encore de lui sauter dessus.
Maintenant, on va tous se calmer… Ok ?
Ouais… toi aussi le truc dans le pantalon qui n’est absolument pas une dague…
Kimmy. Je te ramène chez toi. Et toi Ricter tu vas aussi aller te coucher. Vous avez bien assez bu comme ça.
Bon, je suis sympa, je vous épargne de débat intérieur entre son corps et sa raison... Trop long à expliquer. Et puis c'est d'un classique... purement masculin.
En tout cas, pour l'instant, c'est la raison qui gagne. Mais pour combien de temps...