04-05-2013, 12:30 PM
Cela faisait maintenant un petit moment depuis son arrivé que Solediad s’était mis à roder dans les couloirs du Café. Ce dernier avait maintenant pris l’habitude de se perdre, puis de retrouver son chemin, avant de se perdre à nouveau, découvrant parfois des salles abritant des trésors insoupçonnés mais le plus souvent rien, ou peu s’en faut. Derrière ses errances aux allures erratiques, se cachait cependant une soif de réponses à de sempiternelles questions qui tourmentaient le Walther. Çà et là, il n’était d’ailleurs pas si rare de le voir ouvrir la porte d’une pièce, prendre des notes sur son carnet, et repartir comme si de rien était.
Ce jour-là, Solediad avait la certitude qu’il allait enfin découvrir l’emplacement de l’un de ses pires cauchemars depuis son arrivé sur cette marche. Il regarda le plan qu’il avait dessiné sur son carnet. Juste après ce couloir en tournant à droite, laissant passer plusieurs chambres, occupées ou non, il trouverait la porte qui l’intéressait. Cette porte le dérangeait car elle était différente de toutes les autres. Elle avait été renforcée de façon grossière et munie d’une petite ouverture coulissante, comme si quelqu’un avait eu quelque chose à y cacher. Plus aucun doute n’était dès lors permis, c’était bien là que se trouvait la fabrique secrète de sucette de l’Ami Galila.
Une fois arrivé devant la porte, le jeune homme au teint blanchâtre rangea son carnet de note dans la poche de la veste de son costume noir. Il se recoiffa machinalement et enfonça la poignée de porte dans l’espoir de surprendre l’Ami des Jardiniers en flagrant délit.
Fermée.
Décontenancé, Solediad réessaya plusieurs fois en appuyant de tout son poids dans le but d’ouvrir la porte récalcitrante. Rien à faire. Elle devait être fermée de l’intérieur et ses piètres compétences en crochetage ne lui seraient d’aucunes aides. Puisque l’approche discrète était manifestement compromise et qu’il ne lui restait de toute façon plus d’autres solutions, le Walther ouvrit la petite trappe sur la porte pour y jeter un coup d’œil. Il fut stupéfait d’y voir que l’intérieur ne ressemblait manifestement pas à une quelconque fabrique de bonbon mais plutôt à une chambre on ne peut plus banale. Se serait-il trompé ?
Penaud, le jeune homme allait partir quand il aperçut une jeune femme au dos nu au pied d’un lit, sur un tapis de plumes. Qui était-elle et comment était-elle arrivée là ? D’où venaient ces plumes ? Quelque chose avait dû se passer dans cette pièce. Solediad s’imagina le pire. Il tambourina sur la porte pour qu’on lui ouvre.
Ouvrez ! Qui êtes-vous et que faites-vous ici ? Je sais que vous êtes là et vous n’avez aucune issue de secours !
Ce jour-là, Solediad avait la certitude qu’il allait enfin découvrir l’emplacement de l’un de ses pires cauchemars depuis son arrivé sur cette marche. Il regarda le plan qu’il avait dessiné sur son carnet. Juste après ce couloir en tournant à droite, laissant passer plusieurs chambres, occupées ou non, il trouverait la porte qui l’intéressait. Cette porte le dérangeait car elle était différente de toutes les autres. Elle avait été renforcée de façon grossière et munie d’une petite ouverture coulissante, comme si quelqu’un avait eu quelque chose à y cacher. Plus aucun doute n’était dès lors permis, c’était bien là que se trouvait la fabrique secrète de sucette de l’Ami Galila.
Une fois arrivé devant la porte, le jeune homme au teint blanchâtre rangea son carnet de note dans la poche de la veste de son costume noir. Il se recoiffa machinalement et enfonça la poignée de porte dans l’espoir de surprendre l’Ami des Jardiniers en flagrant délit.
Fermée.
Décontenancé, Solediad réessaya plusieurs fois en appuyant de tout son poids dans le but d’ouvrir la porte récalcitrante. Rien à faire. Elle devait être fermée de l’intérieur et ses piètres compétences en crochetage ne lui seraient d’aucunes aides. Puisque l’approche discrète était manifestement compromise et qu’il ne lui restait de toute façon plus d’autres solutions, le Walther ouvrit la petite trappe sur la porte pour y jeter un coup d’œil. Il fut stupéfait d’y voir que l’intérieur ne ressemblait manifestement pas à une quelconque fabrique de bonbon mais plutôt à une chambre on ne peut plus banale. Se serait-il trompé ?
Penaud, le jeune homme allait partir quand il aperçut une jeune femme au dos nu au pied d’un lit, sur un tapis de plumes. Qui était-elle et comment était-elle arrivée là ? D’où venaient ces plumes ? Quelque chose avait dû se passer dans cette pièce. Solediad s’imagina le pire. Il tambourina sur la porte pour qu’on lui ouvre.
Ouvrez ! Qui êtes-vous et que faites-vous ici ? Je sais que vous êtes là et vous n’avez aucune issue de secours !