06-24-2013, 10:38 AM
Pierette contempla passivement le paysage qui défilait lentement sous ses yeux. Ces routes, ces trottoirs, ces piétons, ces étendues qui s'étendaient sur un espace fini et maitrisé, elle les connaissait par coeur. Aucun lassitude cependant ne laissait paraître sur son visage dont les lunettes noirs complétaient à la perfection une attitude de marbre. Elle fronça toutefois un sourcil alors qu'un message diffusait à travers son oreillette greytooth.
Les autres agent visiblement eurent la même réaction, car le conducteur appuya sur le champignon. Aujourd'hui c'était Byzance: 2 délinquants pour le prix d'un.
- Plus ça va, et plus j'ai envie de remonter à la racine de leur éducation laxiste.
- Le Maitre n'est pas responsable. Cela vient de plus haut.
- Je sais. N'empêche que ...
- C'est bientôt la quille, tu peux te lâcher un peu.
- N'exagérons rien. Nous pouvons les sauver.
- Ce n'est pas à toi d'en décider.
- Je ne parlais pas d'Immac.
- Ah. Autant pour moi. Nous arrivons, le premier est un ange qui s'est échappé de façon surnaturelle de prison ...
- Ils ne comprendront décidément jamais rien.
- Fais toi plaisir. Il est à toi.
- Si seulement ...
Elle poussa un soupir, et sortit en trombe du fourgon. Elle prit son élan, bondit sur environ 400 mètres et atterrit, sa hache de bataille bénie majeure visant de façon précise et mortelle l'individu. Il esquive, il a senti la sentence, mais ce n'est que reculer pour mieux sauter. Pierette sort un tazer et la cible s'écroule littéralement au sol, avant d'être fendue en deux dans un plop. Une lumière rouge semble illuminer les environs, puis l'agent remonte à bord du véhicule qui repart en trombe.
- La prochaine cible est près du métro ... ça a eu des conséquences.
- Oui, il parait que ça a cédé là bas. Il faudra rectifier dans la foulée.
- Dès qu'elle aura repris des forces. Cela devient de plus en plus difficile. Nous pouvons craindre le pire.
- Dans ce cas, au besoin nous utiliserons des méthodes plus expéditives.
Le conducteur accéléra de nouveau. La banque était en vue. Pierette sortit alors de nouveau sa hache et ajusta ses vêtements impeccablement taillés sur sa silhouette de mannequin. Dans le fourgon un des agents à l'arrière semblait dormir, mais derrière ses lunettes coula lentement une larme ...
Les autres agent visiblement eurent la même réaction, car le conducteur appuya sur le champignon. Aujourd'hui c'était Byzance: 2 délinquants pour le prix d'un.
- Plus ça va, et plus j'ai envie de remonter à la racine de leur éducation laxiste.
- Le Maitre n'est pas responsable. Cela vient de plus haut.
- Je sais. N'empêche que ...
- C'est bientôt la quille, tu peux te lâcher un peu.
- N'exagérons rien. Nous pouvons les sauver.
- Ce n'est pas à toi d'en décider.
- Je ne parlais pas d'Immac.
- Ah. Autant pour moi. Nous arrivons, le premier est un ange qui s'est échappé de façon surnaturelle de prison ...
- Ils ne comprendront décidément jamais rien.
- Fais toi plaisir. Il est à toi.
- Si seulement ...
Elle poussa un soupir, et sortit en trombe du fourgon. Elle prit son élan, bondit sur environ 400 mètres et atterrit, sa hache de bataille bénie majeure visant de façon précise et mortelle l'individu. Il esquive, il a senti la sentence, mais ce n'est que reculer pour mieux sauter. Pierette sort un tazer et la cible s'écroule littéralement au sol, avant d'être fendue en deux dans un plop. Une lumière rouge semble illuminer les environs, puis l'agent remonte à bord du véhicule qui repart en trombe.
- La prochaine cible est près du métro ... ça a eu des conséquences.
- Oui, il parait que ça a cédé là bas. Il faudra rectifier dans la foulée.
- Dès qu'elle aura repris des forces. Cela devient de plus en plus difficile. Nous pouvons craindre le pire.
- Dans ce cas, au besoin nous utiliserons des méthodes plus expéditives.
Le conducteur accéléra de nouveau. La banque était en vue. Pierette sortit alors de nouveau sa hache et ajusta ses vêtements impeccablement taillés sur sa silhouette de mannequin. Dans le fourgon un des agents à l'arrière semblait dormir, mais derrière ses lunettes coula lentement une larme ...